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La chasse en SEINE-MARITIME: Entre falaises, forêts, bocages et zones humides, une activité cynégétique riche au cœur de la Normandie côtière

Entre Seine, mer et vallées

La chasse en SEINE-MARITIME: Entre falaises, forêts, bocages et zones humides, une activité cynégétique riche au cœur de la Normandie côtière Entre Seine, mer et vallées boisées : les territoires variés de la Seine-Maritime La Seine-Maritime, département du nord de la Normandie bordé par la Manche, offre une grande variété de paysages favorables à la faune sauvage : falaises crayeuses, vallées fluviales (Seine, Bresle, Béthune), forêts anciennes (comme celles d’Eawy, Brotonne, Eu ou La Londe), bocages du pays de Bray, plaines agricoles du pays de Caux et zones humides du littoral. Ce territoire contrasté permet une diversité cynégétique remarquable, entre chasse au gibier de plaine, au grand gibier et au gibier d’eau. Chasseurs cauchois et normands : portrait d’une communauté active Avec plus de 16 000 chasseurs, la Seine-Maritime figure parmi les départements les plus actifs en matière de chasse. Les pratiquants se répartissent entre les zones rurales de l’intérieur, les communes du littoral et les vallées boisées. La Fédération Départementale des Chasseurs de la Seine-Maritime (FDC 76) structure la gestion cynégétique locale, accompagne les chasseurs sur le terrain, développe des projets agro-environnementaux et participe à des suivis faunistiques. Gibier fréquent et modalités de chasse en Seine-Maritime Le sanglier est l’un des principaux gibiers du département, avec une population croissante dans les grands massifs forestiers. Le chevreuil est bien représenté, et le cerf élaphe est présent de manière localisée, notamment dans la forêt d’Eawy. Le petit gibier de plaine reste pratiqué: lièvre, lapin, faisan, perdrix grise, pigeon ramier y sont chassés dans les plaines du pays de Caux et de Bray. Le gibier d’eau est également au cœur des traditions locales, notamment dans la vallée de la Bresle, la vallée de Seine et le littoral cauchois, avec des espèces comme le canard colvert, la sarcelle, le vanneau huppé ou la bécassine. Périodes autorisées et réglementation saisonnière Le grand gibier est chassé de mi-septembre à fin février, avec possibilité d’affût ou d’approche dès l’été pour le chevreuil. Le petit gibier est chassable entre septembre et janvier, et le gibier d’eau peut être prélevé dès août dans les zones autorisées. Les plans de chasse pour le cerf, le chevreuil et le sanglier sont obligatoires, avec des quotas adaptés aux réalités du terrain et aux dégâts agricoles. Fédération et structures cynégétiques du 76 La Seine-Maritime compte de nombreuses sociétés de chasse communales, associations cynégétiques locales, clubs spécialisés (chasse à l’arc, gestion du gibier d’eau, chiens de chasse). Plusieurs réserves cynégétiques et zones humides aménagées sont cogérées par des chasseurs pour favoriser la biodiversité. La FDC 76 anime régulièrement des sessions de formation, de sensibilisation à la sécurité et de médiation entre chasseurs et autres usagers de la nature. Législation locale en milieu côtier et rural Le département applique les réglementations nationales avec des adaptations locales pour répondre aux enjeux agricoles et environnementaux. Des autorisations spéciales de tir peuvent être délivrées hors période de chasse pour la régulation du sanglier. Les zones Natura 2000, les bords de Seine et les marais côtiers sont soumis à des réglementations spécifiques, notamment pour la chasse au gibier d’eau avec appelants ou installation fixe. Traditions normandes de chasse et transmission rurale La chasse est une pratique très enracinée en Seine-Maritime, transmise au sein des familles rurales. Les battues de sanglier, les veillées de hutte, les fêtes de la chasse et les concours de chiens d’arrêt ou de trompes sont autant de manifestations culturelles encore bien vivantes. Dans le pays de Caux et la vallée de la Bresle, la chasse au gibier d’eau à la hutte conserve une dimension identitaire. Curiosités et faits notables sur la chasse dans le 76 La forêt d’Eawy est l’un des massifs les plus giboyeux du nord de la France, avec une forte densité de sangliers et de cervidés. La vallée de la Bresle est réputée pour ses installations traditionnelles de chasse au gibier d’eau, certaines en activité depuis plusieurs générations. Enfin, la Seine-Maritime est un département pilote en matière de coopération entre chasseurs et agriculteurs, notamment dans la limitation des dégâts de gibier.

Post: 4 September 06:35

Saisons de chasse en FORÊT MIXTE (Canada): réglementation complète et stratégies expertes 

La forêt mixte canadienne, avec ses étendues de conifères et de feuillus, est

Saisons de chasse en FORÊT MIXTE (Canada): réglementation complète et stratégies expertes La forêt mixte canadienne, avec ses étendues de conifères et de feuillus, est l’un des terrains de chasse les plus riches et diversifiés du pays. Cependant, pour en profiter pleinement, il est essentiel de bien comprendre les saisons de chasse, les réglementations en vigueur et les meilleures périodes pour traquer le gibier. Contrairement à d’autres régions, les forêts mixtes du Québec, de l’Ontario et du Nouveau-Brunswick présentent des particularités liées au climat, à la migration des espèces et aux politiques locales de gestion de la faune. Règles et périodes de chasse en forêt mixte Les dates d’ouverture et de fermeture de la chasse varient selon les provinces, mais elles suivent toutes un principe fondamental: assurer la durabilité des populations animales. Par exemple, au Québec, la saison de l’orignal s’étend généralement de septembre à novembre, avec des variations selon les zones de chasse. En Ontario, les périodes sont ajustées en fonction de la densité de cerfs de Virginie, avec des ouvertures plus précoces dans le sud où les populations sont plus nombreuses. Ces différences s’expliquent par plusieurs facteurs. D’abord, le climat joue un rôle clé: les hivers rigoureux du nord retardent parfois les saisons, tandis que les étés humides du sud influencent les périodes de reproduction. Ensuite, les autorités adaptent les calendriers en fonction des données scientifiques sur les populations. Ces dernières années, certaines espèces, comme le caribou forestier, ont vu leur chasse restreinte, voire interdite, dans plusieurs secteurs en raison du déclin de leurs effectifs. Les meilleures périodes Pour les amateurs de gros gibier, l’automne est la saison phare. Le rut de l’orignal, entre mi-septembre et octobre, est un moment idéal pour traquer les mâles, plus actifs et moins méfiants. Le cerf de Virginie, quant à lui, est surtout chassé en novembre, pendant la saison des amours, où les bucks sont plus facilement repérables. L’ours noir offre deux fenêtres intéressantes: au printemps (avril-mai), lorsqu’il sort d’hibernation, et à l’automne (septembre-octobre), alors qu’il se nourrit abondamment avant l’hiver. Côté petit gibier, les lièvres et les gélinottes peuvent être chassés dès septembre, avec une saison qui se prolonge souvent jusqu’en mars dans certaines régions. Les oiseaux migrateurs, comme les canards et les oies, sont surtout actifs lors des grands déplacements automnaux, entre septembre et novembre. Certaines traditions locales ajoutent une dimension culturelle à la chasse. Au Québec, par exemple, le Festival de l’orignal rassemble chaque année des passionnés qui échangent conseils et techniques, tandis que des concours de tir et des démonstrations de découpe animent ces rassemblements. Interdictions et bonnes pratiques en forêt mixte Toutefois, la chasse n’est pas sans limites. Plusieurs espèces, comme le loup ou certains rapaces, sont strictement protégées. Pour d’autres, comme l’orignal ou le cerf, des restrictions sur le sexe et l’âge s’appliquent : dans certaines zones, seuls les mâles adultes peuvent être prélevés. Les périodes de reproduction et de mise bas imposent également des fermetures temporaires pour éviter de perturber les populations. Comment obtenir un permis Pour chasser légalement, un permis provincial est obligatoire, accompagné d’un certificat de chasseur obtenu après une formation. Certaines espèces, comme l’orignal, nécessitent des tags supplémentaires, attribués par tirage au sort dans plusieurs provinces. Les fédérations de chasseurs et les clubs locaux sont de précieuses ressources pour se tenir informé des dernières réglementations. Risques en cas de non-respect des règles Les infractions, comme la chasse hors saison ou le braconnage, sont sévèrement sanctionnées. Les amendes peuvent atteindre plusieurs milliers de dollars, sans compter la confiscation du matériel et la suspension du permis. Dans les cas graves, des poursuites pénales sont engagées, notamment pour la chasse d’espèces protégées. Conseils pour une chasse réussie en forêt mixte Le choix du matériel et des tactiques dépend de la saison. En automne, les appels de rut sont efficaces pour attirer l’orignal, tandis qu’en hiver, le pistage dans la neige fraîche permet de localiser plus facilement les animaux. Les zones de transition entre forêt et marécages sont particulièrement propices à l’affût. La chasse en forêt mixte canadienne exige une bonne préparation et une connaissance approfondie des réglementations. En respectant les périodes légales et les quotas, les chasseurs participent à la préservation de la biodiversité tout en perpétuant une tradition ancrée dans la culture locale. Avant de partir, une vérification des règles en vigueur est indispensable – les autorités mettent régulièrement à jour leurs directives en fonction de l’état de la faune.

Post: 4 September 06:31

La chasse dans l’ORNE: Forêts profondes, bocages vallonnés, diversité faunistique et traditions rurales fortes au cœur de la Normandie intérieure

Forêts profondes, colli

La chasse dans l’ORNE: Forêts profondes, bocages vallonnés, diversité faunistique et traditions rurales fortes au cœur de la Normandie intérieure Forêts profondes, collines douces: topographie cynégétique de l’Orne Le département de l’Orne, situé au sud de la Normandie, se distingue par une grande diversité de paysages naturels : forêts épaisses, collines boisées, bocages bien conservés, vallées humides et plateaux agricoles forment un cadre idéal pour une faune riche et variée. Des massifs forestiers importants comme ceux d’Écouves, d’Andaine, de Perseigne ou de Bellême structurent le territoire, offrant des conditions optimales pour la chasse au grand gibier, tandis que les zones de plaine et de bocage accueillent encore une belle population de petit gibier. Les chasseurs ornais: traditions rurales et enracinement territorial Avec plus de 13 000 chasseurs, l’Orne est l’un des départements les plus actifs de Normandie sur le plan cynégétique. La chasse y reste une pratique largement répandue dans les territoires ruraux, où elle constitue à la fois un loisir structurant, un élément de culture locale et un outil de régulation environnementale. La Fédération Départementale des Chasseurs de l’Orne (FDC 61) joue un rôle central dans la gestion cynégétique, les actions de sensibilisation, la formation des nouveaux chasseurs et la coordination avec les filières agricoles. Espèces chassées et méthodes locales dans le 61 Le sanglier est très présent dans les forêts denses du département, parfois en surpopulation dans certaines zones sensibles. Le chevreuil est également abondant et très recherché à l’affût ou à l’approche. Le cerf élaphe, bien qu’un peu plus localisé, est chassé dans les grands massifs de l’ouest et du nord-est. Le lièvre, le lapin de garenne, le faisan, la perdrix rouge et le pigeon ramier constituent l’essentiel du petit gibier, que l’on retrouve dans les zones bocagères et les plaines cultivées. Les vallées humides permettent aussi la chasse au gibier d’eau, en particulier le canard. Saisons et périodes de chasse dans l’Orne Le calendrier cynégétique s’ouvre généralement à la mi-septembre pour le grand gibier en battue, avec une possibilité d’ouverture dès juin à l’approche pour le chevreuil, et s’étend jusqu’à fin février. Le petit gibier se chasse de mi-septembre à fin janvier, tandis que le gibier d’eau ouvre parfois dès août dans les secteurs autorisés. La FDC 61 publie chaque année un guide détaillé des périodes et règles en vigueur, adapté aux réalités locales. Structures locales, clubs et fédération départementale Le territoire ornais est riche en sociétés de chasse communales et associations intercommunales, très actives dans l’entretien des territoires, la gestion des habitats et la régulation du gibier. De nombreux clubs spécialisés se consacrent à la chasse à l’arc, au gibier d’eau, à la gestion des chiens courants ou à la pratique de la chasse au chien d’arrêt. La FDC est également engagée dans des partenariats agro-environnementaux et propose des formations continues pour améliorer les pratiques sur le terrain. Cadre réglementaire de la chasse en Orne Comme dans l’ensemble de la France, la chasse est régie par le Code de l’environnement, mais des plans de chasse spécifiques sont en vigueur pour le sanglier, le cerf et le chevreuil, avec des quotas et des obligations de déclaration. La pression exercée par le grand gibier sur les cultures agricoles a conduit à la mise en place de régulations renforcées, parfois hors saison, avec l’accord de la préfecture. Les règles de sécurité sont particulièrement strictes lors des battues en forêt. Culture paysanne, rituels et fêtes cynégétiques L’Orne est un département où la chasse est encore profondément liée à l’identité rurale. Les repas de battue, les fêtes de la Saint-Hubert, les rencontres intergénérationnelles, les concours cynégétiques et les récits de chasse au coin du feu sont autant de manifestations vivantes de cette culture. La transmission de la passion se fait souvent en famille, et le respect du gibier comme de la nature reste une valeur fondatrice. Anecdotes et faits divers autour de la chasse dans le 61 La forêt d’Écouves, connue pour sa densité en cervidés, est l’un des plus grands massifs domaniaux de l’ouest de la France, et un haut lieu de chasse planifiée. L’Orne abrite également plusieurs équipages de vénerie, notamment pour le cerf et le sanglier, perpétuant une pratique ancienne dans le respect des traditions. Le département participe activement à des projets de corridors écologiques, en partenariat avec les chasseurs pour la restauration des haies bocagères.

Post: 3 September 10:42

La chasse dans la MANCHE: Bocage maritime, faune variée, traditions rurales et équilibre cynégétique en Normandie occidentale

Zones côtières, marais et bocages: diversit

La chasse dans la MANCHE: Bocage maritime, faune variée, traditions rurales et équilibre cynégétique en Normandie occidentale Zones côtières, marais et bocages: diversité des paysages cynégétiques de la Manche Le département de la Manche, situé à l’extrémité nord-ouest de la Normandie, offre une géographie unique, mêlant bocages vallonnés, zones humides, littoral maritime, baies, dunes et tourbières. Les marais du Cotentin et du Bessin, les vallées de la Sée et de la Sélune, ainsi que les forêts de Saint-Sever ou Cerisy créent des habitats variés pour une faune riche et abondante. Ce territoire est particulièrement favorable à la chasse, notamment au gibier d’eau, et constitue l’un des hauts lieux cynégétiques du Grand Ouest. Portrait des chasseurs de la Manche et pratiques régionales La Manche compte environ 15 000 chasseurs, répartis sur l’ensemble du département, avec une forte implantation dans les zones rurales et agricoles. La Fédération Départementale des Chasseurs de la Manche (FDC 50) accompagne les acteurs locaux dans la gestion des espèces, la formation, la régulation du gibier et les projets de conservation des milieux naturels. Les traditions y sont encore très vivantes, mêlant pratique de loisir et enracinement local. Gibier d’eau, grands gibiers et richesse faunistique La Manche est réputée pour la chasse au gibier d’eau, pratiquée notamment dans les marais du Cotentin et sur les rives de la baie du Mont-Saint-Michel. On y chasse le canard colvert, le siffleur, la sarcelle, la bécassine, l’oie cendrée et d'autres limicoles. Le sanglier et le chevreuil sont très présents dans les forêts de l’intérieur, et leur chasse s’organise en battues ou à l’affût. Le lièvre, le lapin de garenne, le faisan, la perdrix rouge et le pigeon ramier forment l’essentiel du petit gibier de plaine. Les techniques utilisées sont variées : à la hutte, à la tonne, à la passée, à l’arrêt, en battue ou à l’approche selon les biotopes. Périodes de chasse spécifiques aux zones humides et côtières La chasse au grand gibier s’ouvre généralement à la mi-septembre, avec des battues jusqu’à fin février, tandis que le chevreuil peut être chassé à l’approche dès l’été. Le petit gibier est chassé entre mi-septembre et fin janvier, selon les espèces. Le gibier d’eau peut être chassé dès août, dans certaines zones réglementées. Les périodes de chasse sont définies chaque année par arrêté préfectoral, avec adaptations locales selon les besoins de régulation. Clubs de huttes et fédération de la Manche Le tissu associatif est dense, avec une multitude de sociétés communales, de clubs spécialisés, notamment dans la chasse au gibier d’eau, et de groupements d’intérêt cynégétique. La FDC 50 est active dans la formation au permis de chasser, l’organisation de stages thématiques (piégeage, sécurité), la gestion concertée avec les agriculteurs et la mise en œuvre de projets agro-environnementaux impliquant les chasseurs. Législation encadrant la chasse maritime et intérieure Le département suit la législation nationale, avec des plans de chasse obligatoires pour le sanglier et le chevreuil. Les règles de sécurité sont renforcées, en particulier à proximité des zones d’habitat diffus. Certaines zones humides bénéficient de statuts particuliers (sites Ramsar, ZNIEFF) et imposent des conditions spécifiques de pratique. Les chasseurs doivent également déclarer leurs huttes et leurs installations pour la chasse au gibier d’eau. Vie rurale et traditions liées à la chasse manchoise Dans la Manche, la chasse est profondément enracinée dans la culture paysanne. Les repas de battue, les veillées à la hutte, les concours de chiens de marais ou de trompes sont encore fréquents. La transmission entre générations est vivace, et la chasse reste souvent un rituel familial, associé à la gestion des territoires et au rythme des saisons rurales. Événements notables et faits marquants dans le 50 Les marais du Cotentin sont l’un des sites les plus fréquentés par les oiseaux migrateurs en France, attirant chaque année des milliers de chasseurs à la hutte. Le département a également vu se développer des projets de conservation menés conjointement par chasseurs et naturalistes, notamment autour des zones humides. Enfin, la Manche est l’un des rares départements où la chasse au gibier d’eau est encore pratiquée de manière quasi identitaire, tant dans les pratiques que dans les récits locaux.

Post: 3 September 10:07

Saisons de chasse dans les TERRES DE LA COURONNE (Canada): Dates officielles, restrictions importantes et techniques éprouvées

Les vastes étendues sauvages des Terres de

Saisons de chasse dans les TERRES DE LA COURONNE (Canada): Dates officielles, restrictions importantes et techniques éprouvées Les vastes étendues sauvages des Terres de la Couronne au Canada attirent chaque année des chasseurs en quête de gibier abondant et de paysages préservés. Cependant, pour profiter pleinement de cette expérience tout en respectant la loi et l'éthique cynégétique, il est crucial de bien comprendre les particularités des saisons de chasse dans cette région. Réglementation et périodes de chasse dans les Terres de la Couronne Les dates d'ouverture et de fermeture de la chasse dans les Terres de la Couronne sont établies par les autorités provinciales en fonction de plusieurs critères. Contrairement à d'autres régions canadiennes comme l'Ontario ou le Québec, ces territoires appliquent parfois des fermetures plus précoces pour certaines espèces, notamment pour le caribou dont les populations sont surveillées de près. Ces dernières années, on observe un resserrement des réglementations concernant le gros gibier, avec des saisons raccourcies dans certains secteurs pour permettre aux populations de se reconstituer. Le climat rigoureux et les particularités du paysage influencent directement les périodes de chasse autorisées. Dans les zones nordiques, où les hivers sont plus longs et plus intenses, les saisons peuvent débuter plus tard au printemps et se terminer plus tôt à l'automne. À l'inverse, dans les régions méridionales des Terres de la Couronne, les saisons sont généralement plus longues, avec des périodes de chasse à l'orignal qui s'étendent parfois jusqu'en décembre. Meilleures périodes pour chasser selon le gibier dans les Terres de la Couronne Pour les amateurs de chasse au gros gibier, les Terres de la Couronne offrent des opportunités remarquables. La période du rut de l'orignal, entre fin septembre et mi-octobre, est particulièrement prisée des chasseurs. C'est à ce moment que les mâles sont les plus actifs et donc plus facilement repérables. Le cerf de Virginie, quant à lui, se chasse idéalement en octobre et novembre, lorsque les mouvements des animaux s'intensifient avec l'approche de la saison des amours. Les passionnés de chasse à l'ours noir ont le choix entre deux périodes favorables: le printemps (mai-juin), quand les ours sortent d'hibernation et cherchent activement de la nourriture, et l'automne (septembre-octobre), lors de la phase d'hyperphagie précédant l'hibernation. Pour le petit gibier et la sauvagine, les périodes varient selon les migrations. La chasse au lièvre et à la gélinotte est souvent ouverte d'octobre à mars dans certaines zones, tandis que les canards et les oies se chassent principalement entre septembre et novembre, en synchronisation avec leurs déplacements saisonniers. Restrictions et considérations éthiques dans les Terres de la Couronne Certaines règles sont absolument non négociables pour préserver l'équilibre des écosystèmes. Il est par exemple strictement interdit de prélever des femelles accompagnées de petits, quelle que soit l'espèce. Le caribou forestier, dont les populations sont fragiles, est totalement protégé dans la plupart des secteurs. Les périodes de reproduction font l'objet d'une attention particulière. Au printemps, de nombreuses zones ferment temporairement la chasse pour éviter de perturber les naissances. Ces mesures, bien que contraignantes pour certains chasseurs, sont essentielles pour assurer la pérennité des espèces. Obtention des permis et aspects pratiques Pour chasser légalement dans les Terres de la Couronne, plusieurs documents sont nécessaires. Outre le permis de chasse standard (différent pour les résidents et non-résidents), un certificat de chasseur obtenu après formation est obligatoire. Pour le gros gibier comme l'orignal, un système de tirage au sort détermine souvent l'attribution des droits de chasse, avec des quotas stricts par secteur. Les pourvoiries locales et les clubs de chasse constituent des ressources précieuses, surtout pour les chasseurs venant de l'extérieur de la province. Ces structures proposent des services d'accompagnement, des conseils sur les meilleurs territoires, et parfois même l'hébergement sur place. Risques en cas de non-respect des règles Les contrôles sont fréquents et les sanctions sévères. Un chasseur pris en infraction risque non seulement de lourdes amendes (pouvant atteindre plusieurs milliers de dollars), mais aussi la confiscation de son équipement et de ses prises, voire la suspension temporaire ou définitive de son permis. Dans les cas les plus graves, des poursuites pénales peuvent être engagées. Conseils pour une chasse réussie et responsable dans les Terres de la Couronne Le succès d'une chasse dépend souvent du choix du moment. Les animaux sont généralement plus actifs à l'aube et au crépuscule, ce qui en fait les créneaux horaires à privilégier. L'équipement doit être adapté aux conditions climatiques parfois extrêmes: des vêtements chauds et camouflés, des jumelles de qualité, et bien sûr une arme conforme à la réglementation en vigueur. Enfin, l'éthique du chasseur ne se résume pas au respect des lois. Elle implique aussi une attitude responsable vis-à-vis de l'environnement: ne prélever que ce dont on a besoin, éviter tout gaspillage, et participer activement à la préservation des habitats naturels. Les Terres de la Couronne offrent des expériences de chasse parmi les plus authentiques et les plus riches en émotions au Canada. Cependant, cette liberté s'accompagne d'une grande responsabilité. En planifiant soigneusement votre saison, en respectant scrupuleusement les réglementations et en adoptant une approche éthique, vous contribuerez à préserver ce patrimoine naturel exceptionnel pour les générations futures de chasseurs.

Post: 3 September 10:05

La chasse dans le CALVADOS: Bocages normands, patrimoine rural, diversité cynégétique et enracinement culturel au cœur de la Basse-Normandie

Entre bocage normand et vall

La chasse dans le CALVADOS: Bocages normands, patrimoine rural, diversité cynégétique et enracinement culturel au cœur de la Basse-Normandie Entre bocage normand et vallées de l’Eure: nature et territoires de chasse Le Calvados, situé en Normandie entre terre et mer, offre un paysage emblématique du bocage normand : haies, pâturages, vergers, vallons humides et petites forêts forment une mosaïque idéale pour le gibier. Le département est aussi parcouru par des cours d’eau comme l’Orne, la Touques et la Dives, ainsi que des zones marécageuses proches du littoral, notamment dans le Bessin et la région de Dives-sur-Mer. Cette variété d’écosystèmes fait du Calvados un terrain de chasse riche et apprécié. Les profils de chasseurs dans le Calvados et l’Eure Le département compte environ 13 000 chasseurs, très implantés dans les territoires ruraux et périurbains. Le tissu associatif est dense, structuré autour de sociétés communales de chasse et d’associations de gestion des territoires. La Fédération Départementale des Chasseurs du Calvados (FDC 14) accompagne les acteurs locaux dans la gestion durable du gibier, l’organisation des actions de formation et la sensibilisation à la biodiversité. Typologie de gibier présente dans cette double région normande Le petit gibier est traditionnellement dominant dans le Calvados, avec une forte présence de lièvres, perdrix rouges et grises, faisans, lapins de garenne, ainsi que le pigeon ramier en saison de migration. Le sanglier s’est fortement développé ces dernières années, notamment dans les massifs boisés et les zones de maïsiculture. Le chevreuil est présent de manière équilibrée, tandis que la chasse au gibier d’eau (canards, bécassines) est pratiquée dans les marais du littoral et les étangs de l’intérieur. Les modes de chasse sont variés : à l’arrêt, à la passée, à la hutte, à l’affût ou en battue selon les espèces et les milieux. Saisons et périodes de chasse réglementées Le calendrier de chasse dans le Calvados s’ouvre généralement mi-septembre pour le petit gibier et début juin à l’approche pour le chevreuil. Le sanglier peut être chassé de septembre à fin février, avec possibilité de régulation anticipée selon les dégâts agricoles. Le gibier d’eau ouvre parfois dès août dans certaines zones autorisées. Les arrêtés préfectoraux déterminent chaque année les périodes précises pour chaque espèce et chaque territoire. Fédérations, sociétés de chasse et groupements ruraux Le département est riche en sociétés de chasse et en territoires communautaires, souvent gérés en étroite collaboration avec les communes. De nombreux clubs spécialisés œuvrent dans la chasse au chien d’arrêt, la chasse à l’arc ou la gestion du gibier d’eau. La FDC 14 est particulièrement active dans la formation des nouveaux chasseurs et le suivi des populations animales, en lien avec les agriculteurs et les gestionnaires forestiers. Cadre législatif partagé et spécificités locales Le Calvados applique les principes du droit national de la chasse, avec une attention particulière portée à la régulation du sanglier, espèce devenue invasive dans plusieurs cantons. Des plans de chasse sont en place pour le chevreuil et dans certaines zones pour le sanglier. Des règles de sécurité renforcées sont imposées dans les zones périurbaines ou proches des grands axes de circulation. Les chasseurs doivent également se conformer à des règles strictes sur l’usage des appelants vivants pour le gibier d’eau. Culture de la chasse et enracinement normand La chasse fait partie du patrimoine vivant du Calvados. Elle est encore très ancrée dans les traditions rurales, avec des pratiques familiales transmises de génération en génération. Les repas de chasse, les rassemblements autour des battues, les fêtes de la Saint-Hubert et les concours de chiens d’arrêt rythment la saison. Dans certaines vallées, les appelants vivants font encore partie intégrante du patrimoine cynégétique. Anecdotes notables et curiosités cynégétiques en Calvados-Eure Le Calvados est l’un des départements de France où la chasse au gibier d’eau à la hutte est encore vivace, notamment autour des marais du Bessin. Le département est aussi pionnier en matière de zones de biodiversité cynégétique, où les chasseurs participent à des actions concrètes de restauration des haies et des mares. Enfin, la chasse est régulièrement mise à l’honneur lors de fêtes rurales locales, où elle est présentée comme un élément culturel à part entière.

Post: 3 September 09:42

La chasse en SEINE-ET-MARNE: Premier territoire cynégétique d’Île-de-France, gibiers abondants, paysages variés et tradition rurale vivace

Entre champs, bocages et forêt

La chasse en SEINE-ET-MARNE: Premier territoire cynégétique d’Île-de-France, gibiers abondants, paysages variés et tradition rurale vivace Entre champs, bocages et forêts profondes: la diversité de la Seine-et-Marne La Seine-et-Marne est le plus vaste département de la région Île-de-France, couvrant à elle seule près de la moitié de sa superficie. Son territoire est marqué par une grande diversité de paysages : forêts domaniales (Fontainebleau, Villefermoy, Crécy), plaines agricoles, bocages, rivières (Marne, Seine) et zones humides. Cette richesse écologique favorise une faune très diversifiée, offrant des conditions optimales pour la chasse au grand gibier comme au petit. C’est un département charnière entre la région parisienne et les territoires plus ruraux du nord de la Bourgogne et de la Champagne. Les chasseurs seine-et-marnais: enracinement rural et modernité Avec environ 18 000 chasseurs actifs, la Seine-et-Marne est l’un des départements les plus dynamiques de France sur le plan cynégétique. On y trouve aussi bien des habitants locaux que des chasseurs franciliens venus des départements voisins. La Fédération Départementale des Chasseurs de Seine-et-Marne (FDC 77) joue un rôle majeur dans la structuration des territoires de chasse, la régulation des espèces, la gestion des dégâts agricoles et l’éducation à l’environnement. Organisation de la chasse sur un vaste territoire du 77 Le sanglier est omniprésent dans les massifs forestiers et les lisières agricoles, souvent responsable de dégâts importants. Le chevreuil est également très bien implanté, tandis que le cerf élaphe est observé dans certaines forêts du sud-est. Dans les plaines ouvertes, le lièvre, le faisan, la perdrix grise et le pigeon ramier restent abondants. Des zones humides comme celles de la Bassée permettent aussi la chasse au gibier d’eau (canard colvert, sarcelle, bécassine). Les formes de chasse varient selon les milieux : battue, affût, approche, chasse au chien d’arrêt ou à la hutte sont toutes pratiquées. Saisons de chasse et dates importantes dans le calendrier La saison de chasse au grand gibier commence généralement mi-septembre et se termine fin février. Le petit gibier est chassé de septembre à janvier, selon les espèces. Le gibier d’eau ouvre souvent fin août, dans les secteurs autorisés. Des plans de chasse obligatoires s’appliquent au cerf, au chevreuil et au sanglier, avec des quotas et des obligations de suivi pour chaque territoire. Vie associative: clubs, fédérations et chasses communales Le département est structuré autour de nombreuses sociétés communales et territoires privés. De nombreux clubs spécialisés œuvrent dans la chasse à l’arc, la chasse au gibier d’eau ou encore la gestion des chiens de chasse. La FDC 77 organise chaque année des formations au permis, des ateliers sur la sécurité, des stages pour jeunes chasseurs et des projets de valorisation écologique en partenariat avec les agriculteurs et les collectivités. Règlementation locale adaptée aux grandes zones rurales Les arrêtés préfectoraux régissent la pratique cynégétique en Seine-et-Marne, avec une attention particulière à la cohabitation entre promeneurs, exploitants agricoles et chasseurs. La signalisation des battues est obligatoire dans les forêts publiques et les règles de sécurité sont strictement appliquées. La forte pression agricole conduit à des autorisations exceptionnelles de régulation du sanglier, y compris en période de fermeture générale. Traditions populaires et culture cynégétique seine-et-marnaise La Seine-et-Marne est profondément marquée par une tradition cynégétique rurale. Les repas de battue, les chasses familiales, la transmission des savoirs entre générations et les fêtes locales autour de la chasse témoignent d’un ancrage culturel toujours vivant. Le gibier y est également très présent dans la cuisine locale, notamment dans les zones de plaine. Chiffres et anecdotes autour de la chasse dans le 77 Le département accueille chaque année des événements majeurs liés à la chasse, comme des salons cynégétiques ou des concours de chiens de chasse. La forêt de Fontainebleau, ancienne réserve royale, est aujourd’hui l’un des lieux les plus emblématiques pour la chasse encadrée, tout en étant un haut lieu de randonnée et d’écotourisme. Cette dualité fait de la Seine-et-Marne un modèle de cohabitation raisonnée entre les usages de la nature.

Post: 3 September 09:11

Les Saisons de Chasse dans le BOUCLIER CANADIEN: Dates Clés, Réglementation et Conseils Pratiques pour les Chasseurs

Le Bouclier canadien, avec ses immenses forêts, ses

Les Saisons de Chasse dans le BOUCLIER CANADIEN: Dates Clés, Réglementation et Conseils Pratiques pour les Chasseurs Le Bouclier canadien, avec ses immenses forêts, ses lacs et ses étendues sauvages, est l’un des meilleurs terrains de chasse au Canada. Que vous traquiez l’orignal dans les bois de l’Ontario, l’ours noir au Québec ou le petit gibier dans les zones humides du Manitoba, connaître les saisons de chasse, les réglementations et les périodes optimales est essentiel pour une expérience réussie et légale. Les Dates de Chasse et Leur Régulation dans le Bouclier Les saisons de chasse dans le Bouclier canadien sont déterminées par les gouvernements provinciaux (Québec, Ontario, Manitoba, Saskatchewan) en fonction de plusieurs critères: la santé des populations animales, les périodes de reproduction et les conditions climatiques. Contrairement aux régions plus méridionales, où les saisons peuvent être plus longues, le Bouclier impose souvent des fenêtres de chasse précises pour éviter la sur exploitation. Par exemple, la chasse à l’orignal s’étend généralement de septembre à octobre, coïncidant avec le rut, moment où les mâles sont plus actifs et donc plus faciles à repérer. En revanche, la chasse à l’ours noir a deux pics : une saison printanière (avril-juin) et une automnale (août-octobre), selon les provinces. Les dates exactes varient légèrement d’une année à l’autre, il est donc crucial de consulter les guides officiels avant de planifier votre expédition. Les Meilleures Périodes pour Chasser dans le Bouclier L’automne est sans conteste la saison reine pour les chasseurs dans le Bouclier. Les températures fraîches, les couleurs des feuillages et l’activité intense du gibier en font un moment idéal. C’est particulièrement vrai pour l’orignal et le cerf de Virginie, dont les mâles, en pleine période de rut, deviennent moins méfiants. Pour les amateurs de petit gibier, comme le lièvre d’Amérique ou la gélinotte huppée, l’hiver offre des opportunités uniques, surtout avec la neige qui facilite le pistage. Les oiseaux migrateurs, tels que les canards et les oies, sont quant à eux chassés principalement entre septembre et novembre, selon les migrations. Règles et Restrictions à Connaître Absolument La chasse dans le Bouclier canadien est soumise à des règles strictes pour préserver l’équilibre écologique. Certaines espèces, comme le caribou des bois, sont totalement protégées et leur chasse est interdite. Pour d’autres, comme l’orignal, des restrictions sur le sexe (par exemple, l’interdiction de tirer les femelles accompagnées de petits) ou l’âge peuvent s’appliquer. Les périodes de reproduction, généralement au printemps, sont souvent des moments où la chasse est suspendue pour éviter de perturber les populations. De même, certaines zones, notamment les parcs nationaux et les territoires autochtones, sont strictement interdites à la chasse. Comment Obtenir un Permis et Éviter les Amendes Pour chasser légalement, un permis provincial est obligatoire. Les résidents peuvent généralement l’obtenir en ligne ou dans les bureaux dédiés, tandis que les non-résidents doivent parfois recourir à un guide certifié. Des cours de sécurité sont souvent requis, surtout pour les premières demandes. Les infractions, comme chasser hors saison ou sans permis, peuvent entraîner de lourdes amendes (jusqu’à plusieurs milliers de dollars), la confiscation du matériel, voire une interdiction de chasser à vie. Il est donc primordial de respecter scrupuleusement les règles en vigueur. Conseils Pratiques pour Maximiser Vos Chances dans le Bouclier - Choisir le bon moment: Privilégiez l’aube et le crépuscule, moments où les animaux sont les plus actifs. - Adapter votre équipement: En hiver, des vêtements chauds et silencieux sont indispensables ; en automne, un bon camouflage est crucial. - Étudier le terrain: Les zones près des points d’eau ou des sentiers animaux sont souvent les plus propices. Le Bouclier canadien offre des expériences de chasse inoubliables, à condition de bien préparer son expédition. En respectant les saisons, les quotas et les règles éthiques, vous contribuerez à préserver cette tradition pour les générations futures.

Post: 3 September 09:00

La chasse dans le VAL-D’OISE: Massifs forestiers périurbains, gibier varié, gestion réglementée et traditions encore vivantes aux portes de Paris

Forêts du Vexin, zones

La chasse dans le VAL-D’OISE: Massifs forestiers périurbains, gibier varié, gestion réglementée et traditions encore vivantes aux portes de Paris Forêts du Vexin, zones boisées et territoires de chasse du Val-d’Oise Le Val-d’Oise, situé au nord-ouest de la région Île-de-France, possède une géographie étonnamment riche en milieux naturels malgré sa proximité avec Paris. Le territoire se compose de grandes plaines agricoles, de zones boisées importantes comme la forêt de Montmorency, celle de l’Isle-Adam ou de Carnelle, et de vallées humides le long de l’Oise. Ces paysages diversifiés offrent un habitat favorable à une faune sauvage abondante, et permettent une pratique cynégétique structurée dans un cadre réglementé. Chasseurs du nord francilien: ancrage et diversité des pratiques Le Val-d’Oise compte un peu plus de 3 000 chasseurs, majoritairement implantés dans les zones rurales ou semi-rurales de l’ouest et du nord du département. Ces pratiquants sont pour la plupart organisés en sociétés locales ou en groupements intercommunaux. La Fédération Départementale des Chasseurs du Val-d’Oise joue un rôle essentiel dans la régulation des espèces, la formation et la coordination des activités sur les territoires de chasse. Organisation cynégétique dans un territoire mi-urbain, mi-rural La chasse dans le Val-d’Oise est marquée par une forte présence de sangliers, chevreuils et, dans une moindre mesure, de cerfs dans les grands massifs forestiers. Les plaines accueillent du petit gibier comme le lièvre, le faisan, la perdrix grise et le pigeon ramier, notamment en période de migration. La chasse au grand gibier est souvent pratiquée sous forme de battues collectives, encadrées par les autorités forestières, tandis que le petit gibier se chasse à l’arrêt ou au vol, souvent avec chien. Gibier présent dans le 95 et techniques utilisées Le calendrier cynégétique suit les règles régionales: ouverture en septembre pour le grand gibier, avec des prolongations possibles jusqu’à fin février pour le sanglier. Le petit gibier est chassable de mi-septembre à fin janvier, selon les espèces. Le pigeon ramier peut être prélevé plus tardivement dans certaines zones, notamment en migration post-nuptiale. Clubs, fédérations et structures de coordination Les sociétés de chasse locales sont nombreuses, notamment autour des massifs forestiers. Certaines communes mettent également leurs lots de chasse en location via adjudication. La FDC du Val-d’Oise propose des formations au permis de chasser, des actions de sensibilisation à la cohabitation avec les promeneurs et des opérations de régulation ciblées. Des clubs spécialisés (chasse à l’arc, chasse au chien courant) existent également et renforcent le tissu cynégétique local. Encadrement légal et mesures spécifiques dans le département La chasse est strictement encadrée par le Code de l’environnement et les arrêtés préfectoraux. En raison de la densité humaine, des règles de sécurité très strictes s’appliquent: signalisation des battues, distances minimales avec les habitations, horaires limités. Des plans de chasse obligatoires sont en place pour les espèces de grand gibier, notamment le chevreuil et le sanglier, dont la régulation est cruciale pour prévenir les dégâts agricoles. Traditions de chasse en région du Vexin et culture cynégétique Le Val-d’Oise conserve une tradition cynégétique bien vivante, notamment dans les villages ruraux du Vexin. Les battues hivernales, les rassemblements de chasseurs, les repas conviviaux en fin de saison et les transmissions familiales de territoires témoignent d’un attachement local profond à cette pratique. L’influence de la vénerie dans certaines forêts domaniales se fait encore sentir à travers des manifestations ou démonstrations traditionnelles. Faits curieux, records ou pratiques remarquables en Val-d’Oise La forêt de l’Isle-Adam est connue pour ses populations de grand gibier et ses battues encadrées par l’ONF. Le département abrite aussi des parcs cynégétiques privés de petite taille, souvent réservés aux chasseurs expérimentés. Enfin, le Val-d’Oise participe à des expérimentations sur la cohabitation entre usagers de la forêt et chasseurs, avec des panneaux informatifs et des horaires partagés dans certains massifs très fréquentés.

Post: 3 September 08:57

Saisons de chasse en FORÊT ANCIENNE (Canada): Dates clés, lois incontournables et stratégies gagnantes

La chasse dans les forêts anciennes du Canada est une pratique enc

Saisons de chasse en FORÊT ANCIENNE (Canada): Dates clés, lois incontournables et stratégies gagnantes La chasse dans les forêts anciennes du Canada est une pratique encadrée par des règles strictes, visant à concilier passion cynégétique et préservation de la biodiversité. Les dates d’ouverture, les restrictions et les techniques varient selon les provinces, les espèces chassées et les particularités écologiques de chaque territoire. Pour les chasseurs, une bonne préparation passe par la maîtrise de ces éléments. Règles et périodes de chasse en forêt ancienne Les saisons de chasse sont déterminées par les autorités provinciales, en tenant compte des cycles biologiques des animaux, des impératifs de conservation et des traditions locales. Dans les forêts anciennes, où se côtoient orignaux, cerfs de Virginie, ours noirs et oiseaux migrateurs, les périodes légales diffèrent selon le gibier visé. Au Québec, par exemple, la chasse à l’orignal s’étend généralement de septembre à novembre, coïncidant avec le rut, période où les mâles sont plus actifs et moins méfiants. En Ontario, certaines zones ouvrent dès fin août, tandis qu’en Alberta, la saison de l’ours noir commence parfois au printemps, lorsque l’animal sort d’hibernation. Ces variations s’expliquent par des différences climatiques et des densités de population. Depuis quelques années, des ajustements ont été opérés pour répondre à des enjeux écologiques. Ainsi, certaines provinces ont raccourci la saison du cerf dans les secteurs où les populations déclinent, ou instauré des quotas plus stricts pour l’ours. Ces mesures, bien que contraignantes pour les chasseurs, sont essentielles pour garantir la pérennité des espèces. Les meilleures périodes selon le gibier en forêt ancienne Chaque espèce a ses propres cycles d’activité, qu’il faut connaître pour maximiser ses chances de succès. Pour le grand gibier (orignal, cerf, ours), l’automne reste la saison phare. Entre septembre et novembre, les cervidés sont en rut, et leurs déplacements s’intensifient. Les appels de brame fonctionnent particulièrement bien durant cette période. L’ours noir, quant à lui, peut être chassé au printemps dans certaines provinces, alors qu’il cherche activement de la nourriture après l’hiver. Le petit gibier (lièvre, gélinotte) se chasse plutôt en hiver, lorsque la neige facilite le repérage des traces. Quant aux oiseaux migrateurs (canards, oies), les périodes idéales sont celles des migrations, au printemps et à l’automne. L’aube et le crépuscule sont des moments clés, quelle que soit l’espèce visée. C’est à ces heures que les animaux sont les plus actifs, notamment durant le rut. Interdictions et bonnes pratiques en forêt ancienne La réglementation impose des restrictions pour protéger les espèces vulnérables. Ainsi, le caribou des bois et le loup gris sont strictement protégés dans de nombreuses zones. De même, la chasse est interdite pendant les périodes de reproduction (généralement mai-juin), afin de ne pas perturber la mise bas. Certaines licences autorisent uniquement la prise de mâles, comme dans le cas du cerf à bois, pour préserver les femelles reproductrices. Il est crucial de vérifier les règles en vigueur dans la zone où l’on souhaite chasser, sous peine de lourdes amendes. Comment obtenir un permis? Pour chasser légalement, trois documents sont indispensables: - Un permis provincial, valide pour l’espèce et la zone concernées. - Un certificat de chasseur, obtenu après une formation sur l’éthique et la sécurité. - Eventuellement, une autorisation supplémentaire si la chasse a lieu en territoire autochtone ou dans une réserve. Sanctions en cas d’infraction Ne pas respecter les dates légales, chasser sans permis ou dépasser les quotas expose à de sévères sanctions: amendes (jusqu’à 10 000 $), confiscation du matériel, voire suspension du permis. Mieux vaut donc bien se renseigner avant de partir. Conseils pour une chasse réussie en forêt ancienne L’équipement doit être adapté à la saison: vêtements chauds et camouflage en automne, raquettes ou motoneige en hiver pour accéder aux zones reculées. Les stratégies varient selon le gibier: appelants pour les oiseaux migrateurs, affûts près des zones de nourrissage pour les cervidés. Une chasse réussie en forêt ancienne repose sur trois piliers: connaître les règles, choisir la bonne période et s’adapter au terrain. Une approche respectueuse de la nature garantira non seulement des prises, mais aussi la préservation de ce patrimoine pour les générations futures.

Post: 3 September 08:14

La chasse en région PARISIENNE: Territoires périurbains, réserves contrôlées, traditions nobles et encadrement rigoureux en Île-de-France

Périphérie urbaine, forêts doma

La chasse en région PARISIENNE: Territoires périurbains, réserves contrôlées, traditions nobles et encadrement rigoureux en Île-de-France Périphérie urbaine, forêts domaniales et zones de chasse autour de Paris La région parisienne, bien que densément urbanisée, conserve des espaces naturels préservés, notamment dans les départements limitrophes de la capitale comme les Yvelines, l’Essonne, le Val-d’Oise ou la Seine-et-Marne. On y trouve des forêts domaniales étendues (Rambouillet, Fontainebleau, Sénart), des zones humides locales et des plaines agricoles. Ces milieux abritent encore une faune riche, notamment du grand gibier. Les chasseurs franciliens: profil d’un public souvent mobile On recense plus de 16 000 chasseurs en Île-de-France, dont une grande partie résident en zone urbaine et pratiquent la chasse en périphérie. La Fédération Régionale des Chasseurs d’Île-de-France encadre les pratiques sur un territoire sensible, où la cohabitation avec les autres usagers de la nature est une priorité absolue. Faune présente dans la couronne parisienne: espèces et adaptations La région permet la pratique de plusieurs types de chasse: Grand gibier: sanglier, chevreuil, cerf (dans certaines forêts domaniales). Petit gibier: faisan, lapin de garenne, perdrix, parfois pigeon ramier. Gibier d’eau: dans les marais de la Bassée, de Misery ou les étangs de la forêt de Rambouillet. Les modes les plus courants sont la battue organisée, l’affût, l’approche, ou la chasse au chien d’arrêt dans les plaines. Périodes de chasse et restrictions spécifiques à l’Île-de-France Le grand gibier est chassé de septembre à fin février. Le petit gibier ouvre à la mi-septembre, jusqu’à fin janvier. Le gibier d’eau suit un calendrier plus spécifique, souvent de fin août à janvier. La chasse est strictement réglementée, en lien avec l’ONF et les préfectures de département. Structures et clubs de chasse en région parisienne En Île-de-France, les chasseurs se regroupent dans des sociétés intercommunales ou clubs privés, souvent liés à la location de territoires de chasse. Certains clubs prestigieux, hérités des chasses royales ou aristocratiques, continuent de perpétuer la tradition dans des domaines clos ou réservés. Des formations à la chasse raisonnée en milieu périurbain sont proposées par la fédération. Réglementation stricte en milieu périurbain et forêts publiques La chasse dans la région parisienne est soumise à des restrictions strictes, notamment en matière de sécurité: Zones de chasse clairement délimitées. Jours de chasse autorisés limités dans certains secteurs. Utilisation d’armes et horaires sous contrôle préfectoral. Zones interdites à la chasse autour des grands axes, des habitations, des forêts très fréquentées. Traditions maintenues par les cercles cynégétiques franciliens La chasse en Île-de-France est marquée par l’héritage historique: les chasses royales de Versailles et Rambouillet, la vénerie en forêt de Saint-Germain, ou encore les battues encadrées dans les réserves domaniales. Même si la pratique a changé, le goût pour la tradition demeure très vivant. Anecdotes et faits notables sur la chasse à proximité de Paris Certaines forêts domaniales sont réservées à des chasses publiques sur tirage au sort, très demandées. Il existe des zones de chasse strictement à vocation de régulation écologique, sans prélèvement excessif. Paris intra-muros ne permet pas la chasse, mais de nombreux parisiens actifs pratiquent chaque week-end dans les forêts proches, souvent à moins d'une heure de route.

Post: 3 September 08:03

Les Saisons de Chasse dans les MARITIMES: Règles Essentielles, Périodes Clés et Conseils
 
La région des Maritimes au Canada attire chaque année des milliers de chasseurs

Les Saisons de Chasse dans les MARITIMES: Règles Essentielles, Périodes Clés et Conseils La région des Maritimes au Canada attire chaque année des milliers de chasseurs grâce à sa riche biodiversité. Cependant, cette activité est strictement encadrée par des règles visant à préserver la faune et l’équilibre écologique. Que vous soyez un habitué ou un novice, il est essentiel de connaître les périodes autorisées, les réglementations locales et les bonnes pratiques pour organiser une chasse réussie. Les Règles Générales et les Périodes de Chasse dans les Maritimes Dans les Maritimes, les saisons de chasse sont divisées en deux grandes périodes : l’automne, qui s’étend de septembre à novembre, et le printemps, plus limité mais intéressant pour certaines espèces comme le tétras. L’automne reste la période phare pour le gros gibier, notamment l’orignal, le cerf de Virginie et l’ours noir. Cette saison coïncide avec le rut des cervidés et la migration des oiseaux aquatiques, tels que les canards et les oies des neiges. Ces périodes sont fixées par les autorités provinciales, responsables de veiller à la santé des populations animales. Par exemple, au Nouveau-Brunswick, le ministère des Ressources naturelles ajuste régulièrement les dates pour minimiser l’impact sur les espèces sensibles. Plusieurs facteurs influencent ces décisions: le climat rude peut nécessiter des restrictions supplémentaires, tandis que le relief accidenté des forêts mixtes et des marais impose des adaptations spécifiques. Comparées aux provinces centrales du Canada, telles que l’Alberta ou la Saskatchewan, où les saisons de chasse sont souvent plus longues, les règles des Maritimes se distinguent par leur rigueur. Par exemple, la chasse à l’orignal est limitée à quelques semaines précises, alors qu’en Alberta, elle peut s’étaler sur plusieurs mois. Historiquement, les périodes de chasse ont évolué pour répondre aux défis environnementaux. Dans les années 1980, la pression croissante sur les populations de cerfs a conduit à des restrictions supplémentaires. Saisonnalité de la Chasse Chaque saison offre des opportunités distinctes pour les chasseurs. En automne, les orignaux sont particulièrement actifs lors du rut, ce qui facilite leur localisation. Les chasseurs expérimentés savent que septembre est le moment idéal pour traquer ces majestueux animaux. Quant aux oiseaux migrateurs, ils atteignent leur pic d’activité en octobre, lorsque les températures fraîchissent. Le printemps, bien que moins courant, n’est pas dénué d’intérêt. Il permet de cibler des espèces spécifiques, comme le tétras, dont le chant matinal guide les chasseurs vers leurs positions. Les amateurs de petites aventures trouveront également satisfaction dans les activités de chasse organisées autour de festivals locaux, tels que le Festival de la Chasse et de la Pêche de Shédiac, au Nouveau-Brunswick. Ce festival familial propose des initiations à la chasse au canard en milieu humide et des démonstrations de chiens rapporteurs dans les marais salants. Interdictions et Restrictions Pour garantir la pérennité des espèces, des règles strictes encadrent la chasse dans les Maritimes. Certaines limitations concernent directement les caractéristiques des animaux ciblés. Par exemple, il est interdit de chasser les femelles gestantes ou les jeunes individus non matures. Cela vise à préserver la reproduction et à assurer le renouvellement des populations. Certaines espèces, comme le lynx roux et le caribou des bois, bénéficient d’un statut spécial de protection. Leur chasse est totalement prohibée dans certaines zones, sous peine de sanctions sévères. De plus, des moratoires temporaires sont imposés durant les périodes sensibles, notamment la reproduction. Ainsi, la chasse au tétras est suspendue entre mai et août pour préserver les couvées. Obtention des Permis de Chasse dans les Maritimes Avant de partir à l’aventure, il est indispensable d’obtenir un permis de chasse valide. La procédure varie légèrement selon la province, mais suit généralement les mêmes étapes. Tout d’abord, les nouveaux chasseurs doivent suivre une formation obligatoire sur la sécurité et obtenir un certificat attestant de leurs compétences. Ensuite, ils peuvent soumettre une demande de licence auprès des bureaux provinciaux de gestion de la faune. Cette licence doit être renouvelée chaque année, accompagnée d’un paiement de frais. Sanctions en Cas de Non-Respect Les infractions aux règles de chasse entraînent des sanctions sévères. Les amendes peuvent atteindre 10 000 dollars CAD pour les violations mineures, tandis que les cas graves, comme le braconnage d’espèces protégées, peuvent conduire à des peines d’emprisonnement. La suspension du permis de chasse est également une mesure courante, pouvant durer jusqu’à cinq ans. Conseils Pratiques pour une Chasse Réussie dans les Maritimes Pour maximiser vos chances de succès, planifiez votre voyage en fonction des périodes d’activité maximale des espèces ciblées. L’automne reste indéniablement la meilleure saison, avec ses conditions idéales pour traquer le gros gibier. Investissez dans un équipement adapté au climat humide et variable des Maritimes, notamment des vêtements imperméables et chauds. Concernant les armes, privilégiez celles qui produisent peu de bruit pour minimiser l’impact sonore dans les forêts denses. Sur le terrain, utilisez des appâts naturels pour attirer le gibier et concentrez vos efforts sur les zones frontalières entre forêt et prairie, riches en biodiversité. Enfin, restez toujours informé des mises à jour réglementaires locales, car elles peuvent évoluer rapidement en réponse aux changements environnementaux. Les Maritimes offrent une expérience de chasse unique, alliant tradition, respect de la nature et défis techniques. En respectant les règles et en vous préparant adéquatement, vous pourrez profiter pleinement de cette activité tout en contribuant à la préservation de cet écosystème fragile.

Post: 3 September 07:51

La chasse dans la SOMME: Baie emblématique, oiseaux migrateurs, traditions de hutte et gestion raisonnée dans l’un des hauts lieux de la chasse au gibier d’eau

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La chasse dans la SOMME: Baie emblématique, oiseaux migrateurs, traditions de hutte et gestion raisonnée dans l’un des hauts lieux de la chasse au gibier d’eau Baie, marais, plaines agricoles: les milieux naturels de la Somme Le département de la Somme, situé dans les Hauts-de-France, est célèbre pour sa baie éponyme, l’une des plus belles d’Europe, classée réserve naturelle. Il combine zones humides, prairies inondables, bocages, forêts (comme celles de Crécy et d’Eu) et terres agricoles. Ce patchwork d’habitats en fait une région idéale pour une grande diversité d’espèces chassables. Chasseurs picards: démographie, enracinement et identité locale Avec environ 12 000 chasseurs actifs, la Somme est l’un des départements français où la chasse est la plus ancrée dans le tissu rural. La Fédération Départementale des Chasseurs de la Somme (FDC 80) joue un rôle structurant dans la régulation cynégétique, la gestion des zones humides et la sensibilisation du grand public à la biodiversité. Gibier d’eau et espèces emblématiques de la région La chasse au gibier d’eau est l’âme de la Somme: Canards (colvert, chipeau, siffleur), oies, bécassines, vanneaux et autres limicoles dans la baie ou les marais. Petit gibier de plaine : lièvre, faisan, perdrix, pigeon ramier dans les secteurs agricoles. Le sanglier, bien que moins abondant que dans d’autres régions, fait l’objet de battues en zone boisée. Les modes de chasse les plus pratiqués : chasse à la hutte, à la passée, au gabion, et chasse au chien d’arrêt. Saisons de chasse et variations selon les milieux Le gibier d’eau peut être chassé dès le 21 août, sous conditions, jusqu’à fin janvier. Le petit gibier ouvre généralement mi-septembre et se ferme fin janvier. La chasse au grand gibier (sanglier) s’étend de septembre à fin février. Des arrêtés préfectoraux viennent chaque année préciser les conditions par zones humides et espèces. Clubs de huttes, gabions et sociétés de chasse dans le 80 Outre les nombreuses sociétés de chasse rurales, la Somme se distingue par l’existence d’associations de huttiers, de clubs de chiens de marais et d’associations spécialisées dans la chasse traditionnelle. La FDC 80 propose des formations spécifiques à la gestion des zones humides et à la reconnaissance des oiseaux migrateurs. Encadrement légal dans les zones sensibles et Natura 2000 Le département est soumis à une réglementation très stricte: Huttes et gabions doivent être déclarés et autorisés. Chasse aux appelants vivants autorisée sous conditions. Zones Natura 2000, réserve naturelle et ZICO limitent certaines pratiques. La FDC travaille en partenariat avec les services de l’État et les ONG naturalistes pour concilier chasse et conservation. Culture cynégétique locale, fêtes rurales et transmission La chasse en baie de Somme est une tradition séculaire: les huttes de chasse, parfois centenaires, sont transmises de génération en génération. La culture du marais est encore vivante: appelants, décoys sculptés à la main, barques silencieuses et observation patiente font partie du quotidien du chasseur picard. Faits historiques, records et événements insolites liés à la chasse La baie de Somme est l’un des principaux sites d’hivernage d’oiseaux migrateurs en Europe occidentale. Plus de 1 000 huttes de chasse sont encore actives sur le territoire du département. La chasse à la hutte en Somme est inscrite dans un cadre strict de gestion durable salué par les naturalistes.

Post: 3 September 07:45

Saisons de chasse en ZONE DE TAÏGA (Canada): Les règles à connaître, les meilleures dates et les conseils pratiques

La taïga canadienne, avec ses immenses forêts boréale

Saisons de chasse en ZONE DE TAÏGA (Canada): Les règles à connaître, les meilleures dates et les conseils pratiques La taïga canadienne, avec ses immenses forêts boréales et ses populations sauvages abondantes, représente un terrain de chasse exceptionnel pour les amateurs de gibier. Cependant, cette activité y est rigoureusement encadrée par des règles provinciales et fédérales qui évoluent selon les espèces, les saisons et les conditions environnementales. Comprendre ces réglementations est essentiel pour tout chasseur souhaitant pratiquer son activité dans le respect des écosystèmes locaux. Règles générales et périodes de chasse en zone de taïga Les dates d'ouverture et de fermeture de la chasse dans cette région varient considérablement d'une province à l'autre. Au Québec, par exemple, la saison de l'orignal s'étend généralement de fin août à novembre, alors qu'en Alberta, elle peut commencer plus tôt en fonction des conditions climatiques. Ces différences s'expliquent par plusieurs facteurs, dont les cycles de reproduction des animaux, les migrations saisonnières et les impératifs de conservation. Le climat rigoureux de la taïga, avec ses hivers longs et ses étés courts, influence directement ces calendriers cynégétiques. Historiquement, les périodes de chasse ont connu des ajustements notables au cours des dernières décennies. Certaines provinces ont réduit les saisons pour des espèces vulnérables comme le caribou forestier, dont les populations ont dramatiquement décliné. À l'inverse, pour des animaux plus résilients comme l'ours noir, les saisons se sont parfois allongées dans les zones où leur nombre le permet. Ces modifications reflètent une gestion de plus en plus scientifique de la faune, basée sur des données précises plutôt que sur des traditions locales. Saisonnalité et meilleures périodes pour chasser en zone de taïga L'automne constitue sans conteste la période la plus prisée des chasseurs en taïga. Entre septembre et novembre, l'orignal entre dans sa période de rut, devenant plus actif et donc plus facile à repérer. C'est également le moment où les ours noirs, cherchant à accumuler des réserves avant l'hibernation, se montrent plus fréquemment. Pour le petit gibier comme le lièvre ou le tétras, la saison s'étend souvent jusqu'en hiver, offrant des opportunités même par temps froid. Les amateurs de chasse aux oiseaux migrateurs devront quant à eux se concentrer sur les mois de septembre à décembre, en respectant scrupuleusement les quotas fédéraux. Interdictions et restrictions en zone de taïga Certaines restrictions s'appliquent de manière quasi universelle dans la région. La chasse aux femelles accompagnées de petits est presque toujours interdite, tout comme celle des espèces protégées telles que le caribou des bois dans la majorité de ses habitats. Des moratoires temporaires peuvent également être décrétés lorsque les autorités constatent un déclin préoccupant d'une population animale. Ces mesures, bien que contraignantes, s'avèrent indispensables pour préserver l'équilibre écologique de ces milieux fragiles. Obtention des permis de chasse en zone de taïga Obtenir les autorisations nécessaires demande une certaine préparation. Outre le permis de chasse provincial standard, valable pour une espèce et un territoire définis, certains gibiers comme l'orignal nécessitent des permis supplémentaires attribués souvent par tirage au sort. Les non-résidents devront fréquemment recourir aux services de guides professionnels agréés, seule manière légale de chasser dans certaines zones. Ces professionnels locaux constituent d'ailleurs une source inestimable de connaissances sur les meilleurs coins et les techniques adaptées à chaque saison. Sanctions en cas de non-respect des règles Les infractions aux réglementations cynégétiques sont sévèrement punies. Un chasseur pris en train de braconner risque non seulement des amendes pouvant atteindre plusieurs milliers de dollars, mais aussi la confiscation de son équipement et l'annulation de ses permis. Dans les cas les plus graves, des peines d'emprisonnement peuvent même être prononcées. Ces sanctions dissuasives témoignent de la détermination des autorités canadiennes à protéger leur patrimoine naturel. Conseils pour une chasse réussie en zone de taïga Pour maximiser ses chances de succès tout en respectant l'environnement, quelques principes de base méritent d'être suivis. L'équipement doit être soigneusement choisi en fonction des conditions climatiques souvent extrêmes de la taïga. Les jumelles de qualité s'avèrent indispensables pour repérer le gibier dans ces vastes étendues boisées. Sur le plan stratégique, les points d'eau constituent des lieux privilégiés pour observer les animaux, particulièrement en automne. Enfin, une bonne connaissance des comportements saisonniers du gibier chassé multipliera les opportunités tout en minimisant les dérangements inutiles à la faune. Cette région du Canada continue d'offrir des expériences de chasse authentiques et respectueuses de l'environnement. En adaptant leurs pratiques aux spécificités locales et aux évolutions réglementaires, les chasseurs peuvent participer activement à une gestion durable de ces écosystèmes uniques. Les festivals et rassemblements cynégétiques qui ponctuent l'année dans plusieurs provinces témoignent d'ailleurs de cette culture de la chasse responsable, profondément ancrée dans l'identité des communautés locales.

Post: 3 September 07:40

La chasse dans le PAS-DE-CALAIS: Bocages giboyeux, zones humides stratégiques, traditions rurales et régulation encadrée au nord de la France

Entre bocage, zones humides

La chasse dans le PAS-DE-CALAIS: Bocages giboyeux, zones humides stratégiques, traditions rurales et régulation encadrée au nord de la France Entre bocage, zones humides et côte : reliefs du Pas-de-Calais Le Pas-de-Calais offre un paysage de bocages, plaines agricoles, forêts clairsemées et surtout des zones humides majeures comme les marais de Saint-Omer ou du Boulonnais. Proche de la mer, il constitue une zone de passage importante pour les oiseaux migrateurs, et sa diversité d’habitats en fait un département de choix pour la chasse. Les chasseurs du 62: enracinement rural et traditions vivantes On dénombre environ 13 000 chasseurs actifs dans le Pas-de-Calais, rassemblés dans de nombreuses sociétés locales. La Fédération Départementale des Chasseurs du Pas-de-Calais (FDC 62) est particulièrement dynamique dans l’aménagement du territoire, la protection de la biodiversité et la formation des nouveaux chasseurs. Gibier typique, oiseaux migrateurs et chasse au gibier d’eau Le département est réputé pour la chasse au gibier d’eau: Canard, sarcelle, bécassine, vanneau sont chassés dans les marais, souvent depuis des huttes. Le petit gibier de plaine (lièvre, faisan, perdrix) est encore bien présent dans les zones agricoles. Le sanglier est en progression dans certaines forêts du sud du département, et fait l’objet de régulations spécifiques. Les techniques utilisées incluent la chasse à la hutte, la chasse au poste, et la battue au chien courant dans les massifs boisés. Ouvertures et périodes: le rythme de la chasse locale Le gibier d’eau ouvre dès août dans certaines zones, jusqu’à fin janvier. La chasse au petit gibier se pratique de mi-septembre à fin janvier. Le sanglier est chassé de septembre à février, avec parfois des battues administratives au printemps. La FDC publie chaque année un calendrier précis et détaillé, tenant compte des particularités locales (zones de protection, espèces sensibles, etc.). Fédération active et sociétés locales dans le Pas-de-Calais Outre les sociétés de chasse communales, de nombreux clubs spécialisés œuvrent dans le département : chasse au gibier d’eau, chasse au chien d’arrêt, chasse à l’arc. La FDC 62 soutient aussi la gestion de réserves cynégétiques, véritables laboratoires de gestion durable. Règles de sécurité, réglementation et encadrement juridique La chasse dans le Pas-de-Calais est encadrée par des règles strictes: Identification obligatoire des huttes de chasse. Horaires spécifiques pour le gibier d’eau (souvent limités à 2h avant et après le lever/coucher du soleil). Plans de chasse obligatoires pour le sanglier dans certains secteurs. Des contrôles sont régulièrement menés, en particulier dans les zones Natura 2000 et les marais sensibles. Ancrage culturel et coutumes rurales liées à la chasse Dans le Nord-Pas-de-Calais, la chasse est une activité familiale et intergénérationnelle. La vie de hutte constitue une culture à part entière, mêlant chasse, observation de la nature, convivialité et cuisine du gibier. Les concours de trompe, de chiens de marais, ou encore les fêtes de la chasse ponctuent la saison. Curiosités et faits marquants de la pratique cynégétique dans le 62 Le marais audomarois est un haut lieu de la chasse au gibier d’eau et un site Ramsar reconnu internationalement. Le Pas-de-Calais accueille chaque année des milliers de chasseurs belges et néerlandais attirés par la richesse cynégétique. C’est l’un des rares départements où la chasse traditionnelle aux appelants vivants est encore pratiquée sous certaines conditions.

Post: 3 September 07:34

La chasse dans l’OISE: Forêts historiques, gibier varié, traditions nobiliaires et gestion cynégétique rigoureuse en région Hauts-de-France

Forêts domaniales, terres de

La chasse dans l’OISE: Forêts historiques, gibier varié, traditions nobiliaires et gestion cynégétique rigoureuse en région Hauts-de-France Forêts domaniales, terres de plaines : géographie cynégétique de l’Oise Le département de l’Oise est largement forestier, avec des massifs renommés comme la forêt de Compiègne, de Chantilly, d’Halatte ou d’Ermenonville, vestiges des anciennes chasses royales. Ce relief vallonné, alternant forêts denses, plaines agricoles et zones humides, constitue un habitat idéal pour le grand gibier et le petit gibier. Les étangs, ruisseaux et clairières renforcent encore la diversité faunistique. Les chasseurs de l’Oise: profils, densité et héritage local L’Oise compte environ 11 000 chasseurs actifs, encadrés par la Fédération Départementale des Chasseurs de l’Oise (FDC 60). Le département possède une longue tradition cynégétique, souvent associée à la noblesse et aux grandes chasses à courre encore pratiquées aujourd’hui dans certaines forêts domaniales. Organisation territoriale et pratiques de chasse dans l’Oise Le grand gibier est roi dans l’Oise: Sanglier, chevreuil, cerf élaphe dans les grandes forêts. Petit gibier: lièvre, perdrix rouge, faisan, pigeon ramier dans les zones agricoles. Gibier d’eau: canard, oie cendrée, bécassine dans les vallées de l’Oise et du Thérain. On y pratique la chasse en battue, très organisée, mais aussi la chasse à l’approche et à l’affût, notamment pour les cervidés. Saisonnalité et planification de la chasse dans le département La saison s’ouvre généralement mi-septembre pour le grand gibier et se termine fin février. Le gibier d’eau est chassable dès août selon les zones. La chasse au petit gibier se déroule principalement de septembre à janvier. Des plans de chasse sont obligatoires pour les cervidés et soumis à déclaration auprès de la FDC. Structures locales: clubs, équipes et coordination L’Oise est structurée autour de nombreuses sociétés de chasse locales et de syndicats de propriétaires. On y trouve également des clubs spécialisés, notamment dans: la chasse à courre (encore active dans la région), la chasse au chien d’arrêt, ou la chasse à l’arc. La FDC organise chaque année des formations à la sécurité, au piégeage et à la gestion du gibier. Législation cynégétique appliquée dans le 60 Les forêts domaniales sont très encadrées: la chasse y est soumise à autorisation préfectorale et réglementation stricte. Les adjudications se font sur appel d’offre. Dans les zones privées, les propriétaires gèrent en autonomie sous réserve de respecter les règles générales du Code de l’environnement. Culture locale et poids de la chasse dans les villages de l’Oise L’Oise perpétue de fortes traditions : la trompe de chasse, les tenues rouges de vénerie, les rassemblements à l’aube, les repas de battue dans les maisons forestières. La chasse fait encore partie du patrimoine local, entre culture populaire et héritage aristocratique. Faits notables et particularités propres à la chasse oisienne C’est dans la forêt de Compiègne qu’ont été signés des accords historiques… mais aussi chassés des milliers de cerfs. L’Oise fait partie des rares départements où la vénerie (chasse à courre) reste active et suivie par de nombreux spectateurs. Les populations de sangliers y ont fortement augmenté, nécessitant des actions de régulation hors saison.

Post: 2 September 09:31

Les périodes de chasse dans le PARC NATIONAL BANFF: saisons d'ouverture, particularités réglementaires uniques et stratégies locales

Le parc national Banff au Canada est

Les périodes de chasse dans le PARC NATIONAL BANFF: saisons d'ouverture, particularités réglementaires uniques et stratégies locales Le parc national Banff au Canada est un véritable joyau niché au cœur des montagnes Rocheuses. Ce territoire exceptionnel attire non seulement les amateurs de randonnée et les photographes de la faune, mais aussi les passionnés de chasse. Cependant, la pratique de la chasse dans cette région est strictement encadrée par des règles visant à protéger l’écosystème fragile et à maintenir l’équilibre entre l’homme et la nature. Règles générales et calendrier de chasse dans le parc national Banff Les périodes de chasse sont définies avec précision par Parcs Canada, en collaboration avec des biologistes et des spécialistes de la gestion de la faune. Ces dates varient selon les espèces, le climat local et les caractéristiques géographiques de la région. Par exemple, les grands gibiers comme les wapitis et les cerfs mulets peuvent être chassés principalement à l’automne, lorsque ces animaux sont plus actifs après la période d’accouplement. En revanche, certaines petites espèces, comme les lièvres arctiques, ne sont accessibles qu’en hiver. Les réglementations sur les dates de chasse sont influencées par plusieurs facteurs clés. Le climat joue un rôle essentiel : les hivers rigoureux dans les Rocheuses peuvent retarder l’ouverture de certaines saisons pour éviter tout stress supplémentaire sur les populations animales. Le paysage varié du parc – montagnes escarpées, forêts denses et vallées verdoyantes – affecte directement la répartition des espèces et donc les zones accessibles aux chasseurs. Enfin, les migrations saisonnières des animaux influencent également les décisions concernant les périodes optimales pour la chasse. Comparé aux régions voisines, telles que la Colombie-Britannique ou le Québec, les saisons de chasse dans le parc Banff sont beaucoup plus courtes et restrictives. Cette différence s’explique par la nécessité de préserver l’intégrité écologique d’un site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Historiquement, les politiques de gestion ont évolué au fil des décennies. Dans les années 1970, face à une diminution alarmante des populations de grands mammifères, les autorités ont imposé des quotas stricts et réduit drastiquement les durées des saisons. Depuis, grâce à ces mesures, plusieurs espèces menacées ont vu leurs effectifs augmenter. Saisonnalité de la chasse et opportunités selon les périodes dans le parc national Banff Chaque saison offre des opportunités uniques pour les chasseurs. L’automne est sans aucun doute la saison phare pour la chasse aux grands gibiers tels que les wapitis, les cerfs mulets et les orignaux. Pendant cette période, les mâles sont particulièrement actifs en raison du rut, ce qui les rend plus visibles et accessibles. L’hiver, bien que moins populaire en raison des conditions météorologiques difficiles, présente également des avantages. Cette saison est idéale pour la chasse aux petits gibiers comme les lièvres arctiques ou les tétras sombres. La neige facilite également le pistage des animaux, car leurs traces sont clairement visibles. Pour maximiser vos chances, il est recommandé de cibler les périodes suivantes : début octobre pour observer les wapitis mâles durant leur rut, et fin novembre à début décembre pour les cerfs mulets. Interdictions et limitations pour protéger la biodiversité dans le parc national Banff La protection de la biodiversité prime sur toutes les autres considérations dans le parc Banff. Ainsi, de nombreuses restrictions doivent être respectées. Seuls les mâles adultes peuvent être chassés pour certaines espèces, tandis que les femelles et les jeunes sont strictement protégés. Des animaux emblématiques comme le caribou des bois et le grizzly bénéficient d’un statut spécial de protection totale. Pendant la gestation et l’allaitement, qui se déroulent au printemps et au début de l’été, toute activité cynégétique est suspendue pour garantir la survie des nouveau-nés. Obtention d’un permis de chasse et démarches administratives dans le parc national Banff Obtenir un permis pour chasser dans le parc Banff n’est pas une mince affaire. Avant de pouvoir partir à l’aventure, vous devez soumettre une demande auprès de Parcs Canada, accompagnée d’une preuve de compétence en matière de tir (certificat valide). En raison du nombre limité de licences disponibles, un système de loterie est utilisé pour attribuer les droits de chasse. Il est également conseillé de collaborer avec des clubs de chasse locaux, qui fournissent souvent des informations précieuses sur les procédures administratives et les meilleures pratiques. Sanctions en cas de non-respect des règles Les infractions aux règlements entraînent des sanctions sévères. Les amendes peuvent atteindre plusieurs milliers de dollars canadiens, et les contrevenants risquent également la suspension immédiate de leur permis de chasse. En cas de récidive, des poursuites pénales peuvent être engagées. Conseils pratiques pour une expérience réussie dans le parc national Banff Pour profiter pleinement de votre expérience de chasse dans le parc Banff, voici quelques conseils essentiels. Investissez dans un équipement résistant aux intempéries, surtout si vous prévoyez une expédition hivernale. Utilisez des appâts sonores pour attirer les wapitis mâles pendant le rut, et concentrez-vous sur les vallées boisées abritant des sources d’eau, car elles attirent naturellement les animaux. Enfin, respectez scrupuleusement les règles et soyez conscient de l’impact que votre présence peut avoir sur l’écosystème. La chasse dans le parc national Banff représente une expérience unique mais exigeante. Respecter scrupuleusement les règles et comprendre les dynamiques saisonnières est indispensable pour profiter pleinement de ce territoire magnifique tout en contribuant à sa préservation.

Post: 2 September 09:10

La chasse dans le NORD: Espèces migratrices, traditions rurales, zones humides emblématiques et encadrement cynégétique dans ce département frontalier dynamique

Territoi

La chasse dans le NORD: Espèces migratrices, traditions rurales, zones humides emblématiques et encadrement cynégétique dans ce département frontalier dynamique Territoire dense et diversifié: chasse et nature dans le Nord Le Nord, département le plus peuplé de France, est caractérisé par une géographie variée : plaines agricoles, zones bocagères, forêts clairsemées, mais surtout de nombreuses zones humides, notamment la plaine maritime flamande, la vallée de la Scarpe et le parc naturel régional Scarpe-Escaut. Ces paysages, façonnés par l’homme, offrent un habitat propice à de nombreuses espèces de gibier, en particulier les oiseaux migrateurs. Un regard sur les chasseurs nordistes: profils et traditions locales Le Nord compte environ 18 000 chasseurs, regroupés dans des centaines d’associations locales très actives. La Fédération Départementale des Chasseurs du Nord (FDC 59) joue un rôle central dans la gestion de la chasse, la régulation des espèces, les actions éducatives et la médiation entre usagers de la nature. Gibier d’eau, petit gibier et zones humides du Nord Le gibier d’eau est emblématique du Nord: Canard colvert, sarcelle d’hiver, oie cendrée, bécassine, vanneau huppé sont chassés dans les zones humides. Le gibier de plaine comme le lièvre, la perdrix grise, le faisan et le pigeon ramier est présent dans les terres agricoles. Le sanglier est en expansion dans certaines forêts (comme celle de Marchiennes), nécessitant des mesures de régulation. La chasse au gibier d’eau est souvent pratiquée en hutte, à la passée ou en mare artificielle (chasse à la tonne). Déroulement des saisons de chasse et périodes clés Le gibier d’eau ouvre souvent dès août, avec des arrêtés spécifiques pour les zones humides. Le petit gibier et les oiseaux terrestres sont chassables à partir de septembre, jusqu’en janvier. Le grand gibier (essentiellement sanglier) est chassé de septembre à février. Des arrêtés préfectoraux encadrent strictement les dates, les quotas et les modes de chasse. Vie associative, fédérations et permis de chasse dans le Nord La région abrite de nombreuses sociétés de chasse communales et des clubs spécialisés, notamment dans la chasse au gibier d’eau. Des regroupements comme l’Union des Chasseurs de Gibier d’Eau du Nord organisent des événements, des concours de chiens de marais, et veillent à la transmission des techniques spécifiques à ce milieu. La FDC 59 organise aussi des formations à la gestion des zones humides. Encadrement réglementaire, zones périurbaines et restrictions La chasse dans le Nord est régie par les lois nationales, mais le gibier d’eau y fait l’objet d’une réglementation très précise : horaires de chasse (souvent limités à certaines heures), identification des espèces, nombre de pièces prélevées, etc. Les zones protégées comme les réserves naturelles ou les ZNIEFF imposent des restrictions supplémentaires. Fêtes rurales, coutumes et chasse dans les Flandres françaises La chasse dans le Nord est une véritable culture, en particulier autour de la hutte : ces cabanes souvent transmises de génération en génération sont des lieux de vie, de veille et de partage entre chasseurs. Les repas de hutte, les veillées au bord des marais, et les concours de trompes font partie intégrante du folklore local. Chiffres, originalités et anecdotes cynégétiques du Nord Le Nord est l’un des rares départements français où la chasse en hutte est encore très vivante. Les zones humides du Dunkerquois et du Houtland accueillent chaque année des dizaines de milliers d’oiseaux migrateurs. Les chasseurs du Nord sont parmi les plus actifs dans la surveillance ornithologique, en lien avec les associations de protection de la nature.

Post: 2 September 08:53

La chasse dans l’AISNE: Territoires boisés, espèces variées, traditions rurales et encadrement cynégétique dans ce département au cœur des Hauts-de-France

Plaines ouvert

La chasse dans l’AISNE: Territoires boisés, espèces variées, traditions rurales et encadrement cynégétique dans ce département au cœur des Hauts-de-France Plaines ouvertes, massifs boisés et bocage: l’Aisne rurale et cynégétique Le département de l’Aisne, situé dans la région des Hauts-de-France, présente une grande diversité de paysages: forêts feuillues, plaines agricoles, zones humides et vallées fluviales (comme celle de l’Oise ou de l’Ailette). Les massifs forestiers tels que la forêt de Saint-Gobain ou celle de Retz offrent des conditions idéales pour la chasse au grand gibier, tandis que les cultures et bocages sont propices à la chasse au petit gibier. Les chasseurs de l’Aisne: présence active et ancrage local L’Aisne compte environ 8 000 chasseurs actifs, regroupés dans des associations locales réparties sur tout le territoire. La Fédération Départementale des Chasseurs de l’Aisne (FDC 02) est chargée de coordonner la gestion cynégétique, de délivrer les formations réglementaires et de veiller à l’équilibre entre faune sauvage, agriculture et environnement. Espèces chassées et pratiques dominantes dans le département Dans l’Aisne, on pratique principalement: La chasse au grand gibier: sanglier, chevreuil, cerf sika (introduit localement). La chasse au petit gibier: lièvre, perdrix, faisan, lapin de garenne, pigeon ramier. La chasse au gibier d’eau: canard, oie cendrée, dans les zones humides comme les étangs de la vallée de la Somme et de l’Oise. La chasse en battue est très courante pour le sanglier, tandis que la chasse à l'affût est utilisée pour le chevreuil et parfois le cerf. Calendrier cynégétique et spécificités saisonnières Les périodes de chasse dans l’Aisne sont déterminées par des arrêtés préfectoraux. En général: Le grand gibier peut être chassé de mi-septembre à fin février. Le petit gibier est chassé entre mi-septembre et janvier. Le gibier d’eau ouvre dès août dans certaines zones. Des plans de chasse obligatoires sont en vigueur pour certaines espèces (cerf, chevreuil), afin de gérer durablement les populations. Réseau associatif et clubs de chasse dans l’Aisne La FDC 02 travaille en lien avec de nombreuses sociétés de chasse communales. Elle encadre également des groupes spécialisés, comme ceux dédiés à la chasse à l’arc, au piégeage ou à la gestion des dégâts de gibier. Ces associations organisent régulièrement des battues administratives, notamment pour le sanglier, espèce parfois surabondante. Règles, plans de chasse et zones de régulation Comme dans le reste de la France, la chasse est soumise à la loi, mais l’Aisne applique des régulations spécifiques pour certaines espèces selon les zones sensibles (zones agricoles, ZNIEFF, etc.). Des autorisations préfectorales peuvent être délivrées pour des tirs de régulation hors période normale, notamment en cas de dégâts sur les cultures. Culture cynégétique, mémoire rurale et pratiques anciennes L’Aisne est un département où la chasse est profondément ancrée dans les traditions rurales. Les repas de chasse, les sorties dominicales en famille, ou encore les fêtes de la Saint-Hubert sont des moments importants pour les communautés locales. Le lien entre chasse et culture agricole reste très fort. Éléments notables et faits originaux sur la chasse axonaise Le département abrite plusieurs territoires de chasse privés très réputés, prisés pour le cerf sika, gibier rare ailleurs en France. Dans certaines forêts de l’ouest du département, la chasse est utilisée comme outil de régulation du tourisme, pour limiter l’impact de la fréquentation sur la faune. Le nombre d’accidents de la route causés par le gibier y est significatif, ce qui renforce le rôle de la chasse dans la prévention des collisions.

Post: 2 September 08:19

La chasse dans les VOSGES: Massifs forestiers, gibier varié, traditions montagnardes et réglementation spécifique dans ce département du Grand Est

Entre crêtes, forêts p

La chasse dans les VOSGES: Massifs forestiers, gibier varié, traditions montagnardes et réglementation spécifique dans ce département du Grand Est Entre crêtes, forêts profondes et vallons: les Vosges sauvages Le département des Vosges, situé dans la région Grand Est, est caractérisé par un relief montagneux, avec le massif des Vosges s'étendant sur une grande partie de son territoire. Les vastes forêts de feuillus et de conifères, les vallées encaissées et les plateaux offrent une diversité d'habitats propices à une faune riche et variée.​ Portrait des chasseurs vosgiens et dynamique associative locale Les Vosges comptent environ 10 000 chasseurs répartis dans de nombreuses associations locales. La Fédération Départementale des Chasseurs des Vosges (FDC88) joue un rôle central dans la gestion cynégétique, la formation des chasseurs et la préservation des habitats naturels.​ Gibier abondant et techniques de chasse en milieu forestier La chasse dans les Vosges est diversifiée:​ Grand gibier: le cerf élaphe, le chevreuil et le sanglier sont abondants dans les massifs forestiers.​ Petit gibier: lièvres, renards, faisans et bécasses sont présents dans les zones agricoles et forestières.​ Chasse au gibier d'eau: pratiquée dans les zones humides et les étangs du département.​ Les modes de chasse incluent la battue, l'affût et la chasse à l'approche, selon les espèces et les saisons.​ Périodes de chasse et rythme saisonnier dans les Vosges La saison de chasse dans les Vosges s'étend généralement de septembre à février, avec des dates précises variant selon les espèces et les zones. Des arrêtés préfectoraux définissent les périodes d'ouverture et de fermeture pour chaque type de gibier.​ Associations, équipages et gestion de territoire vosgien Le tissu associatif est dense, avec de nombreuses sociétés de chasse locales. La FDC88 organise des formations, des actions de sensibilisation à la sécurité et à la biodiversité, et collabore avec les acteurs locaux pour une gestion durable de la faune.​ Dispositif légal et encadrement cynégétique dans le 88 La chasse dans les Vosges est encadrée par des réglementations spécifiques, notamment en ce qui concerne les plans de chasse pour le grand gibier. Des mesures sont mises en place pour prévenir les dégâts agricoles et assurer un équilibre entre les populations animales et les activités humaines.​ Rituels, fêtes et traditions rurales liées à la chasse La chasse est une tradition bien ancrée dans les Vosges, avec des pratiques transmises de génération en génération. Les rassemblements de chasseurs, les repas conviviaux et le respect des rites cynégétiques font partie intégrante de la culture locale.​ Particularités locales et faits remarquables en terre vosgienne Le massif des Vosges est l'un des rares endroits en France où le lynx boréal a été réintroduit avec succès.​ La région a vu le retour naturel du loup gris, observé pour la première fois en 2011 après près d'un siècle d'absence.​ Les forêts vosgiennes abritent une biodiversité remarquable, faisant de la chasse une activité nécessitant une gestion rigoureuse et respectueuse de l'environnement.

Post: 2 September 07:54

Saisons de chasse dans les LAURENTIDES: Les dates d'ouverture et fermeture, les permis requis, la réglementation en vigueur et les périodes idéales 

Les forêts des Laure

Saisons de chasse dans les LAURENTIDES: Les dates d'ouverture et fermeture, les permis requis, la réglementation en vigueur et les périodes idéales Les forêts des Laurentides, avec leurs étendues sauvages et leurs lacs scintillants, constituent depuis des générations un terrain de chasse privilégié pour les amateurs de gibier. Cette région du Québec, riche d'une biodiversité exceptionnelle, offre aux chasseurs des expériences uniques, à condition de respecter scrupuleusement les règles établies pour préserver cet équilibre naturel fragile. Comprendre les saisons de chasse En parcourant les sentiers forestiers des Laurentides au petit matin, le chasseur averti sait qu'il évolue dans un écosystème complexe où chaque espèce animale suit son propre rythme biologique. C'est pourquoi le Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) a établi un calendrier de chasse méticuleux, adapté aux spécificités de ce territoire. Les dates d'ouverture et de fermeture varient non seulement selon les espèces, mais aussi en fonction des microclimats et des particularités géographiques de chaque secteur. Quand et quoi chasser? Les meilleures périodes par espèce La chasse à l'orignal, véritable emblème de la région, connaît son apogée durant le rut, entre mi-septembre et fin novembre. C'est à cette période que les mâles, perdant leur habituelle méfiance, deviennent plus accessibles aux chasseurs patients. Les vieux routiers des Laurentides vous le confirmeront: rien ne vaut l'expérience d'une aube froide de septembre, lorsque la brume se lève lentement sur les étangs et que les premiers appels de l'orignal résonnent dans la forêt. Pour le cerf de Virginie, la période idéale se situe généralement en novembre, quand les premiers froids rendent les animaux plus actifs en journée. Quant à l'ours noir, sa chasse printanière (mai-juin) demande une approche particulière, centrée sur l'identification des zones de nourrissage après l'hibernation. Les chasseurs expérimentés savent repérer les souches retournées et les traces fraîches menant aux buissons de baies sauvages. Les amateurs de petit gibier trouveront leur bonheur d'octobre à mars, période où lièvres et gélinottes peuplent abondamment les sous-bois. La chasse aux oiseaux migrateurs, quant à elle, suit un calendrier précis établi en concertation avec les réglementations fédérales, généralement de septembre à décembre pour les canards et les oies. Ces dernières années, le MFFP a dû ajuster certaines périodes de chasse pour répondre aux fluctuations des populations animales. Les hivers rigoureux, notamment, ont conduit à des restrictions temporaires sur le cerf de Virginie, tandis que la saison de l'orignal a parfois été prolongée dans certaines zones pour réguler des populations devenues trop importantes. Réglementation Avant de partir en expédition, tout chasseur doit s'assurer de posséder les permis appropriés et de connaître les quotas en vigueur. Les contrôles sur le terrain sont fréquents, et les amendes pour infraction peuvent être sévères, allant jusqu'à 5000$ pour les manquements les plus graves. Mais au-delà de l'aspect réglementaire, c'est une véritable éthique du chasseur qui s'applique dans les Laurentides - un respect profond pour la nature et ses cycles immuables. Les meilleurs spots de chasse? Les anciens vous diront que les alentours de Mont-Tremblant réservent toujours de belles surprises, tout comme les profondeurs de la Réserve faunique des Laurentides. Mais chaque coin de cette région recèle ses secrets, que seuls des années de pratique et d'observation permettent de percer. Сhasser dans les Laurentides est une immersion totale dans un écosystème complexe, une école de patience et d'humilité face aux forces de la nature. En respectant les saisons et les règles établies, les chasseurs d'aujourd'hui perpétuent une tradition séculaire tout en participant activement à la préservation de ce patrimoine naturel exceptionnel.

Post: 2 September 07:50

La chasse en MOSELLE: Forêts giboyeuses, traditions cynégétiques, espèces de gibier et réglementation dans ce département frontalier du Grand Est

Reliefs variés entre fo

La chasse en MOSELLE: Forêts giboyeuses, traditions cynégétiques, espèces de gibier et réglementation dans ce département frontalier du Grand Est Reliefs variés entre forêts, vallées et zones frontalières de la Moselle Située à la frontière avec l’Allemagne et le Luxembourg, la Moselle bénéficie d’une géographie riche et variée. Le territoire se compose de forêts profondes (notamment celles de l’Arrière-Côte et du Pays de Bitche), de plaines agricoles, de zones humides et de collines boisées. Cette diversité naturelle favorise une biodiversité importante, avec de nombreux habitats favorables à la faune sauvage. Les massifs forestiers couvrent plus de 30 % du département et jouent un rôle central dans les activités cynégétiques. Les chasseurs mosellans: effectifs, traditions et engagement territorial La Moselle compte environ 14 000 chasseurs répartis dans plus de 500 associations locales, ce qui en fait l’un des départements les plus actifs en matière de chasse dans le Grand Est. La Fédération Départementale des Chasseurs de la Moselle (FDC57) est un acteur de terrain engagé dans la gestion durable de la faune, la formation des chasseurs et la préservation des écosystèmes. Typologie du gibier et méthodes de chasse en Moselle La Moselle est un département particulièrement favorable à la chasse au grand gibier: le cerf élaphe, le chevreuil et surtout le sanglier y sont très présents. La chasse à la battue est la méthode dominante pour le sanglier et le cerf, tandis que la chasse à l'affût ou à l’approche est pratiquée pour le chevreuil. Le petit gibier est également chassé: lièvre, faisan, perdrix grise, et pigeon ramier. Les zones humides permettent aussi la chasse au gibier d’eau, comme le canard colvert ou la bécassine. Saisons, ouvertures et règles spécifiques à la Moselle Les périodes d’ouverture varient selon les espèces. En Moselle, la saison de chasse s’ouvre généralement à la mi-septembre pour se clôturer fin février. Le gibier d’eau peut être chassé dès août, selon les zones. Le sanglier bénéficie parfois de prolongations compte tenu de sa forte population et de son impact agricole. Clubs actifs et fédération dynamique dans le 57 Le tissu associatif est dense : la FDC57 propose formations, journées pédagogiques, actions de sensibilisation environnementale. On y retrouve aussi des clubs spécialisés, comme ceux dédiés à la chasse à l’arc ou à la chasse au chien d'arrêt. Le Réseau Sanglier Moselle est également actif dans le suivi scientifique et la régulation de cette espèce. Cadre juridique de la chasse en Moselle et zones protégées La Moselle, comme le Bas-Rhin et le Haut-Rhin, applique un droit local spécifique hérité du régime allemand, notamment pour la gestion des lots de chasse. Les communes attribuent les droits de chasse par adjudication, et des plans de chasse obligatoires encadrent les prélèvements de grand gibier. Cette réglementation est plus rigoureuse que dans le reste de la France, et elle impose des suivis statistiques rigoureux. Vie rurale et coutumes cynégétiques en Moselle Dans la culture mosellane, la chasse est une affaire de transmission. La trompe de chasse, les rassemblements de Saint-Hubert, et les repas de battue sont des moments forts du calendrier cynégétique. Le respect du gibier, la mise en valeur du tableau et les usages protocolaires (comme le dernier honneur rendu à l’animal) sont scrupuleusement respectés. Anecdotes et faits saillants autour de la chasse mosellane Le massif forestier du Pays de Bitche est l’un des plus giboyeux de tout l’est de la France. La Moselle fait partie des rares départements où le droit de chasse est communal et non privé. La densité de sangliers y est parfois trois fois supérieure à la moyenne nationale, justifiant des battues régulières même hors saison classique.

Post: 2 September 07:47

La chasse en MEUSE: Forêts denses, gibiers variés, engagement des chasseurs, gestion durable de la faune et réglementation cynégétique

Géographie et caractéristiques nat

La chasse en MEUSE: Forêts denses, gibiers variés, engagement des chasseurs, gestion durable de la faune et réglementation cynégétique Géographie et caractéristiques naturelles Le Meuse, département de la région Grand Est, est réputé pour ses paysages variés et sa riche biodiversité. Traversé par la rivière Meuse, le département offre une grande diversité de milieux naturels, allant des forêts profondes aux prairies humides et aux collines boisées. Ces environnements diversifiés favorisent une faune variée, ce qui en fait un terrain de chasse prisé. Les forêts de chênes et de hêtres, qui recouvrent une grande partie de la région, abritent des populations de gros gibier telles que le cerf, le sanglier et le chevreuil, tandis que les zones marécageuses et les bords de rivières sont idéaux pour la chasse au gibier d'eau (canards, oies, bécasses). Données démographiques et profils de chasseurs meusiens Le Meuse compte environ 8 000 chasseurs actifs, qui sont organisés en plusieurs associations locales et clubs. Ces chasseurs sont impliqués dans la gestion de la faune et la préservation des habitats naturels, en collaboration avec la Fédération Départementale des Chasseurs de la Meuse. Le rôle de cette fédération est essentiel pour la régulation des gibiers et la promotion de pratiques de chasse respectueuses de l’environnement. Les chasseurs participent à diverses initiatives de gestion cynégétique pour contrôler les populations de gibier et protéger les cultures agricoles locales. Approche locale de la chasse et traditions dans le département Le Meuse est particulièrement apprécié pour la chasse au gros gibier, notamment le cerf, le sanglier et le chevreuil. La chasse à la battue est courante dans les forêts denses de la région, permettant de réguler les populations de gibier. La chasse à l'affût est aussi populaire pour les cerfs et chevreuils, en particulier en automne et en hiver. Le gibier d'eau, notamment le canard et l'oie, peut être chassé le long de la Meuse et des marais environnants, où les conditions sont idéales pour la chasse au vol. Enfin, le petit gibier, tel que le lièvre, la perdrix et le pigeon, est abondant dans les espaces agricoles et les bordures de forêts. Calendrier des périodes de chasse et réglementation saisonnière La saison de chasse dans le Meuse suit les régulations nationales, mais chaque année, les dates peuvent varier en fonction des conditions locales et des réglementations préfectorales. En général, la chasse au gros gibier commence en septembre et se termine en février, tandis que la chasse au gibier d'eau commence en octobre et dure jusqu'en janvier. La chasse au petit gibier est ouverte de septembre à janvier. Il est essentiel de respecter les périodes de fermeture et les quotas fixés par les autorités locales pour assurer une gestion durable des populations de gibier. Vie associative et rôle des sociétés de chasse meusiennes Le Meuse abrite plusieurs associations de chasse qui jouent un rôle central dans la gestion des gibiers et la promotion de pratiques respectueuses de l'environnement. La Société de Chasse du Pays de Commercy et la Société de Chasse de Verdun sont parmi les plus actives de la région. Ces clubs organisent des battues, des concours de chiens de chasse et des événements pour sensibiliser les nouveaux chasseurs à la gestion durable des ressources fauniques. La Fédération Départementale des Chasseurs soutient ces associations et collabore avec elles pour organiser des formations et des actions de régulation du gibier. Législation encadrant la pratique cynégétique dans la Meuse La chasse en Meuse est régie par la législation nationale ainsi que des règles locales pour assurer la conservation de la faune et la sécurité des chasseurs. Des quotas de gibier sont fixés chaque année, notamment pour les sangliers, afin de prévenir une surpopulation et limiter les dégâts aux cultures agricoles. Les règles de sécurité sont strictes lors des battues, et des zones de protection de la faune sont parfois instaurées pour éviter les perturbations pendant les périodes de reproduction. Les chasseurs doivent également respecter les interdictions de chasse dans certaines zones sensibles, comme les réserves naturelles. Rites, habitudes et héritage de la chasse en terres meusiennes La chasse en Meuse est marquée par une forte tradition, avec des événements comme la fête de la Saint-Hubert, qui célèbre la passion cynégétique dans la région. Cette fête, qui a lieu chaque année en novembre, est l’occasion pour les chasseurs de se rassembler, de bénir leurs chiens et de partager leur amour pour la nature et la faune. La chasse à la bécasse est une autre tradition populaire dans la région, et elle est souvent accompagnée de concours pour tester l'habileté des chiens à traquer ce gibier spécifique. Détails insolites et faits intéressants liés à la chasse dans le 55 Un aspect fascinant de la chasse en Meuse est la pratique de la chasse à la bécasse. Ce gibier migrateur, qui traverse la région pendant son voyage entre l’Europe et l’Afrique, est recherché pour sa difficulté de prise et la technique raffinée requise pour le chasser. La faune aquatique est également un atout de la région, avec la présence d'espèces migratrices rares qui attirent de nombreux chasseurs passionnés de gibier d'eau. La régulation des sangliers dans le Meuse est un autre sujet d’importance, car ces animaux peuvent causer des dégâts importants aux cultures agricoles, ce qui rend leur gestion cruciale pour la région.

Post: 2 September 07:39

Saisons de chasse en GASPÉSIE: сalendrier complet, réglementation mise à jour et conseils

La Gaspésie, avec ses vastes forêts, ses montagnes majestueuses et son littoral

Saisons de chasse en GASPÉSIE: сalendrier complet, réglementation mise à jour et conseils La Gaspésie, avec ses vastes forêts, ses montagnes majestueuses et son littoral sauvage, est l’une des meilleures destinations de chasse au Québec. Que vous soyez à la poursuite d’un orignal imposant, d’un cerf de Virginie rusé ou d’un ours noir insaisissable, connaître les dates, les règles et les particularités locales est essentiel pour une chasse légale, éthique et fructueuse. Les dates de chasse en Gaspésie Les saisons de chasse en Gaspésie sont déterminées par le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec (MFFP). Elles varient selon les espèces, les zones géographiques et les conditions environnementales. Contrairement à d’autres régions du Canada, comme le Nouveau-Brunswick voisin où certaines saisons commencent plus tôt, la Gaspésie suit des règles strictes, notamment pour le gros gibier. L’orignal, roi des forêts gaspésiennes, se chasse principalement en septembre et octobre, avec une ouverture anticipée pour la chasse à l’arc. Le cerf de Virginie, quant à lui, est surtout actif en novembre, pendant le rut, offrant des opportunités de chasse jusqu’en décembre. Pour l’ours noir, deux périodes sont propices : le printemps (mai-juin), où les ours sortent d’hibernation, et l’automne (septembre-octobre), lorsqu’ils se nourrissent intensivement avant l’hiver. Les changements climatiques et les variations de population animale influencent parfois les dates. Par exemple, depuis 2022, le caribou, autrefois présent dans la région, est totalement protégé et interdit à la chasse en raison du déclin de ses populations. Les meilleurs moments pour chasser en Gaspésie Chaque espèce a ses périodes d’activité maximale. Pour l’orignal et le cerf, l’aube et le crépuscule sont les moments clés, surtout en automne lorsque les mâles sont en rut. Les journées fraîches et nuageuses sont idéales pour l’ours, moins actif en pleine chaleur. La chasse aux oiseaux migrateurs, comme les canards et les oies, est surtout favorable en septembre et octobre, lorsque les vols migratoires traversent la région. Quant au petit gibier (lièvre, gélinotte), la saison s’étend d’octobre à mars, offrant des opportunités même en hiver. ! Certains événements locaux, comme la Fête de la chasse de Mont-Saint-Pierre, rassemblent les passionnés autour de concours et de démonstrations, ajoutant une dimension culturelle à l’expérience. Au programme: concours de tir à l'arc historique, démonstrations de chiens de chasse et dégustations de gibier préparé selon des recettes locales. Règles à respecter La Gaspésie impose des restrictions strictes pour préserver sa faune. Certaines espèces, comme le lynx et le pygargue à tête blanche, sont totalement protégées. Il est également interdit de chasser les femelles orignaux ou ours accompagnées de petits. Les zones de chasse sont réglementées : les parcs nationaux, comme celui de la Gaspésie, sont interdits à la chasse, et certaines réserves fauniques exigent des permis spécifiques. Les périodes de reproduction et de nidification sont également protégées, avec des fermetures temporaires pour éviter le dérangement des animaux. Comment obtenir un permis de chasse en Gaspésie Pour chasser légalement, un permis de chasse valide (résident ou non-résident) est obligatoire, ainsi qu’un certificat du chasseur délivré après une formation. Pour le gros gibier, comme l’orignal, un système de tirage au sort attribue les droits de chasse, et des tags spécifiques doivent être apposés sur l’animal abattu. Les pourvoiries locales facilitent souvent les démarches et offrent des services d’accompagnement, notamment pour les chasseurs venant de l’extérieur du Québec. Sanctions en cas de non-respect des règles Les infractions aux règles de chasse peuvent entraîner de lourdes amendes (jusqu’à 5 000 $ pour la chasse hors saison), la suspension du permis, voire la confiscation de l’équipement. Il est donc crucial de vérifier les dates et les restrictions avant chaque saison. Conseils pour une chasse réussie en Gaspésie - Équipement adapté: Des vêtements chauds et imperméables sont indispensables en automne, tandis que des répulsifs anti-ours peuvent être utiles en été. - Stratégie de chasse: Le repérage en amont augmente les chances de succès, et l’utilisation d’appeaux pendant le rut peut attirer les mâles. - Sécurité: Un GPS ou une carte détaillée est essentiel dans ces vastes étendues sauvages. La Gaspésie offre une expérience de chasse exceptionnelle, à condition de respecter scrupuleusement les règles et de s’adapter aux saisons. Avec une bonne préparation, cette région sauvage récompensera les chasseurs les plus patients par des souvenirs inoubliables.

Post: 2 September 07:36

La chasse en MEURTHE-ET-MOSELLE: Richesse faunistique, traditions régionales, initiatives de gestion cynégétique, saisons de chasse et législation locale

Forêts, vallées

La chasse en MEURTHE-ET-MOSELLE: Richesse faunistique, traditions régionales, initiatives de gestion cynégétique, saisons de chasse et législation locale Forêts, vallées et zones mixtes: le relief de la Meurthe-et-Moselle Le Meurthe-et-Moselle, situé dans la région Grand Est, présente une grande diversité de paysages, allant des forêts denses et des collines aux rivières sinueuses et aux plaines agricoles. Le département est traversé par la Meurthe et la Moselle, qui offrent des zones humides propices à la chasse au gibier d'eau, tandis que les montagnes vosgiennes abritent des forêts où le gros gibier comme le cerf, le sanglier et le chevreuil se trouvent en abondance. Les forêts de feuillus et de résineux ainsi que les terres agricoles offrent un habitat idéal pour les petits gibiers comme le lièvre, la perdrix et le pigeon ramier. Cette diversité géographique fait de Meurthe-et-Moselle un lieu de prédilection pour les chasseurs de tous types. Les chasseurs en Meurthe-et-Moselle: portrait d’un territoire actif Le département de Meurthe-et-Moselle compte environ 10 000 chasseurs actifs, qui sont membres de diverses associations locales et organisent régulièrement des activités de chasse. Ces chasseurs participent activement à la gestion des populations animales et à la conservation de la faune locale. La Fédération Départementale des Chasseurs de Meurthe-et-Moselle joue un rôle clé dans l'organisation de la chasse, la sensibilisation à la gestion des habitats naturels et la régulation des gibiers. La fédération soutient également des initiatives pour intégrer la chasse dans une dynamique de développement durable. Gibier présent et modes de chasse courants en Meurthe-et-Moselle La chasse au gros gibier est l’une des pratiques les plus populaires dans le Meurthe-et-Moselle, notamment pour le cerf, le sanglier et le chevreuil. Ces espèces sont principalement chassées dans les forêts de la région, où la chasse à la battue est courante. La chasse à l'affût est aussi pratiquée pour les cerfs et chevreuils, surtout dans les forêts profondes et moins accessibles. En revanche, la chasse au gibier d'eau, comme les canards, oies et bécasses, est populaire le long des rivières et marécages du département. Le petit gibier, tel que le lièvre, la perdrix et le pigeon, est également présent en plus grande abondance dans les terres agricoles et les bocages, offrant une option de chasse variée. Déroulement saisonnier de la chasse dans le département La saison de chasse en Meurthe-et-Moselle suit les réglementations nationales et préfectorales. La chasse au gibier d'eau commence généralement en octobre, tandis que la chasse au gros gibier ouvre en septembre et se poursuit jusqu'à février. La chasse au petit gibier commence en septembre et se termine en janvier, bien que des exceptions puissent être faites en fonction des réglementations locales. Il est impératif pour les chasseurs de respecter les dates et les quotas de gibier fixés afin de maintenir l'équilibre écologique et de soutenir une gestion durable des populations animales. Clubs et associations: panorama cynégétique local Le Meurthe-et-Moselle abrite plusieurs associations de chasse locales qui sont impliquées dans la gestion de la faune et la préservation des espaces naturels. Des organisations comme la Société de Chasse de la Forêt de Haye ou la Société de Chasse du Pays Haut organisent des événements de chasse, des battues et des formations pour les chasseurs débutants. La Fédération Départementale des Chasseurs travaille en collaboration avec ces associations pour organiser des actions de régulation du gibier et de sensibilisation à l'importance de la biodiversité. Les chasseurs de la région sont également invités à participer à des programmes de surveillance sanitaire des gibiers, notamment en ce qui concerne les maladies animales. Lois et arrêtés régissant la chasse en Meurthe-et-Moselle Les pratiques cynégétiques en Meurthe-et-Moselle sont régies par les lois nationales de la chasse, avec des règles spécifiques appliquées au niveau local. Des quotas sont définis pour certaines espèces, comme les sangliers, afin d'éviter une surpopulation et des dégâts aux cultures agricoles. En fonction des conditions locales, des périodes de fermeture peuvent être instaurées pour certaines espèces en période de reproduction. Les chasseurs doivent également se conformer à des règles strictes concernant l'usage des armes et la sécurité pendant les battues. Enfin, des contrôles de santé des gibiers sont effectués pour garantir la sécurité alimentaire et la prévention de maladies telles que la trichinose chez les sangliers. Patrimoine rural et culture cynégétique locale La chasse en Meurthe-et-Moselle est profondément enracinée dans les traditions locales. Les chasseurs respectent des coutumes séculaires, notamment la fête de Saint-Hubert, où les chiens de chasse sont bénis, et des événements communautaires où les chasseurs se retrouvent pour célébrer la fin de la saison de chasse. En plus de la chasse, des concours de chiens de chasse sont organisés pour tester l'habileté des chiens à traquer et rapporter le gibier. Ces traditions renforcent les liens sociaux entre les chasseurs et favorisent la transmission des connaissances liées à la faune et à l'art cynégétique. Points singuliers et éléments marquants de la chasse dans le 54 Une particularité de la chasse dans le Meurthe-et-Moselle est la grande diversité de gibier, en particulier les gibiers d'eau. En raison des rivières et marécages qui traversent la région, la chasse au gibier migrateur est particulièrement populaire, et la bécasse est un gibier recherché pour sa chasse à la volée, qui demande une grande habileté. De plus, les forêts de la région abritent des populations importantes de cerfs et de sangliers, ce qui en fait une destination prisée pour les passionnés de chasse au gros gibier.

Post: 2 September 07:32

Saison de chasse dans les PRAIRIES canadiennes: dates, réglementations et stratégies locales

Les Prairies canadiennes, comprenant les provinces du Manitoba, de la Saskat

Saison de chasse dans les PRAIRIES canadiennes: dates, réglementations et stratégies locales Les Prairies canadiennes, comprenant les provinces du Manitoba, de la Saskatchewan et de l’Alberta, offrent un terrain de jeu exceptionnel pour les amateurs de chasse. Cette région, connue pour ses vastes étendues de plaines, ses zones humides et ses forêts mixtes, abrite une faune variée, allant du grand gibier comme le cerf de Virginie et l’élan jusqu’aux oiseaux migrateurs tels que les canards et les gélinottes huppées. Réglementation générale et périodes de chasse dans les Prairies La saison de chasse dans les Prairies est strictement encadrée par les autorités provinciales en charge des ressources naturelles. Chaque province établit son propre calendrier, bien qu’il existe des similitudes importantes entre elles. En général, les saisons s’ouvrent à l’automne et se terminent au début de l’hiver, mais cela varie selon les espèces. Le gouvernement ajuste chaque année les dates de chasse en fonction de données écologiques, des populations animales et des retours des chasseurs. Des facteurs climatiques jouent également un rôle : les hivers précoces ou tardifs peuvent modifier légèrement les périodes officielles. Comparativement aux provinces voisines comme la Colombie-Britannique ou l’Ontario, les Prairies présentent des particularités : la densité de population humaine y est plus faible, permettant une meilleure gestion des territoires de chasse. ! Depuis une dizaine d’années, on a assisté à une évolution progressive vers une meilleure protection des femelles et des jeunes individus, avec un renforcement des quotas et des contrôles. La technologie (comme les applications de signalement des prises) est désormais utilisée pour améliorer la traçabilité des activités cynégétiques. Saisonnalité et types de chasse La saison principale débute en septembre et s’étend jusqu’en décembre, période idéale pour la chasse au grand gibier. Pour les espèces migratrices comme les canards et les oies, la saison commence souvent plus tôt, dès août, selon les migrations annuelles. On distingue deux grandes catégories de gibier: - Grand gibier: Cerf de Virginie, orignal, sanglier. - Petit gibier: Lièvre, perdrix grise, canard, gélinotte huppée. Chaque espèce a sa propre fenêtre optimale. Par exemple, le cerf de Virginie est particulièrement actif pendant la période de rut, généralement en octobre-novembre, ce qui en fait un moment privilégié pour les chasseurs. L’orignal, lui, est chassé principalement en septembre, avec des périodes variables selon les zones. L’activité maximale des animaux survient souvent au crépuscule, surtout en automne lorsque les températures baissent. C’est donc à ces moments que les chances de succès sont les plus élevées. ! De nombreux événements liés à la chasse ont lieu chaque année, notamment des foires spécialisées, des concours de tir et des expositions d’équipement. Ces rassemblements sont l’occasion de partager des expériences et de découvrir les dernières innovations en matière de sécurité et de technique de chasse. Restrictions et interdictions dans les Prairies Afin de préserver les populations animales, plusieurs restrictions s’appliquent: - Limites sur le sexe et l’âge: Dans certaines provinces, il est interdit de tuer des femelles de cerf ou d’orignal. Des mesures similaires existent pour les jeunes mâles non matures. - Espèces protégées: Certaines espèces, comme le lynx du Canada ou le pygargue à tête blanche, ne peuvent être chassées sous aucun prétexte. - Périodes de reproduction: Pendant la période de mise bas ou de nidification, la chasse est interdite ou limitée dans certaines zones. Comment obtenir un permis de chasse dans les Prairies Pour pouvoir chasser légalement dans les Prairies, il faut posséder: - Une licence valide délivrée par la province concernée. - Un certificat de sécurité à la chasse. - Des droits d’accès à certains terrains publics ou privés, selon les régions. Sanctions en cas de violation des règles Toute infraction aux règles de chasse peut entraîner des amendes sévères, pouvant atteindre plusieurs milliers de dollars. Les infractions graves, comme la chasse sans permis ou la prise d’une espèce protégée, peuvent conduire à des poursuites pénales, à la confiscation de l’équipement et à l’interdiction définitive de chasser. Les agents de la faune effectuent des contrôles réguliers, notamment lors des points de contrôle après la chasse. Il est donc crucial de respecter scrupuleusement les règles et de porter sur soi tous les documents requis. Conseils pratiques Selon la saison et l’espèce visée, l’équipement doit être adapté: - Automne: Températures fraîches, nécessitant des vêtements chauds et imperméables. - Printemps: Plus doux, mais risque d’intempéries, donc vêtements multi-couches recommandés. - Armes: Selon le gibier, carabine calibre .30-06 pour le grand gibier, fusil à pompe ou semi-automatique pour les oiseaux. Les meilleurs endroits se trouvent souvent près des sources d’eau, des couloirs de migration ou des zones alimentaires. La topographie des Prairies favorise les approches discrètes grâce aux longues distances de visibilité. En ce qui concerne les tactiques, la chasse à l’affût est très efficace pour le cerf, tandis que la chasse à la battue convient mieux pour l’orignal. Les appelants électroniques ou les leurres olfactifs sont largement utilisés pour attirer le gibier. Les Prairies canadiennes représentent une destination prisée pour les chasseurs du monde entier, grâce à une faune riche et une gestion rigoureuse des ressources. Comprendre les saisons, les réglementations et les comportements des animaux est essentiel pour profiter pleinement de cette expérience tout en préservant l’environnement. Bien équipé, bien informé et respectueux des lois, chaque chasseur peut vivre des aventures inoubliables dans ces immensités sauvages.

Post: 2 September 07:26

La chasse en MARNE: Gibier diversifié, traditions locales, associations cynégétiques, démographie des chasseurs et législation de la chasse

Paysages ouverts et bois clai

La chasse en MARNE: Gibier diversifié, traditions locales, associations cynégétiques, démographie des chasseurs et législation de la chasse Paysages ouverts et bois clairsemés: reliefs cynégétiques de la Marne Le département de la Marne, situé dans la région Grand Est, est célèbre pour ses vignobles qui bordent la vallée de la Marne, mais il est aussi traversé par des forêts et des plaines propices à la chasse. La région abrite des forêts de feuillus et de résineux, des zones humides et des rivières, offrant un habitat idéal pour une large gamme de gibiers. Les collines viticoles et les terres agricoles favorisent la présence du gibier de plaine comme le lièvre et la perdrix, tandis que les forêts abritent des espèces de gros gibier telles que le cerf et le sanglier. La Marne est également traversée par des zones marécageuses qui attirent les gibiers d'eau, comme les canards et les oies. Les chasseurs marnais: profils, nombre et ancrage territorial Le nombre de chasseurs en Marne est estimé à environ 13 000 chasseurs actifs, répartis dans différentes zones du département. Ces chasseurs sont organisés en associations locales, et la gestion de la faune y est prise très au sérieux. La Fédération des Chasseurs de la Marne joue un rôle central dans l’organisation des battues et la régulation des populations de gibier. Elle collabore aussi avec les autres acteurs du territoire pour promouvoir une chasse durable et respectueuse de l'environnement. Spécificités rurales et pratiques de chasse dans le département de la Marne Les chasseurs de la Marne pratiquent une chasse variée, avec une forte prédominance de la chasse au gros gibier, notamment le cerf, le sanglier et le chevreuil. Ces espèces sont chassées principalement dans les forêts denses de la région, notamment dans la Forêt d'Argonne. La chasse à la battue est une méthode courante pour les grands gibiers. La chasse à l'affût est également pratiquée, notamment pour le chevreuil. Les gibiers d'eau, comme les canards, oies et bécasses, sont nombreux dans les marais et rivières, et la chasse au gibier d'eau est populaire dans les zones humides de la région. Le petit gibier, tel que le lièvre et la perdrix, est également présent, bien que sa chasse soit moins pratiquée que celle des plus grands gibiers. Diversité du gibier et techniques de chasse en Marne La saison de chasse en Marne suit les réglementations nationales et locales. La chasse au gibier d'eau ouvre en octobre, tandis que la chasse au gros gibier, comme le cerf et le sanglier, commence dès la mi-septembre et se poursuit jusqu’à février. La chasse au petit gibier, tel que le lièvre et la perdrix, débute en septembre et se termine en janvier. Il est important de respecter les dates et de ne pas dépasser les quotas fixés pour chaque espèce afin de préserver les populations animales. Associations locales et réseaux de chasseurs dans la Marne Le département de la Marne compte plusieurs associations de chasse, telles que la Société de Chasse de la Forêt d'Argonne ou l'Association des Chasseurs du Pays de Champagne. Ces associations jouent un rôle important dans la gestion du gibier, en organisant des battues, des formations pour les nouveaux chasseurs et en collaborant avec les autorités locales pour surveiller les populations d'animaux. La Fédération des Chasseurs de la Marne est un acteur essentiel pour la préservation des espaces naturels et la gestion des ressources cynégétiques, en plus de coordonner les activités des différentes associations. Associations locales et réseaux de chasseurs dans la Marne Les lois sur la chasse en Marne sont régies par les réglementations nationales, avec des ajustements locaux pour certaines espèces et périodes de chasse. La gestion des populations de gibier est une priorité pour la préfecture, et des quotas sont définis pour certaines espèces, comme le sanglier, afin d'éviter la surpopulation et les dommages aux cultures. La chasse à tir est également régulée pour garantir la sécurité des chasseurs et éviter les accidents. Des contrôles sanitaires sont effectués pour prévenir la transmission de maladies animales telles que la trichinose. Traditions champenoises autour de la chasse La chasse en Marne est marquée par des traditions fortes, notamment la fête de Saint-Hubert, le patron des chasseurs. Cette célébration est un moment de rassemblement pour les chasseurs et leurs chiens, avec des bénédictions et des festivités qui soulignent le respect envers la nature et les animaux. En outre, la région est connue pour ses concours de chiens de chasse, où les meilleurs chiens de travail sont mis en compétition pour leur habileté à suivre et traquer le gibier. Ces événements renforcent le lien communautaire entre les chasseurs et préservent la transmission des savoirs ancestraux. Faits étonnants et anecdotes cynégétiques en Marne Une particularité de la chasse en Marne est la diversité des paysages qui permet d'expérimenter plusieurs types de chasse, de la chasse en forêt pour le cerf et le sanglier à la chasse au gibier d'eau dans les marais. De plus, la région est un terrain de choix pour la chasse à la bécasse, en raison de ses forêts et de ses bocages, créant un habitat idéal pour cette espèce. La Marne est aussi l’un des départements où la chasse au faucon connaît un regain d’intérêt, notamment dans le cadre de la gestion durable des populations d'oiseaux.

Post: 2 September 07:22

Saisons de chasse dans la TOUNDRA ARCTIQUE (Canada): périodes officielles, réglementation essentielle et conseils pratiques 

La chasse dans la toundra arctique canadienn

Saisons de chasse dans la TOUNDRA ARCTIQUE (Canada): périodes officielles, réglementation essentielle et conseils pratiques La chasse dans la toundra arctique canadienne est une expérience unique, réservée aux chasseurs les plus endurants. Entre paysages immenses, faune adaptée aux conditions extrêmes et réglementations strictes, il est essentiel de bien préparer son expédition. Cet article détaille les saisons de chasse, les règles en vigueur, les meilleures périodes pour traquer le gibier et les démarches administratives nécessaires. Règles générales et périodes de chasse dans la toundra arctique Les saisons de chasse dans la toundra arctique sont strictement encadrées par les gouvernements territoriaux (Yukon, Territoires du Nord-Ouest, Nunavut) et les organismes de gestion de la faune. Les dates varient selon les espèces et les zones, mais la plupart des saisons s’étendent de juillet à octobre, avec des exceptions pour certains gibiers migrateurs comme l’oie des neiges, dont la chasse peut débuter dès avril-mai. Facteurs influençant les dates Le climat et la migration dictent les périodes d’ouverture. Les hivers longs et rigoureux retardent parfois la saison, tandis que la fonte des glaces et la reproduction des animaux imposent des fermetures précoces dans certaines zones. Comparaisons régionales et évolutions récentes Contrairement aux provinces méridionales comme l’Alberta ou le Québec, où les saisons sont plus longues, l’Arctique impose des fenêtres réduites en raison des cycles biologiques courts. Depuis 2010, certaines restrictions ont été renforcées, notamment pour le caribou (dont certaines hardes sont en déclin), avec des quotas plus stricts. Saisonnalité et meilleures périodes de chasse dans la toundra arctique Par type de gibier - Grand gibier (caribou, bœuf musqué): La saison s’étend généralement de août à septembre, lorsque les animaux sont en pleine condition après l’été. - Oiseaux migrateurs (oies, canards) : Chassables dès avril-mai (printemps) et septembre-octobre (automne). - Petit gibier (lièvre arctique, lagopède) : Souvent ouvert de septembre à mars, selon les territoires. Pics d’activité animale Les meilleurs moments pour chasser coïncident avec les migrations et les périodes de rut: - Caribou: Début septembre (avant la migration d’automne). - Bœuf musqué: Octobre, quand les mâles sont plus actifs. - Oiseaux: Mi-septembre, lors des rassemblements pré-migratoires. Événements et festivals Certaines communautés inuites organisent des festivals de chasse traditionnelle, comme le Nalujuk Night (Nunavut), où se mêlent chasse moderne et techniques ancestrales. Au programme: défilé nocturne de créatures traditionnelles, compétitions de tir sur glace et ateliers de techniques ancestrales de survie. Interdictions et restrictions dans la toundra arctique Protection des espèces et périodes sensibles - Femelles gestantes: Interdiction de chasser pendant les périodes de reproduction (avril-juin pour le caribou). - Espèces protégées: Le bœuf musqué est soumis à des quotas stricts, et certaines hardes de caribous (comme la harde de la rivière George) sont totalement protégées. Périodes de fermeture totale La chasse est généralement interdite en hiver (novembre à mars) pour laisser les animaux se nourrir et survivre aux conditions extrêmes. Obtenir un permis de chasse Licences et documents requis - Permis de chasse non-résident: Obligatoire, délivré par le gouvernement territorial - Guide obligatoire: Dans certaines zones, un accompagnateur inuit ou un pourvoyeur agréé est requis. - Tags et quotas: Des droits spécifiques (draws) sont nécessaires pour le caribou et le bœuf musqué. Collaboration avec les pourvoyeurs Les clubs de chasse locaux et les organisations inuites facilitent les démarches et offrent des expéditions guidées, garantissant le respect des traditions et des lois. Sanctions pour non-respect des règles Les infractions (chasse hors saison, dépassement de quotas) entraînent: - Amendes (jusqu’à 50 000 $ CAD pour un non-résident). - Confiscation du gibier et de l’équipement. - Interdiction de chasser au Canada. Conseils pour une chasse réussie dans la toundra arctique - Équipement: Prévoir des vêtements chauds (températures pouvant chuter à -30°C en octobre), un fusil adapté au gros gibier (.300 Win Mag minimum). - Stratégie: Privilégier les zones de transition entre toundra et forêt boréale, où se concentrent les herbivores. Chasser dans la toundra arctique exige préparation, respect des règles et adaptabilité. En choisissant la bonne saison et en collaborant avec les locaux, les chasseurs peuvent vivre une aventure exceptionnelle, dans le respect de l’environnement et des cultures autochtones.

Post: 2 September 07:18

La chasse dans le HAUT-RHIN: Gibiers emblématiques, clubs de chasse, traditions régionales, faune locale et réglementation spécifique

Entre plaine d’Alsace et contrefort

La chasse dans le HAUT-RHIN: Gibiers emblématiques, clubs de chasse, traditions régionales, faune locale et réglementation spécifique Entre plaine d’Alsace et contreforts vosgiens : les terrains de chasse du Haut-Rhin Le Haut-Rhin, situé dans la région Grand Est, est une région au caractère unique, entre les Vosges à l’ouest et la vallée du Rhin à l’est. Cette diversité géographique crée un environnement riche pour la faune, avec des forêts denses en montagne, des collines couvertes de vignes et des plaines alluviales le long du Rhin. Les forêts de feuillus et de résineux sont idéales pour la chasse au cerf, au chevreuil et au sanglier, tandis que les zones humides et les étangs attirent une grande variété de gibiers d'eau, tels que les canards et les oies. Le paysage varié permet aux chasseurs de pratiquer différentes formes de chasse tout au long de l'année. Démographie cynégétique : les chasseurs du Haut-Rhin en chiffres Le Haut-Rhin compte environ 12 000 chasseurs actifs, répartis sur l'ensemble du territoire. Ces chasseurs sont organisés dans plusieurs associations locales qui jouent un rôle crucial dans la gestion des territoires et la régulation des populations de gibier. La Fédération des Chasseurs du Haut-Rhin est une organisation clé qui soutient les chasseurs dans la gestion durable des ressources naturelles et la mise en œuvre de politiques de régulation. Les chasseurs sont également impliqués dans des actions de sensibilisation à la préservation de l'environnement. Démographie cynégétique: les chasseurs du Haut-Rhin en chiffres Dans le Haut-Rhin, les chasseurs peuvent trouver une grande variété de gibier à la fois dans les forêts et les plaines agricoles. Les sangliers, chevreuils et cerfs sont les gibiers les plus recherchés dans les forêts des Vosges. La chasse à la battue est couramment pratiquée pour ces grands gibiers, mais la chasse à l'approche ou à l'affût pour le chevreuil est aussi très populaire. En revanche, les gibiers d'eau (canards, oies, etc.) sont souvent chassés dans les zones humides le long du Rhin. La chasse à la bécasse est également une activité appréciée, notamment dans les forêts de feuillus. Les petits gibiers comme le lièvre et la perdrix sont également présents, bien que leur chasse soit généralement moins courante. Saisons, périodes et modalités de chasse dans le 68 La saison de chasse dans le Haut-Rhin suit les règles fixées au niveau national, mais des ajustements peuvent être faits à l'échelle locale pour chaque type de gibier. La chasse au gibier migrateur est ouverte en octobre, tandis que la chasse au grand gibier commence en septembre et dure jusqu'à février. La chasse au petit gibier, comme le lièvre et la perdrix, commence généralement en septembre et se termine en janvier. Les dates de chasse peuvent varier selon les décisions préfectorales, qui tiennent compte de la gestion des populations animales. Fédérations, clubs et associations locales en Alsace du Sud Le Haut-Rhin possède plusieurs associations de chasse, comme la Société de Chasse du Sundgau ou l'Association des Chasseurs de la Forêt de la Hardt, qui sont actives dans la gestion cynégétique du département. Ces organisations aident à réguler les populations de gibier, à organiser des battues et à promouvoir la chasse responsable. La Fédération des Chasseurs du Haut-Rhin offre des formations, des conseils et des événements pour améliorer la pratique de la chasse. Les chasseurs peuvent également participer à des programmes de gestion de la faune et de préservation des habitats naturels. Encadrement légal de la chasse dans le Haut-Rhin La chasse dans le Haut-Rhin est régie par les lois nationales sur la chasse, mais des règles spécifiques peuvent être définies au niveau préfectoral pour certains gibiers ou territoires. Des quotas sont souvent établis pour limiter la chasse aux espèces dont les populations sont sensibles, comme les sangliers. Les périodes de fermeture sont strictement définies pour permettre aux gibiers de se reproduire et garantir un renouvellement naturel des populations. Des contrôles sanitaires sont également effectués pour prévenir la propagation de maladies comme la trichinose chez le sanglier, ce qui fait partie des pratiques de gestion préventive. Valeurs et traditions ancrées dans les pratiques haut-rhinoises La chasse dans le Haut-Rhin est fortement liée aux traditions alsaciennes. La région est réputée pour ses festivals de chasse, ses concours de chiens de chasse et ses événements communautaires, où les chasseurs se rassemblent pour célébrer la saison. Une tradition marquante est la fête de Saint-Hubert, célébrée par les chasseurs avec des bénédictions de leurs chiens et un hommage à Saint-Hubert, le patron des chasseurs. Ces événements renforcent le lien entre les chasseurs et leur patrimoine culturel, tout en mettant l'accent sur le respect de la nature et du gibier. Particularités notables et faits curieux sur la chasse locale Un aspect intéressant de la chasse dans le Haut-Rhin est l'engouement pour la chasse à l'arc, qui connaît une croissance dans cette région. En raison de la diversité des paysages et des gibiers, le Haut-Rhin est un terrain privilégié pour les chasseurs à l'arc, avec plusieurs clubs spécialisés. Les chasseurs peuvent participer à des événements de tir à l'arc ou même essayer de chasser le gibier avec cette méthode plus discrète et respectueuse. En outre, la région est bien connue pour sa richesse en biodiversité, ce qui en fait un centre important pour les initiatives de conservation et la gestion des populations de gibier.

Post: 2 September 07:12

Saison de chasse dans la FORÊT BORÉALE (Canada): Dates Clés, Réglementations Essentielles et Conseils Pratiques 

La forêt boréale canadienne, étendue sur plus de 300 mil

Saison de chasse dans la FORÊT BORÉALE (Canada): Dates Clés, Réglementations Essentielles et Conseils Pratiques La forêt boréale canadienne, étendue sur plus de 300 millions d’hectares, constitue un territoire idéal pour les amateurs de chasse. Elle abrite une faune variée comprenant le cerf de Virginie, l'orignal, l'ours noir, le lynx, ainsi que diverses espèces de gibier à plume comme la perdrix grise ou le canard. Toutefois, la chasse dans cette région est strictement encadrée par des règles visant à préserver l’équilibre écologique et à garantir la sécurité des chasseurs. Réglementation générale et périodes de chasse dans la forêt boréale Les saisons de chasse dans la forêt boréale sont déterminées chaque année par les gouvernements provinciaux, en collaboration avec des biologistes et des experts en gestion faunique. Ces périodes varient selon les provinces – Québec, Ontario, Alberta, Colombie-Britannique, etc. – mais s’alignent généralement sur les cycles biologiques des espèces. En général, la saison de chasse s’étale de septembre à décembre pour la majorité du gros gibier, tandis que le petit gibier et les oiseaux migrateurs peuvent être chassés de septembre à mars, selon les espèces. Les dates précises sont publiées annuellement par les ministères provinciaux responsables. Le facteur climatique joue un rôle essentiel dans la définition des périodes autorisées. En raison des hivers longs et rigoureux, la fenêtre de chasse est souvent réduite comparée à celle des régions plus méridionales. ! Depuis une dizaine d’années, plusieurs provinces ont durci leurs lois afin de protéger les populations d’orignaux et de caribous menacées, ce qui a conduit à une réduction progressive des permis émis. Saisonnalité et types de gibier En forêt boréale, la chasse se divise en deux grandes périodes : l’automne et l’hiver. La saison automnale, de septembre à novembre, est la plus populaire, particulièrement pour le cerf et l’orignal, dont la période de rut offre des opportunités accrues de repérer les animaux. Le mois d’octobre est souvent considéré comme le moment optimal pour la chasse à l’arc, tandis que novembre convient mieux à la chasse au fusil. L’hiver, de décembre à février, voit la poursuite du gibier à plume comme la perdrix ou les lagopèdes, ainsi que la traque de certains carnivores comme le lynx ou le coyote. Durant ces mois, les températures glaciales rendent nécessaire l’utilisation d’équipements adaptés, notamment des vêtements thermiques et des armes résistantes au froid. ! Certaines provinces organisent des événements liés à la chasse, comme le «Défi Orignal» au Québec ou les journées de chasse organisées par les clubs locaux en Ontario. Les participants traquent l'orignal tout en accumulant des points pour la qualité de leur gibier, leurs techniques éthiques et leur connaissance de la faune. Ces manifestations attirent non seulement des chasseurs locaux, mais aussi des visiteurs internationaux. Restrictions et interdictions dans la forêt boréale Pour protéger les espèces vulnérables, des restrictions strictes encadrent la chasse. Il est notamment interdit de tirer des femelles porteuses de petits ou des mâles présentant certaines caractéristiques physiques (par exemple, un nombre limité de pointes sur les bois). Des quotas annuels sont fixés pour chaque zone de chasse, limitant le nombre total de prélèvements. Certaines espèces, comme le caribou des bois ou le loup gris dans certaines zones, bénéficient d’une protection totale. En outre, la période de reproduction est systématiquement exclue des saisons de chasse: en général, avril à août sont des mois sans activité cynégétique. Comment obtenir une licence de chasse Tout chasseur souhaitant opérer en forêt boréale doit être titulaire d’un permis valide, délivré par les autorités provinciales compétentes. Les documents requis incluent une preuve de résidence, une copie de la carte d’identité, ainsi qu’un certificat de réussite au cours de sécurité en chasse (obligatoire pour les nouveaux chasseurs). Le prix des licences varie entre 25 et 80 CAD selon les provinces et les catégories (résident, non-résident, jeune chasseur). Sanctions en cas de violation des règles Les infractions aux règlements de chasse sont sévèrement sanctionnées. Elles peuvent entraîner des amendes allant de quelques centaines à plusieurs milliers de dollars, la confiscation du matériel de chasse, voire l’interdiction définitive d’exercer cette activité. Les cas graves impliquant le braconnage ou la chasse d’espèces protégées peuvent même mener à des poursuites pénales. Conseils pratiques pour optimiser votre expérience dans la forêt boréale Pour maximiser vos chances de succès, adaptez votre approche selon la saison: - Automne: Privilégiez les premières heures du matin et les dernières avant le coucher du soleil, moments où les animaux sont les plus actifs. Utilisez des appeaux pour attirer les cerfs en période de rut. - Hiver: Préparez-vous à affronter des températures extrêmement basses. Optez pour des bottes isolantes, des gants chauffants et des vêtements multicouches. Les traces dans la neige facilitent le pistage, mais exigez une grande discrétion. En termes de tactiques, la chasse en affût reste la plus efficace en forêt dense, tandis que la battue peut fonctionner dans les zones plus ouvertes. Choisissez vos armes en fonction de la densité forestière et de la distance moyenne d’approche : le fusil reste dominant. Enfin, informez-vous toujours des conditions météo locales et des fermetures temporaires dues à des incendies ou des travaux forestiers. Chasser en forêt boréale au Canada est une expérience à la fois exigeante et gratifiante. En respectant les règles en vigueur, en planifiant soigneusement son expédition et en s’équipant adéquatement, tout passionné peut profiter pleinement de cette nature sauvage tout en contribuant à sa préservation.

Post: 2 September 07:09

La chasse en HAUTE-MARNE: Forêts denses, gibiers variés, associations de chasseurs, traditions rurales et réglementation locale

Forêts profondes et rivières vives: la Ha

La chasse en HAUTE-MARNE: Forêts denses, gibiers variés, associations de chasseurs, traditions rurales et réglementation locale Forêts profondes et rivières vives: la Haute-Marne sauvage La Haute-Marne, située dans la région Grand Est, se caractérise par ses vastes forêts et ses terres agricoles. Le département abrite une grande partie du Parc Naturel Régional de la Forêt d'Orient, un espace naturel riche en biodiversité, parfait pour la chasse au grand gibier et au gibier d'eau. Les collines boisées et les plaines agricoles créent un environnement idéal pour une chasse variée, du gros gibier dans les forêts aux petits gibiers dans les champs ouverts. La rivière Marne et les nombreux étangs de la région attirent une grande quantité d'oiseaux migrateurs, faisant de la chasse au gibier d'eau une activité populaire. Qui sont les chasseurs haut-marnais ? Données et ancrage rural La Haute-Marne abrite environ 8 000 chasseurs actifs, passionnés par la chasse traditionnelle. Ces chasseurs sont répartis dans les nombreuses associations locales présentes sur le territoire. La Fédération Départementale des Chasseurs de la Haute-Marne (FDC 52) est un acteur majeur de la gestion cynégétique, travaillant activement à la régulation des populations de gibier et à la préservation des espaces naturels. La communauté des chasseurs est très impliquée dans la gestion des espèces et la surveillance de la faune. Typologie des espèces chassées en Haute-Marne La Haute-Marne est un territoire riche en gibier de qualité. Les chasseurs y trouvent un large éventail de gibiers, allant du cerf, sanglier, chevreuil au lièvre, faisan et perdrix. La chasse au grand gibier est particulièrement prisée dans les forêts profondes de la région, où le cerf et le sanglier sont abondants. La chasse en battue est populaire, bien qu'on pratique aussi la chasse à l'approche pour le chevreuil. Le gibier d'eau, notamment les canards, oies et cigognes, profite des nombreux lacs et étangs de la région. Rythmes saisonniers et ouverture de la chasse Les dates de la saison de chasse en Haute-Marne suivent les réglementations préfectorales. En 2024, la saison de chasse au gibier de plaine s'ouvre en septembre et se termine en février. La chasse au gibier d'eau est ouverte en octobre, tandis que la chasse au gros gibier commence dès la mi-septembre. Chaque espèce a ses propres périodes de chasse, permettant de préserver l'équilibre naturel et d'éviter la surexploitation des populations animales. Groupes de chasse et maillage associatif en Haute-Marne Les chasseurs de la Haute-Marne sont regroupés au sein de diverses associations locales, telles que la Société de Chasse de la Forêt d'Orient ou la Chasse Associative du Pays de Langres, qui jouent un rôle clé dans l'organisation des battues et la gestion des gibiers. La Fédération Départementale des Chasseurs de la Haute-Marne soutient les initiatives de gestion de la faune, propose des formations et participe à des actions de préservation des habitats naturels. Ces associations organisent également des événements pour promouvoir la chasse durable et responsable. Normes réglementaires locales: ce que dit la loi La chasse en Haute-Marne est régie par des réglementations strictes définies par la préfecture et la Fédération des Chasseurs. Les chasseurs doivent respecter des quotas de gibier, établis pour chaque espèce en fonction de son état de population, afin de garantir la préservation des espèces locales. Le département met également en place des règles de sécurité lors des battues, régulant l'utilisation des armes à feu, et des contrôles sanitaires pour prévenir la propagation de maladies comme la trichinose. Les périodes de chasse sont définies de manière à ne pas perturber les cycles de reproduction des animaux et à maintenir un équilibre écologique. Chasse et culture traditionnelle haut-marnaise La chasse en Haute-Marne est profondément enracinée dans les traditions locales, avec des festivals de chasse et des compétitions de chiens de chasse. Les événements communautaires permettent aux chasseurs de se réunir, de partager leurs expériences et de célébrer leurs réussites. Une tradition ancienne dans la région est la fête de la Saint-Hubert, au cours de laquelle les chiens de chasse sont bénis pour assurer une saison fructueuse. Cette cérémonie marque l'importance du respect envers la nature et le gibier. Éléments insolites ou marquants autour de la chasse en Haute-Marne Une particularité de la chasse en Haute-Marne est la présence de grands espaces sauvages, qui en font un terrain de choix pour la chasse au chien courant. Les forêts denses et les grandes étendues permettent aux chiens de poursuivre le gibier sur de longues distances, un spectacle impressionnant pour les passionnés de cette pratique traditionnelle. Le Parc Naturel Régional de la Forêt d'Orient est également un lieu privilégié pour l'observation de la faune sauvage et la chasse éthique, attirant de nombreux visiteurs intéressés par la gestion des espèces et la conservation de la biodiversité.

Post: 2 September 07:05

Saisons de chasse dans les ROCHEUSES canadiennes: périodes, réglementations à connaître 

Les Rocheuses canadiennes, avec leurs paysages époustouflants et leur faune abon

Saisons de chasse dans les ROCHEUSES canadiennes: périodes, réglementations à connaître Les Rocheuses canadiennes, avec leurs paysages époustouflants et leur faune abondante, attirent chaque année des chasseurs du monde entier. Cependant, pour pratiquer la chasse dans cette région, il est essentiel de connaître les saisons, les réglementations et les meilleures périodes pour maximiser ses chances de succès. Cet article détaille tout ce qu’un chasseur doit savoir avant de partir. Calendrier et réglementation La chasse dans les Rocheuses canadiennes est strictement encadrée par les gouvernements provinciaux, notamment en Alberta et en Colombie-Britannique. Les dates de chasse varient selon les espèces, les zones géographiques et les conditions climatiques. Généralement, la saison s’étend de l’été à l’automne, avec des périodes spécifiques pour le gros gibier, comme l’orignal, le wapiti ou le cerf, ainsi que pour le petit gibier, tel que le lièvre ou le tétras. Plusieurs facteurs influencent ces dates : les Rocheuses sont une région montagneuse où le climat et l’altitude jouent un rôle crucial. Ainsi, les hivers précoces peuvent raccourcir la saison, tandis qu’un automne doux peut la prolonger. En outre, les autorités ajustent parfois les dates afin de protéger les populations animales, notamment en fonction des taux de reproduction. Il existe également des différences régionales notables : contrairement aux Prairies ou aux régions boréales, les Rocheuses offrent des saisons plus courtes pour certaines espèces comme le mouflon d’Amérique, en raison de leur habitat restreint. Au cours des dernières années, des ajustements ont été opérés pour limiter la chasse au wapiti dans certaines zones où les populations déclinaient. Il est donc impératif pour les chasseurs de vérifier annuellement les mises à jour, car les règles peuvent évoluer d’une année à l’autre. Opportunités saisonnières dans les Rocheuses Concernant la saisonnalité, elle varie selon le type de gibier. Pour le gros gibier, la période idéale se situe généralement entre septembre et novembre pour l’orignal (avec un pic en octobre), août à octobre pour le wapiti (rut en septembre), octobre à décembre pour le cerf mulet, et septembre à novembre pour le mouflon d’Amérique, qui bénéficie de permis très limités. Quant au petit gibier et aux oiseaux, les tétras et lagopèdes peuvent être chassés de septembre à décembre, tandis que le lièvre et le coyote sont accessibles toute l’année dans certaines zones. L’automne est particulièrement recommandé pour la chasse au gros gibier, car les mâles sont en rut et donc moins méfiants. De manière générale, les périodes d’activité maximale des animaux correspondent à l’aube et au crépuscule. Pour les oiseaux, les premières heures du matin sont considérées comme optimales. Par ailleurs, certains festivals locaux célèbrent l’ouverture de la saison de chasse, tels que le Rocky Mountain Hunting Expo en Alberta, où les chasseurs partagent conseils et récits. L’événement inclut des démonstrations de techniques alpines comme la chasse en haute altitude ou la traque du mouflon, des conférences sur les nouveaux règlements provinciaux, ainsi que des ateliers de préparation du gros gibier. Règles et restrictions dans les Rocheuses Cependant, plusieurs interdictions et restrictions doivent être respectées. Il est notamment interdit de chasser les femelles accompagnées de petits pour certaines espèces, et des quotas stricts s’appliquent concernant les mâles matures, comme pour le wapiti à bois de plus de six pointes. Certaines espèces sont protégées, tel le caribou des montagnes, dont la chasse est totalement interdite, tandis que le grizzli nécessite un permis rare et coûteux. De plus, au printemps, la chasse est fermée pour la plupart des espèces afin permettre la reproduction. Obtention du permis Pour obtenir un permis de chasse dans les Rocheuses, il faut se procurer un permis provincial, soit en Alberta soit en Colombie-Britannique, ainsi qu’un permis d’arme à feu (PAL). Des tags spécifiques sont requis pour le gros gibier, souvent attribués via un tirage au sort pour certaines espèces. Les chasseurs peuvent également s’appuyer sur des organisations locales comme l’Alberta Fish & Game Association ou la BC Wildlife Federation, qui fournissent des ressources utiles, y compris des guides expérimentés. Sanctions et responsabilités Toutefois, les infractions au règlement, comme la chasse hors saison ou le braconnage, entraînent des sanctions pouvant aller jusqu’à 50 000 dollars canadiens d’amende et la confiscation du matériel. Stratégies pour une chasse réussie dans les Rocheuses Enfin, pour une chasse réussie dans les Rocheuses, il est conseillé de bien se préparer. Un équipement adapté est indispensable, notamment des vêtements chauds pour faire face aux conditions en altitude et des jumelles de qualité pour repérer les animaux à distance. Une bonne stratégie consiste à identifier les zones d’alimentation en été afin d’anticiper les déplacements automnaux. Les vallées et les lisières de forêt sont particulièrement propices à l’approche discrète des proies. Les Rocheuses canadiennes offrent une expérience de chasse inoubliable, à condition de respecter scrupuleusement les règles. Une bonne préparation et une connaissance approfondie des saisons et des réglementations maximiseront vos chances de succès.

Post: 2 September 07:01

La chasse dans le BAS-RHIN: Diversité des gibiers, associations locales, coutumes anciennes, législation régionale et saisons de chasse

Relief, climat et paysages cynégé

La chasse dans le BAS-RHIN: Diversité des gibiers, associations locales, coutumes anciennes, législation régionale et saisons de chasse Relief, climat et paysages cynégétiques typiques du département Le Bas-Rhin, situé en Alsace, bénéficie d’une géographie diversifiée, allant des montagnes des Vosges au nord à la plaine d’Alsace au sud, traversée par des rivières comme l'Ill et le Rhin. Cette variété de paysages crée des habitats propices à plusieurs types de gibier, des forêts profondes des Vosges aux champs agricoles de la plaine. Les forêts qui dominent une grande partie du département sont idéales pour la chasse au grand gibier, notamment le cerf, le sanglier et le chevreuil, tandis que les zones humides et les marais attirent une multitude d'oiseaux migrateurs. Portrait des chasseurs locaux et dynamique démographique dans la région Le Bas-Rhin compte environ 15 000 chasseurs actifs, une communauté passionnée par la chasse et la préservation de la faune. La Fédération des Chasseurs du Bas-Rhin, un acteur majeur dans la gestion cynégétique de la région, soutient les chasseurs à travers des formations, des événements et des initiatives pour garantir une chasse responsable et durable. Les chasseurs du Bas-Rhin sont impliqués dans la régulation de la faune et l’entretien des habitats naturels. Spécificités locales de la chasse dans le département de Bas-Rhin Le Bas-Rhin offre une variété de gibier et une diversité de pratiques cynégétiques. Parmi les gibiers les plus recherchés, on trouve le cerf, le sanglier, le chevreuil, le lièvre, la perdrix et diverses espèces d'oiseaux migrateurs. Les chasseurs de la région privilégient souvent la chasse en battue pour les gros gibiers comme le sanglier et le cerf. La chasse à l'approche ou à l'affût est également populaire, particulièrement pour le chevreuil. Les zones humides du Bas-Rhin, telles que la Réserve Naturelle du Neuhof, sont idéales pour la chasse au gibier d'eau, notamment les canards et les oies. La chasse à la bécasse est aussi pratiquée dans les zones boisées. Faune présente et types de chasse pratiqués en Bas-Rhin Les saisons de chasse dans le Bas-Rhin sont régies par la réglementation locale, qui définit les périodes pour chaque espèce. La chasse au gibier migrateur commence en septembre pour les oiseaux d’eau, tandis que la chasse au grand gibier est ouverte à partir de la mi-septembre. En fonction des espèces, la période de chasse peut se prolonger jusqu'à février ou mars. Les chasseurs doivent respecter les dates précises pour chaque type de gibier afin de préserver les populations animales et garantir un équilibre écologique. Associations et clubs de chasse Le Bas-Rhin abrite de nombreuses associations de chasse, dont la Fédération des Chasseurs du Bas-Rhin, qui joue un rôle central dans la gestion des territoires de chasse et la formation des chasseurs. Ces associations offrent un soutien pratique, juridique et environnemental aux chasseurs de la région. La Société de Chasse de la Forêt de Haguenau est un exemple d’association où les chasseurs locaux se réunissent pour participer à des battues, gérer les territoires et organiser des événements sociaux autour de la chasse. Les chasseurs du Bas-Rhin participent également à des actions de conservation et à la régulation des populations de gibier. Structures, sociétés et associations de chasseurs en Bas-Rhin Le Bas-Rhin suit les réglementations nationales sur la chasse, mais la région dispose aussi de ses propres arrêtés préfectoraux qui régissent les pratiques locales. Par exemple, des quotas sont définis pour chaque espèce de gibier afin d’éviter une surpopulation, notamment pour les sangliers. Des règles strictes existent également concernant l’utilisation des armes à feu, les munitions et la sécurité lors des battues. Des périodes de fermeture sont instaurées pour permettre aux populations animales de se reproduire sans perturbations. Les chasseurs sont également invités à participer à des actions de surveillance sanitaire, en particulier concernant les maladies comme la trichinose chez les sangliers. Traditions rurales, coutumes cynégétiques et ancrage culturel La chasse en Alsace est un élément fondamental de la culture locale, avec des pratiques qui remontent à plusieurs siècles. Les traditions incluent des festivals de chasse, des banquets où l’on célèbre la récolte du gibier, et des processions de Saint-Hubert, le saint patron des chasseurs. Les cérémonies de bénédiction des chiens de chasse et des armes sont également courantes, célébrant la relation respectueuse entre l’homme et la nature. Ces traditions renforcent le lien profond entre la communauté des chasseurs et la région du Bas-Rhin, où la chasse n'est pas seulement un sport, mais un mode de vie. Anecdotes, initiatives et faits marquants liés à la chasse dans Bas-Rhin Un fait intéressant concernant la chasse dans le Bas-Rhin est la tradition de la chasse à l'arc. La région a vu une augmentation de la pratique de la chasse à l'arc, avec des clubs spécialisés qui organisent des compétitions et des formations pour les chasseurs désirant adopter cette méthode plus discrète et écologique. Le Parc Naturel Régional des Vosges du Nord, avec ses vastes forêts, est particulièrement prisé pour ce type de chasse.

Post: 2 September 06:57

La chasse dans l'AUBE: Diversité des gibiers, traditions cynégétiques, associations locales, démographie des chasseurs et cadre géographique

Entre forêts, plaines céréal

La chasse dans l'AUBE: Diversité des gibiers, traditions cynégétiques, associations locales, démographie des chasseurs et cadre géographique Entre forêts, plaines céréalières et bocages: la diversité de l’Aube Situé dans la région Grand Est, le département de l'Aube offre une mosaïque de paysages composée de vastes plaines céréalières, de forêts feuillues et de zones humides, notamment les lacs de la forêt d'Orient. Cette diversité d'habitats favorise une riche biodiversité, offrant aux chasseurs une variété de terrains propices à différentes pratiques cynégétiques.​ Un aperçu des chasseurs de l’Aube et de leur enracinement rural L'Aube compte environ 11 000 chasseurs actifs, regroupés au sein de près de 2 000 associations locales. La Fédération Départementale des Chasseurs de l'Aube (FDC 10) emploie 15 salariés et est dirigée par 15 administrateurs. Elle est agréée au titre de la protection de la nature et joue un rôle clé dans la gestion de la faune sauvage et la préservation des milieux naturels. Chasse et territoire: pratiques typiques dans le département de l’Aube La diversité des écosystèmes aubois permet la pratique de plusieurs modes de chasse. La chasse en battue est privilégiée pour le grand gibier, notamment le sanglier et le chevreuil. La chasse à l'approche se développe également, offrant aux chasseurs une expérience plus individuelle et silencieuse. Le petit gibier, tel que le lièvre et diverses espèces de faisans, est également présent, permettant la chasse devant soi. ​ Calendrier des périodes de chasse en Aube Pour la saison 2024-2025, la période d'ouverture générale de la chasse à tir dans l'Aube est fixée du dimanche 15 septembre 2024 à 8h30 au vendredi 28 février 2025 à 17h30. Les horaires de chasse sont autorisés de 8h30 à 17h30. Des dérogations spécifiques existent pour certaines espèces et modes de chasse, notamment pour le grand gibier. Sociétés de chasse et coordination départementale L'Aube dispose d'un tissu associatif riche dédié à la chasse. Parmi les principales associations:​ Association Départementale des Jeunes Chasseurs de l'Aube: vise à faciliter l'accès à la chasse pour les jeunes et nouveaux chasseurs de moins de 35 ans ou ayant moins de 5 ans de permis. Association des Chasseurs à l'Arc de l'Aube: regroupe les passionnés de la chasse à l'arc, promouvant cette pratique traditionnelle et respectueuse de l'environnement. ​ Un annuaire complet des associations de chasse de l'Aube est disponible pour faciliter les contacts et les échanges entre passionnés. ​ Législation locale et cadre de sécurité pour les chasseurs aubois La chasse dans l'Aube est encadrée par des arrêtés préfectoraux qui définissent les périodes d'ouverture et de fermeture, les espèces chassables et les modalités spécifiques à certaines zones. Les chasseurs doivent se conformer aux réglementations nationales et aux particularités locales, notamment en ce qui concerne les plans de chasse pour le grand gibier. ​ Culture, rituels et fêtes de chasse dans l’Aube La chasse est profondément ancrée dans la culture auboise, avec des pratiques transmises de génération en génération. Les fêtes de la chasse, organisées par la FDC 10, célèbrent cette tradition et renforcent les liens entre les chasseurs locaux. ​ Chiffres, faits notables et anecdotes cynégétiques locales La FDC 10 a mis en place une "bourse aux territoires" visant à faciliter l'accès aux territoires de chasse pour un plus grand nombre de chasseurs et chasseresses, favorisant ainsi le partage et la découverte de nouveaux terrains de chasse.

Post: 2 September 06:54

La chasse dans les ARDENNES: Forêts giboyeuses, traditions ancestrales, types de gibier, saisons de chasse et vie des chasseurs dans l’un des territoires cynégétiques les

La chasse dans les ARDENNES: Forêts giboyeuses, traditions ancestrales, types de gibier, saisons de chasse et vie des chasseurs dans l’un des territoires cynégétiques les plus riches du nord-est de la France Forêts profondes, vallées escarpées et terres de chasse ardennaises Les Ardennes, situées dans le nord-est de la France, se distinguent par des paysages vallonnés et des forêts denses, notamment la forêt ardennaise, qui s'étend sur une grande partie du département. Ces vastes étendues boisées offrent un habitat idéal pour une faune riche et variée, faisant des Ardennes un territoire prisé des chasseurs.​ Les chasseurs des Ardennes: passion, transmission et enracinement local Le département des Ardennes compte environ 8 000 chasseurs actifs, regroupés au sein de la Fédération Départementale des Chasseurs des Ardennes (FDC 08). Cette communauté dynamique participe activement à la gestion et à la préservation du patrimoine cynégétique local. Ce qui rend la chasse unique dans le massif ardennais La diversité des habitats ardennais permet la pratique de différents modes de chasse. Le grand gibier, notamment le cerf, le chevreuil et le sanglier, est abondant dans les massifs forestiers. Le petit gibier, tel que le lièvre et diverses espèces de faisans, est également présent, offrant aux chasseurs une variété d'opportunités cynégétiques. Saisons de chasse dans le nord-est forestier Pour la saison 2024-2025, la période d'ouverture générale de la chasse à tir et de la chasse au vol dans les Ardennes est fixée du 15 septembre 2024 à 8h30 au 28 février 2025 à 18h. Les horaires de chasse sont autorisés de 8h30 jusqu'à une heure après le coucher du soleil, sans dépasser 18h. Associations actives et gestion cynégétique ardennaise La FDC 08, reconnue d'utilité publique et agréée au titre de la protection de l'environnement, joue un rôle central dans l'organisation et la régulation de la chasse dans le département. Elle assure des missions de gestion, d'étude et de protection de la nature, et propose des services tels que la validation annuelle du permis de chasser et la souscription d'assurances pour les chasseurs. Réglementation spécifique en Ardennes et règles à connaître La chasse dans les Ardennes est réglementée par des arrêtés préfectoraux qui définissent les dates d'ouverture et de clôture, les espèces chassables et les modalités spécifiques à certaines zones. Les chasseurs doivent également valider annuellement leur permis de chasser et souscrire une assurance responsabilité civile obligatoire. ​ Traditions locales et vie cynégétique dans le territoire ardennais Les Ardennes possèdent une riche tradition cynégétique, notamment liée à Saint Hubert, le saint patron des chasseurs. Chaque année, des célébrations en son honneur ont lieu, perpétuant les coutumes ancestrales de la région. Faits intéressants et particularités de la chasse ardennaise La forêt ardennaise est non seulement un haut lieu de la chasse, mais également un espace naturel d'exception, abritant une biodiversité remarquable. Les chasseurs locaux jouent un rôle actif dans la préservation de cet écosystème, contribuant à l'équilibre entre la faune et son habitat.

Post: 2 September 06:50

Saisons de chasse à TERRE-NEUVE-ET-LABRADOR: Dates d'Ouverture et Fermeture, Permis Indispensables, Règles Locales et Périodes Clés

Terre-Neuve-et-Labrador, avec ses vas

Saisons de chasse à TERRE-NEUVE-ET-LABRADOR: Dates d'Ouverture et Fermeture, Permis Indispensables, Règles Locales et Périodes Clés Terre-Neuve-et-Labrador, avec ses vastes étendues sauvages et sa biodiversité unique, est un véritable paradis pour les amateurs de chasse. Cependant, la pratique de cette activité est strictement encadrée par des règles précises qui varient selon les saisons, les espèces et les zones géographiques. Ce guide vous permettra de comprendre les grandes lignes du calendrier cynégétique dans cette région canadienne. Règles et périodes de chasse à Terre-Neuve-et-Labrador Le calendrier de chasse à Terre-Neuve-et-Labrador s'étend principalement d'août à décembre, bien que certaines exceptions existent pour des espèces spécifiques. Pour le gros gibier comme l'orignal et l'ours noir, la saison s'étend généralement de fin août à mi-décembre. Le petit gibier, comprenant le lagopède et le tétras, peut être chassé de début septembre à fin décembre, tandis que les canards et autres oiseaux migrateurs sont chassables de début septembre à mi-décembre. Une particularité notable concerne le lagopède des saules, dont la chasse est autorisée toute l'année dans certaines zones. Ces dates dépendent de plusieurs facteurs: cycles de reproduction, conditions climatiques et données démographiques sur les populations animales. Le ministère de l'Environnement fixe ces périodes après consultation d’experts et de groupes locaux, assurant une gestion durable de la faune. La géographie variée de la province entraîne des différences régionales. Sur les côtes, les saisons sont plus courtes à cause des vents marins. À l’intérieur, les forêts offrent des saisons plus longues. Au Labrador, les dates s’adaptent aux conditions arctiques. Comparativement au Québec ou à la Nouvelle-Écosse, Terre-Neuve-et-Labrador a des saisons légèrement différentes: la chasse à l’orignal commence plus tôt (fin août), et celle des oiseaux migrateurs est moins restrictive. L’évolution du calendrier montre des ajustements constants: allongement de la saison du lagopède en 2005, restrictions accrues pour l’ours noir en 2012, modifications des quotas pour l’orignal en 2018. Ces changements traduisent une gestion adaptative basée sur la science et l’environnement. Quand partir? Les meilleures périodes selon le gibier à Terre-Neuve-et-Labrador L’automne est la période idéale pour la plupart des espèces. L’hiver se limite à certaines zones, le printemps et l’été servent à préparer la saison suivante. Chaque gibier a son pic d’activité: orignal en octobre-novembre, ours noir en septembre-octobre, lagopède mâle en novembre-décembre, canard en septembre. Les animaux sont plus actifs à l’aube et au crépuscule, pendant les migrations et le rut. La culture cynégétique s’exprime lors d’événements comme le "Fall Hunting Weekend" à Corner Brook, avec ateliers pratiques et échanges avec des biologistes. Des clubs organisent aussi des compétitions de tir réaliste, et certaines réserves ouvrent leurs portes accompagnées de gardes-faune. Interdictions et bonnes pratiques à Terre-Neuve-et-Labrador Des restrictions encadrent la chasse : interdiction de cibler les femelles avec petits, quotas individuels, protections totales pour certaines espèces comme le caribou des bois ou le castor dans certains lieux. Des périodes de protection existent au printemps pour la reproduction. Comment obtenir un permis Pour chasser légalement, il faut un permis général, des licences spécifiques, un certificat de sécurité et une assurance. L’inscription se fait en ligne, avec examen théorique et pratique, et paiement de droits variant entre 50 et 200 dollars. Des organismes comme la Newfoundland and Labrador Wildlife Federation offrent un soutien. Sanctions en cas d’infraction Les infractions peuvent coûter cher : amendes de 500 à 5000 $, suspension de permis, voire prison, avec confiscation d’équipement. Conseils pour une chasse réussie à Terre-Neuve-et-Labrador Pour réussir sa chasse, il faut choisir le bon moment en fonction de la météo et des comportements animaux, privilégier les bons terrains (boisés pour l’orignal, ouverts pour le petit gibier, points d’eau pour les oiseaux), utiliser un équipement adapté (arme calibre .308, vêtements imperméables, GPS, etc.) et adopter des stratégies efficaces comme la chasse matinale ou le travail en équipe. La chasse à Terre-Neuve-et-Labrador demande une bonne connaissance des règlements et une planification rigoureuse. En respectant ces directives et en s’adaptant aux conditions locales, les chasseurs peuvent profiter pleinement de cette activité tout en contribuant à la préservation de la faune exceptionnelle de ce territoire sauvage.

Post: 2 September 06:42

Saisons de chasse au NOUVEAU-BRUNSWICK: Règles officielles, périodes à connaître

Le Nouveau-Brunswick, province canadienne riche en forêts et en faune sauvage, offre des

Saisons de chasse au NOUVEAU-BRUNSWICK: Règles officielles, périodes à connaître Le Nouveau-Brunswick, province canadienne riche en forêts et en faune sauvage, offre des opportunités de chasse variées. Cependant, les chasseurs doivent respecter des règles strictes concernant les saisons, les licences et les restrictions. Les Règles Générales et les Périodes de Chasse au Nouveau-Brunswick Les saisons de chasse au Nouveau-Brunswick sont régulées par le Ministère des Ressources naturelles et du Développement de l'énergie (MRNDE), avec des dates qui varient selon les espèces et les zones géographiques. Pour le grand gibier comme l'orignal, le cerf de Virginie et l'ours noir, la saison s'étend généralement de septembre à décembre. Le petit gibier, comprenant le lièvre, la gélinotte et le tétras, peut être chassé d'octobre à mars, tandis que la chasse aux oiseaux migrateurs tels que les canards et les oies est autorisée de septembre à décembre. Plusieurs facteurs influencent l'établissement de ces périodes de chasse. Le climat rigoureux des hivers peut parfois conduire à raccourcir certaines saisons, tandis que les études biologiques sur les populations animales permettent d'ajuster les quotas pour assurer une gestion durable de la faune. Comparé aux régions voisines, le Nouveau-Brunswick présente des particularités notables. Contrairement au Québec où la chasse à l'orignal commence dès août, la province ouvre généralement sa saison en septembre. La chasse au cerf y est également plus restrictive qu'en Nouvelle-Écosse, où les populations sont plus élevées. Depuis 2020, des ajustements ont été mis en place pour protéger certaines espèces vulnérables comme le cerf de Virginie, avec des restrictions accrues dans les zones identifiées comme surexploitées. Saisonnalité de la Chasse La saisonnalité de la chasse varie selon les espèces ciblées. L'ours noir peut être chassé au printemps (d'avril à juin) et à l'automne (de septembre à novembre). L'orignal se chasse de septembre à décembre selon les zones, tandis que le cerf de Virginie est chassable d'octobre à décembre, avec des périodes spéciales réservées à la chasse à l'arc et à l'arbalète. Pour le gibier à plume, la sauvagine est chassable de septembre à décembre, alors que le petit gibier peut être traqué d'octobre à mars. Les connaisseurs recommandent certaines périodes précises pour maximiser les chances de succès: la fin septembre à mi-octobre pour l'orignal (période du rut), novembre pour le cerf (activité accrue avant l'hiver), et mai-juin ou septembre-octobre pour l'ours (respectivement après l'hibernation et avant l'hiver). Le Festival de la chasse à l'orignal d'Edmundston est un moment fort de la saison, célébrant la tradition cynégétique locale à travers des démonstrations de découpe, des conférences sur la gestion de la faune et des dégustations de gibier. Cet événement convivial permet également aux chasseurs d'échanger avec des guides expérimentés et de partager des récits de chasse autour d'un feu de camp. Les villes de Moncton et Fredericton accueillent quant à elles des expositions sur la chasse et le plein air, véritables vitrines des dernières innovations en équipement de chasse. Ces rassemblements permettent aux passionnés de comparer le matériel, d'assister à des démonstrations de technologies de pointe et de bénéficier des conseils d'experts. Interdictions et Restrictions Des limites sont imposées sur le sexe et l'âge des animaux pouvant être prélevés: les femelles orignals sont protégées dans certaines zones, et des quotas stricts s'appliquent aux biches de cerf de Virginie. Certaines espèces bénéficient d'une protection totale, comme le caribou des bois, classé espèce en danger, ou divers oiseaux de proie protégés par la loi fédérale. Des périodes de fermeture sont également instaurées pour protéger la reproduction (mai-juin) et la chasse de nuit est strictement interdite après le coucher du soleil. Obtention des Permis de Chasse au Nouveau-Brunswick Pour chasser légalement au Nouveau-Brunswick, un permis de chasse général est obligatoire pour tous, résidents comme non-résidents, auquel s'ajoutent des permis spécifiques pour certaines espèces (orignal, ours, cerf). Les non-résidents doivent également se procurer une carte de chasseur. Ces documents sont disponibles en ligne via le site du gouvernement provincial ou dans les points de vente agréés comme les magasins de sport et les clubs de chasse. Sanctions en Cas de Non-Respect Le non-respect des réglementations entraîne des sanctions sévères. Chasser sans permis peut valoir une amende allant jusqu'à 5 000 $, tandis que le dépassement des quotas peut conduire à la suspension du permis et à des poursuites judiciaires. La chasse hors saison est passible de confiscation de l'équipement et de lourdes amendes. Conseils Pratiques pour une Chasse Réussie au Nouveau-Brunswick Pour maximiser leurs chances de succès, les chasseurs expérimentés recommandent d'adapter leurs stratégies aux espèces et aux saisons. Les zones forestières denses des comtés de Restigouche et Victoria sont idéales pour l'orignal, tandis que les lisières des champs et zones agricoles conviennent mieux au cerf. L'équipement doit être choisi avec soin: vêtements imperméables, jumelles et appelants pour l'automne; raquettes et vêtements chauds pour l'hiver. Les techniques varient également, l'affût étant particulièrement efficace pour l'orignal et le cerf, alors que la chasse en groupe est recommandée pour l'ours. Le Nouveau-Brunswick offre ainsi une expérience de chasse diversifiée dans un cadre naturel préservé, mais exige le strict respect des saisons et des règles établies. En planifiant soigneusement leurs expéditions selon les périodes d'activité maximale du gibier et en se conformant aux réglementations en vigueur, les chasseurs peuvent profiter pleinement de cette activité tout en contribuant à la préservation de la riche faune sauvage de la province.

Post: 2 September 06:37

Saisons de chasse au NUNAVUT (Canada): Règles Essentielles, Permis Indispensables et Meilleures Périodes 

Le Nunavut, territoire nordique du Canada, offre des opportunit

Saisons de chasse au NUNAVUT (Canada): Règles Essentielles, Permis Indispensables et Meilleures Périodes Le Nunavut, territoire nordique du Canada, offre des opportunités de chasse uniques dans un environnement sauvage et préservé. Cependant, les chasseurs doivent respecter des règles strictes concernant les saisons, les permis et les restrictions. Le Cadre Réglementaire de la Chasse au Nunavut Les saisons de chasse au Nunavut varient considérablement selon les espèces et les zones géographiques. Pour le gros gibier comme le caribou, le bœuf musqué et l'ours, la période principale s'étend généralement d'août à octobre. Les amateurs de gibier à plumes (oies, canards, lagopèdes) trouveront leur bonheur entre septembre et décembre, tandis que la chasse hivernale (loup, renard arctique) se pratique de janvier à mars. Ces dates sont soigneusement établies par le ministère de l'Environnement du Nunavut en collaboration avec les organisations locales de gestion de la faune, prenant en compte plusieurs facteurs déterminants. Les migrations animales, particulièrement celles des caribous et des oiseaux, influencent grandement le calendrier cynégétique. Les conditions climatiques extrêmes, qui affectent à la fois les périodes de reproduction et l'accès aux zones de chasse, jouent également un rôle crucial. Un aspect unique au Nunavut concerne les traditions inuites, qui bénéficient de droits de chasse spécifiques et contribuent à façonner les réglementations. Comparé aux autres provinces canadiennes comme le Québec ou les Territoires du Nord-Ouest, le Nunavut présente des particularités notables. Les saisons y sont souvent plus courtes pour certaines espèces, notamment le caribou. Les chasseurs locaux inuits bénéficient quant à eux de quotas moins restrictifs, reconnaissant ainsi leurs droits ancestraux. Le climat arctique impose également ses contraintes, interdisant par exemple toute chasse printanière pour certaines espèces. Ces dernières années ont vu augmenter les restrictions pour certaines populations animales, comme le caribou de la toundra, dont le déclin a nécessité des mesures de protection renforcées. Les Meilleures Périodes par Type de Gibier Chaque type de gibier possède sa propre temporalité au Nunavut. Le caribou se chasse principalement d'août à octobre, avec septembre comme mois idéal. Le bœuf musqué offre une fenêtre de chasse plus large, d'août à mars, permettant même une chasse hivernale. L'ours polaire, strictement régulé, ne peut être traqué qu'entre octobre et juin avec des permis spéciaux. Les oiseaux migrateurs, quant à eux, sont principalement chassables de septembre à décembre, avec un pic d'activité en octobre. Les connaisseurs privilégient la fin d'été et le début d'automne pour profiter des migrations et des conditions climatiques plus clémentes, tandis que l'hiver offre l'avantage d'un pistage facilité par la neige pour les prédateurs comme le loup et le renard arctique. Le Nunavut Hunting Expo, organisé chaque année en juillet, constitue l'événement phare dédié à la chasse arctique. Cette manifestation unique rassemble guides inuits et chasseurs professionnels qui partagent leur savoir ancestral. Les visiteurs peuvent y découvrir des formations sur les techniques de survie, des démonstrations d'équipement adapté au climat extrême, et planifier des expéditions pour traquer le caribou, l'ours polaire ou le bœuf musqué. Certains villages organisent également des chasses traditionnelles inuites, offrant aux visiteurs une immersion culturelle rare alliant chasse au phoque, pêche sur glace et découverte des savoir-faire ancestraux. Interdictions et Bonnes Pratiques au Nunavut Des restrictions strictes encadrent la pratique de la chasse au Nunavut. Il est notamment interdit de chasser les femelles accompagnées de petits, que ce soit pour les ours ou les caribous. Certains trophées sont soumis à des tailles minimales, comme les bois de caribou. Des espèces emblématiques comme les bélugas et les narvals sont réservées exclusivement à la chasse inuite, tandis que les ours polaires font l'objet de quotas très stricts. La plupart des espèces ne peuvent être chassées au printemps, période cruciale pour la reproduction, à quelques exceptions locales près. Comment Obtenir un Permis Pour chasser légalement au Nunavut, plusieurs documents sont indispensables. Les non-résidents doivent se procurer un permis de chasse spécifique, en plus d'un permis d'arme à feu valide au Canada. Certaines espèces, comme l'ours polaire, nécessitent obligatoirement les services d'un guide local. Les associations de chasse inuites et les pourvoyeurs agréés jouent un rôle clé en facilitant l'obtention des droits d'accès et en simplifiant les démarches administratives pour les visiteurs. Les contrevenants s'exposent à des sanctions sévères : une chasse sans permis peut valoir une amende jusqu'à 50 000 $ CAD avec confiscation de l'équipement, tandis que le dépassement des quotas entraîne la suspension du permis et des poursuites judiciaires. Conseils pour une Chasse Réussie au Nunavut Une expédition de chasse réussie au Nunavut demande une préparation minutieuse. L'automne s'avère la meilleure période pour le gros gibier, tandis que les zones côtières offrent des conditions idéales pour les oiseaux migrateurs. L'équipement doit être adapté aux températures extrêmes : vêtements chauds et résistants sont indispensables, tout comme des armes de calibre approprié (.308 minimum pour le caribou). Les stratégies de chasse doivent tenir compte de l'environnement particulier : une approche silencieuse est cruciale en terrain ouvert, et l'utilisation de leurres peut s'avérer très efficace pour les oiseaux. Le Nunavut offre une expérience de chasse exceptionnelle, mais exige une préparation rigoureuse. Respectez les règles, choisissez bien vos périodes et profitez d'un territoire sauvage comme nul autre au monde.

Post: 1 September 21:26

Les périodes de chasse dans les TERRITOIRES DU NORD-OUEST (Canada): Maîtriser les réglementations, optimiser vos sorties grâce aux calendriers saisonniers

Les Territoire

Les périodes de chasse dans les TERRITOIRES DU NORD-OUEST (Canada): Maîtriser les réglementations, optimiser vos sorties grâce aux calendriers saisonniers Les Territoires du Nord-Ouest (TNO) représentent un véritable paradis pour les chasseurs, offrant une diversité unique de faune sauvage et des paysages spectaculaires. Cependant, la chasse dans cette région est strictement réglementée pour protéger ses écosystèmes fragiles et assurer la durabilité des populations animales. Règles générales et calendrier de chasse dans les Territoires du Nord-Ouest Les périodes de chasse dans les TNO sont divisées en plusieurs saisons qui varient selon les espèces et les zones géographiques. Au printemps, les activités sont limitées et principalement centrées sur les oiseaux migrateurs. L'été constitue une saison de chasse secondaire, souvent réservée aux permis spéciaux. L'automne représente la saison phare pour la plupart des gros gibiers comme le caribou, l'orignal et l'ours, tandis que l'hiver voit une chasse restreinte, mais possible pour certaines espèces comme le loup ou le renard. Les dates de chasse sont fixées par le gouvernement des TNO en collaboration avec des biologistes et des communautés autochtones. Ces décisions tiennent compte de plusieurs facteurs déterminants. Le climat joue un rôle crucial, avec des hivers rigoureux et des étés courts qui influencent les migrations et la reproduction des animaux. Le paysage particulier, composé de toundra, de forêts boréales et de montagnes, crée des habitats variés nécessitant des adaptations locales. Enfin, des études annuelles sur les populations animales permettent d'ajuster les quotas pour éviter le surpâturage et préserver l'équilibre écologique. Contrairement aux provinces voisines comme l'Alberta ou la Colombie-Britannique, les TNO appliquent des périodes de chasse plus courtes et plus restrictives. Cette particularité s'illustre notamment par la suspension fréquente de la chasse au caribou de Bathurst en raison de la baisse drastique de sa population. Au cours des dernières décennies, les périodes de chasse ont connu des ajustements significatifs pour répondre aux défis environnementaux. Un exemple marquant remonte à 2015, lorsque des restrictions sévères ont été imposées sur la chasse au bison des bois pour préserver cette espèce menacée. Saisonnalité de la chasse et opportunités selon les périodes dans les Territoires du Nord-Ouest Chaque saison offre des opportunités uniques aux chasseurs. Le printemps se révèle idéal pour traquer les oiseaux migrateurs comme les canards et les oies, dont la migration se concentre généralement entre avril et mai. L'été autorise peu de chasse, mais délivre quelques permis spéciaux pour les mammifères marins comme le phoque. L'automne constitue le moment idéal pour les gros gibiers terrestres, les mâles étant souvent plus actifs pendant la période de rut entre septembre et octobre. L'hiver ouvre quant à lui la chasse aux petits carnivores comme le lynx ou le renard arctique. Pour maximiser ses chances, il est essentiel de connaître les meilleurs moments pour chaque espèce. Le caribou se chasse idéalement de septembre à novembre, lorsque les troupeaux migrent vers leurs aires d'hivernage. L'ours se traque d'avril à juin, après sa sortie d'hibernation. L'orignal est plus vulnérable en octobre, pendant la période de rut, tandis que les petits gibiers peuvent être chassés tout au long de l'automne. Les chasseurs expérimentés savent que les animaux sont plus actifs à l'aube et au crépuscule, surtout pendant les mois plus froids, et adaptent en conséquence leurs horaires de chasse. Interdictions et limitations pour protéger la biodiversité dans les Territoires du Nord-Ouest Des restrictions strictes encadrent la pratique, notamment en ce qui concerne le sexe et l'âge des animaux. Certaines espèces ne peuvent être chassées que sous conditions spécifiques - seuls les mâles adultes peuvent par exemple être abattus pour certaines populations de caribous, tandis que les femelles allaitantes sont strictement protégées. Certaines espèces emblématiques comme le bison des bois, le loup arctique et certains oiseaux migrateurs bénéficient d'une protection totale et sont interdits à la chasse. Licences et documents requis Pour chasser légalement dans les TNO, plusieurs documents sont indispensables. Il faut se procurer un permis de chasse valide, une licence spécifique pour chaque espèce visée, ainsi qu'une assurance responsabilité civile. Les contrevenants s'exposent à des sanctions sévères pouvant aller jusqu'à 10 000 dollars CAD d'amende, la suspension des privilèges de chasse, voire des peines de prison dans les cas les plus graves comme la chasse illégale d'espèces protégées. Conseils pratiques pour une expérience réussie dans les Territoires du Nord-Ouest Une chasse réussie dans ces territoires sauvages nécessite une préparation minutieuse. Il convient de planifier son voyage en fonction des périodes de migration et des comportements saisonniers des animaux, en consultant notamment les cartes des zones de chasse disponibles sur le site officiel du gouvernement des TNO. L'équipement doit être adapté aux conditions extrêmes: vêtements spécialisés, armes appropriées (fusils ou arcs) selon les espèces ciblées, sans oublier du matériel de survie comme un GPS. Les stratégies de chasse varient selon les proies - les appâts sonores s'avèrent particulièrement efficaces pour attirer les orignaux pendant la période de rut, tandis que la maîtrise de la lecture des traces et des signes d'activité animale devient indispensable en milieu sauvage. La chasse dans les Territoires du Nord-Ouest est une expérience exaltante, mais elle nécessite une planification minutieuse et un respect strict des règles. En suivant ces conseils et en s'adaptant aux conditions locales, les chasseurs peuvent profiter pleinement de la richesse faunique de cette région exceptionnelle tout en contribuant à sa préservation.

Post: 1 September 21:23

Saisons de chasse au YUKON (Canada): Découvrez les Périodes Idéales, Maîtrisez la Réglementation
 
Le Yukon, territoire sauvage du nord du Canada, offre des opportunités

Saisons de chasse au YUKON (Canada): Découvrez les Périodes Idéales, Maîtrisez la Réglementation Le Yukon, territoire sauvage du nord du Canada, offre des opportunités de chasse exceptionnelles. Cependant, les chasseurs doivent respecter des règles strictes concernant les saisons, les licences et les restrictions. Cet article détaille tout ce qu’il faut savoir pour chasser légalement et efficacement au Yukon. Règles générales et calendrier de chasse au Yukon Les saisons de chasse au Yukon varient selon les espèces et les zones. Pour le grand gibier (orignal, caribou, ours, mouflon), la période s’étend généralement d’août à novembre. Le petit gibier (lièvre, tétras, canard) peut être chassé de septembre à mars, tandis que les oiseaux migrateurs sont réglementés par des dates fédérales, généralement de septembre à décembre. Les saisons sont fixées par Environnement Yukon en collaboration avec les communautés autochtones et les biologistes. Plusieurs facteurs influencent ces dates, notamment les cycles de reproduction des animaux, les migrations (en particulier pour le caribou) et les conditions climatiques, comme les hivers rigoureux qui rendent certaines zones difficilement accessibles. Comparé à l’Alaska voisin, le Yukon a des saisons plus courtes pour certaines espèces, comme l’ours. Les provinces canadiennes voisines, comme la Colombie-Britannique et les Territoires du Nord-Ouest, ont des réglementations similaires, mais avec des variations locales. Au fil des années, les règles ont évolué en fonction des besoins de conservation. Par exemple, les quotas pour le caribou ont été réduits en raison du déclin des populations, et des restrictions sur la chasse à l’ours grizzli ont été introduites depuis 2020. Saisonnalité de la chasse au Yukon Pour l’orignal, la saison s’étend d’août à octobre selon les zones, tandis que le caribou peut être chassé d’août à novembre, avec des quotas stricts. L’ours noir peut être traqué en deux périodes distinctes: d’avril à juin et de septembre à novembre, alors que l’ours grizzli ne peut être chassé que sous permis spéciaux. Le lièvre est chassable de septembre à mars, et les canards de septembre à décembre. Les meilleures périodes pour chasser au Yukon dépendent des espèces ciblées. La fin août et septembre marquent le pic d’activité pour l’orignal pendant le rut, tandis qu’octobre est idéal pour le caribou avant les grandes migrations. Au printemps, entre avril et mai, les chasseurs peuvent traquer l’ours noir qui sort d’hibernation. Le Yukon accueille également des événements dédiés à la chasse, comme la Yukon Outfitters Convention à Whitehorse, un rendez-vous annuel où guides professionnels et chasseurs échangent sur les meilleures pratiques et découvrent de nouveaux territoires de chasse. Les Big Game Trophy Shows exposent quant à eux les plus beaux trophées de gibier du Yukon, permettant aux passionnés d’apprendre les techniques de taxidermie et de célébrer les traditions de chasse nordiques. Restrictions et interdictions Certaines restrictions strictes s’appliquent, notamment en ce qui concerne le sexe et l’âge des animaux. Par exemple, il est souvent interdit de tirer les femelles orignaux accompagnées de petits, et des quotas stricts, parfois réservés aux résidents, encadrent la chasse au caribou. Certaines espèces sont protégées, comme l’ours blanc (polaire), dont la chasse est interdite sans permis spécial (réservé aux Autochtones), ou le loup, qui nécessite un permis et dont la saison est limitée. De mai à juillet, une fermeture totale est instaurée pour protéger les femelles et les jeunes. Obtention des permis de chasse au Yukon Pour chasser au Yukon, plusieurs documents sont nécessaires: un permis de chasse, disponible en ligne ou aux bureaux d’Environnement Yukon, un permis d’armes à feu valide au Canada, et pour les non-résidents, un permis de guide est obligatoire. Sanctions pour non-respect des règles Le non-respect des règles entraîne des sanctions sévères. Chasser hors saison peut valoir une amende allant jusqu’à 50 000 $ CAD, avec confiscation de l’équipement, et le braconnage est passible de peines de prison. Conseils pratiques pour une chasse réussie au Yukon Pour maximiser les chances de succès, il est conseillé de bien choisir son moment et son lieu. Les zones reculées, comme la Dempster Highway ou la région de Kluane, sont idéales pour le gros gibier, et septembre est la meilleure période pour éviter les moustiques tout en profitant des mouvements des animaux. L’équipement doit être adapté : un fusil de gros calibre (au minimum un .300 Win Mag pour l’orignal) et des vêtements chauds et imperméables, les températures chutant rapidement en automne. En termes de stratégies, les appelants sont efficaces pour attirer l’orignal pendant le rut, tandis que les affûts près des points d’eau fonctionnent bien pour l’ours. La chasse au Yukon est une expérience unique, mais elle exige une bonne préparation et le respect strict des règles. En planifiant selon les saisons et en obtenant les bons permis, les chasseurs peuvent profiter de ce territoire sauvage tout en contribuant à sa préservation.

Post: 1 September 21:17

Les Périodes de Chasse en SASKATCHEWAN (Canada): Découvrez les Saisons Clés, Maîtrisez les Règles et Profitez des Meilleurs Moments pour des Aventures de Chasse Inoubliab

Les Périodes de Chasse en SASKATCHEWAN (Canada): Découvrez les Saisons Clés, Maîtrisez les Règles et Profitez des Meilleurs Moments pour des Aventures de Chasse Inoubliables La Saskatchewan, située dans les Prairies canadiennes, est une destination prisée des chasseurs du monde entier. Avec ses vastes plaines, ses forêts boréales et ses zones humides, cette province offre un terrain idéal pour la chasse à divers gibiers. Cependant, pour profiter pleinement de l’expérience, il est essentiel de comprendre les règles, les périodes de chasse et les particularités locales. Les dates de chasse en Saskatchewan Les saisons de chasse en Saskatchewan sont généralement divisées selon le type de gibier et les espèces ciblées. Pour le gros gibier (cerfs, orignaux, ours noirs), la période s’étend de septembre à décembre. Le petit gibier (lièvres, perdrix, tétras) peut être chassé d’octobre à janvier, tandis que les oiseaux migrateurs (canards, oies) sont principalement chassés de septembre à décembre. La prédation contrôlée (coyotes, loups) est autorisée toute l’année sous permis spécial. Les dates de chasse sont fixées par le Ministère des Ressources Naturelles de la Saskatchewan en fonction de plusieurs facteurs, notamment le climat, qui influence les migrations et les cycles biologiques des animaux. Le paysage joue également un rôle important : les plaines ouvertes favorisent la chasse aux oiseaux migrateurs, tandis que les forêts boréales sont propices au gros gibier. Enfin, des mesures de conservation sont mises en place pour préserver les populations animales, avec des quotas et des périodes de fermeture ajustés en conséquence. Comparée aux régions voisines, la Saskatchewan impose des restrictions plus strictes que l’Alberta, où les saisons de chasse sont légèrement plus longues pour certains gibiers comme le wapiti. Par rapport au Manitoba, les dates sont similaires, mais la Saskatchewan attire davantage les amateurs d’oiseaux migrateurs grâce à ses zones humides. Au cours des 20 dernières années, les périodes de chasse ont évolué pour répondre aux défis écologiques. Par exemple, en 2010, une réforme a introduit des quotas plus bas pour les cerfs de Virginie afin de contrer leur surpopulation dans certaines régions. Les meilleurs moments pour chasser en Saskatchewan L’automne est la saison clé pour la plupart des activités cynégétiques. Les oiseaux migrateurs affluent vers les marais de la Saskatchewan, et les mâles du gros gibier sont en rut, ce qui facilite leur détection. En hiver, la chasse aux coyotes et aux loups est privilégiée, car les traces dans la neige facilitent leur traque. Le printemps et l’été sont généralement des périodes de fermeture pour la majorité des espèces, sauf pour les prédateurs nuisibles sous permis spécial. Pour le cerf et l’orignal, la meilleure période se situe entre octobre et novembre, lorsque les mâles sont actifs pendant la saison des amours. Les canards et les oies sont surtout chassés de septembre à octobre, pendant les migrations automnales, tandis que les lièvres et les perdrix sont traqués de novembre à janvier, lorsque la couverture végétale est réduite. Les animaux sont particulièrement actifs à l’aube et au crépuscule, et pendant la saison des amours, les mâles sont plus faciles à repérer grâce à leurs vocalisations et comportements territoriaux. La Saskatchewan organise également des événements locaux liés à la chasse, comme le Duck Days à Saskatoon, qui célèbre la chasse aux oiseaux migrateurs et attire des milliers de participants chaque année. Au programme: démonstrations de chiens de chasse, ateliers sur les techniques de chasse à la sauvagine et expositions d’équipement spécialisé. Règles à respecter Certaines restrictions s’appliquent, notamment en ce qui concerne le sexe et l’âge des animaux. Par exemple, seuls les mâles adultes peuvent être chassés pour certaines espèces comme les cerfs de Virginie et les orignaux, tandis que les femelles et les jeunes sont généralement protégés pour assurer la reproduction. Certaines espèces sont strictement protégées, comme le caribou des bois, en voie de disparition, la grue blanche et la loutre de rivière, sous surveillance stricte. Pour chasser en Saskatchewan, il est nécessaire d’obtenir une licence de chasse valide, disponible auprès du Ministère des Ressources Naturelles, ainsi qu’un permis spécifique pour chaque espèce visée (ex. cerf, canard). Sanctions en cas de non-respect des règles Les infractions aux règles de chasse entraînent des sanctions sévères, notamment des amendes pouvant aller jusqu’à 5 000 CAD pour dépassement des quotas, la suspension du permis de chasse pour 1 à 5 ans en cas de récidive, voire des peines de prison pour braconnage ou chasse dans des zones interdites. Conseils pour une chasse réussie en Saskatchewan Pour maximiser les chances de succès, il est conseillé de choisir le bon moment et le bon lieu. L’automne est idéal pour le gros gibier et les oiseaux migrateurs, et les zones comme les parcs provinciaux et les réserves fauniques (ex. *Prince Albert National Park*) sont particulièrement recommandées. Le matériel doit être adapté : un fusil de calibre .30-06 pour le gros gibier, une 12 gauge pour les oiseaux. L’utilisation d’appeaux et de leurres peut être efficace pour attirer les canards et les oies, tandis que des vêtements camouflés aident à rester discret. En automne, la chasse à l’affût près des points d’eau est une tactique efficace, tandis qu’en hiver, les traces dans la neige facilitent la traque des prédateurs. La Saskatchewan offre une expérience de chasse exceptionnelle, mais elle exige une connaissance approfondie des règles et des saisons. Respectez les quotas, obtenez les permis nécessaires et adaptez vos stratégies aux conditions locales pour maximiser vos chances de succès tout en préservant cet écosystème unique.

Post: 1 September 21:15

Saisons de chasse au MANITOBA (Canada): Dates Clés, Obtention des Permis et Règles Essentielles

Le Manitoba, province centrale du Canada, séduit les amateurs de chasse g

Saisons de chasse au MANITOBA (Canada): Dates Clés, Obtention des Permis et Règles Essentielles Le Manitoba, province centrale du Canada, séduit les amateurs de chasse grâce à sa biodiversité exceptionnelle et ses paysages variés. Pour profiter pleinement de cette activité tout en respectant l’environnement, il est indispensable de maîtriser les règles en vigueur, les périodes autorisées et les bonnes pratiques. Réglementation générale et périodes de chasse au Manitoba Les saisons de chasse au Manitoba sont strictement encadrées par le gouvernement provincial pour préserver les écosystèmes locaux. Les dates varient selon les espèces et les zones de gestion faunique, appelées Wildlife Management Units (WMUs). La chasse au grand gibier comme l’orignal, le cerf de Virginie ou l’ours noir se déroule principalement entre septembre et décembre. Pour le petit gibier, tel que le lièvre ou la gélinotte, la saison s’étend souvent d’octobre à mars. Quant aux oiseaux migrateurs, tels que les canards et les oies, leur période de chasse est fixée de septembre à novembre, conformément aux réglementations fédérales. Les périodes de chasse sont ajustées en fonction de plusieurs paramètres clés. Les conditions climatiques jouent également un rôle crucial, car les hivers rigoureux peuvent affecter la taille des populations animales. Enfin, la pression de chasse est prise en compte, avec des quotas ajustés pour éviter toute sur-exploitation des ressources fauniques. Contrairement aux provinces voisines comme la Saskatchewan ou l’Ontario, le Manitoba applique des saisons légèrement plus courtes pour certaines espèces, notamment l’orignal. Depuis 2020, plusieurs modifications ont été apportées aux régulations locales. Par exemple, la chasse au caribou des bois a été interdite dans certaines zones pour protéger ses populations fragiles. De plus, la saison de chasse au cerf a été étendue dans certaines WMUs pour contrôler sa surpopulation. Ces changements reflètent l’engagement du Manitoba à préserver ses écosystèmes tout en permettant une activité de chasse responsable. Saisonnalité et types de chasse Chaque saison offre des opportunités spécifiques pour les chasseurs. L’automne, de septembre à novembre, est la période phare pour la plupart des espèces terrestres. C’est pendant cette période que l’orignal est particulièrement actif. Le cerf de Virginie est également une cible prisée en novembre et décembre, surtout pendant son rut fin octobre. L’ours noir peut être chassé au printemps, de mai à juin, ainsi qu’en automne, de septembre à octobre. Pour les amateurs d’oiseaux migrateurs, comme les canards et les oies, la saison s’étend de septembre à novembre, avec un pic en octobre lors des migrations. En hiver, la chasse reste limitée à quelques espèces non protégées. Les meilleures heures pour observer et chasser les animaux sont généralement à l’aube et au crépuscule, notamment pour le cerf et l’orignal. Pendant les journées froides, les espèces comme le lièvre et la gélinotte sont plus actives. Le Manitoba accueille également chaque année des événements majeurs pour les passionnés de chasse. Parmi eux, le Manitoba Hunting Expo, organisé en mars, est un rendez-vous incontournable, offrant une vitrine complète sur les nouveaux équipements, les réglementations provinciales et les techniques de chasse. Avec des conférences d'experts et des démonstrations pratiques, c'est l'endroit idéal pour se préparer à la saison. Restrictions et interdictions au Manitoba Certaines espèces font l’objet de restrictions spécifiques. Par exemple, la chasse à l’orignal est souvent réservée aux mâles, avec des règles variables selon les WMUs. Pour le cerf de Virginie, des quotas sont imposés sur le nombre de biches pouvant être prélevées dans certaines zones. La chasse au caribou des bois est strictement interdite, tandis que pour le lynx et le couguar, un permis spécial est requis. La chasse est également interdite pendant les périodes critiques de reproduction, généralement au printemps pour la plupart des espèces. Comment obtenir un permis de chasse au Manitoba Pour chasser légalement au Manitoba, il est essentiel de suivre une procédure stricte. Tout d’abord, il faut obtenir un permis de base, valable pour les résidents ou les non-résidents. Des tags spécifiques sont nécessaires pour certaines espèces comme l’orignal, le cerf ou l’ours. Pour la chasse aux oiseaux migrateurs, un permis fédéral délivré par Canards Illimités Canada est obligatoire. Les permis peuvent être obtenus en ligne via le site officiel du gouvernement du Manitoba ou directement dans les bureaux de Conservation Manitoba. Sanctions en cas de violation des règles Le non-respect des régulations de chasse entraîne des sanctions sévères. Par exemple, chasser hors saison peut coûter jusqu’à 5 000 $ CAD, avec confiscation de l’équipement utilisé. Dépasser les quotas autorisés peut également conduire à la suspension du permis de chasse. Conseils pratiques L’automne est idéal pour l’orignal et le cerf, notamment pendant leur période de rut, tandis que l’hiver est parfait pour le petit gibier, lorsque les traces sont plus visibles dans la neige. La zone forestière du nord est excellente pour l’orignal et l’ours noir, tandis que les plaines agricoles du sud sont idéales pour le cerf de Virginie et la perdrix. Les zones humides près des lacs Manitoba et Winnipeg offrent des opportunités exceptionnelles pour les canards et les oies migratrices. Pour le grand gibier, un fusil de calibre .270 minimum ou un arc est recommandé, tandis que pour les oiseaux, un fusil à canon lisse (calibre 12 ou 20) est idéal. Le Manitoba offre des opportunités de chasse enrichissantes, mais il est crucial de respecter scrupuleusement les règles pour préserver la faune locale. Vérifiez toujours les dates exactes et les régulations en vigueur chaque année sur le site du gouvernement provincial.

Post: 1 September 21:11

Saisons de chasse en COLOMBIE-BRITANNIQUE (Canada): Calendriers Complets, Réglementation Détaillée et Meilleures Périodes

Avec ses paysages grandioses allant des forêts

Saisons de chasse en COLOMBIE-BRITANNIQUE (Canada): Calendriers Complets, Réglementation Détaillée et Meilleures Périodes Avec ses paysages grandioses allant des forêts côtières aux montagnes rocheuses, la Colombie-Britannique représente un terrain de chasse exceptionnel au Canada. Cette province offre une diversité remarquable de gibier, mais exige une parfaite connaissance des saisons et des réglementations pour pratiquer la chasse dans les règles de l'art. Règles générales et périodes de chasse en Colombie-Britannique Les périodes d'ouverture en Colombie-Britannique sont déterminées avec précision par le BC Wildlife Branch, variant selon les Wildlife Management Units (WMUs) et les espèces. Contrairement aux Prairies voisines où les saisons sont souvent plus courtes, la Colombie-Britannique bénéficie d'une longue période de chasse pour l'ours noir, courant d'avril à juin puis de septembre à novembre. Pour le gros gibier comme l'orignal ou le wapiti, la saison phare se situe entre septembre et novembre, coïncidant avec la période du rut qui rend ces animaux plus actifs. Les chasseurs expérimentés savent que la dernière semaine d'octobre offre souvent les meilleures opportunités, lorsque les mâles répondent plus facilement aux appeaux. L'altitude joue un rôle crucial dans le calendrier. Dans les zones montagneuses comme les Rocheuses, les saisons se terminent plus tôt en raison des chutes de neige précoces, tandis que les vallées intérieures bénéficient souvent de prolongations. Depuis 2020, des ajustements ont été apportés pour protéger les espèces vulnérables comme le caribou des montagnes, désormais totalement protégé. Les particularités de la chasse en Colombie-Britannique Chaque espèce a son propre rythme en Colombie-Britannique. L'ours grizzli, soumis à des permis très restreints, se chasse principalement en automne lorsqu'il accumule des réserves pour l'hiver. Le wapiti, véritable emblème de la province, est particulièrement actif durant le rut d'octobre, offrant des opportunités uniques aux chasseurs patients. Pour le petit gibier, la saison s'étend généreusement d'octobre à février, permettant de pratiquer la chasse même en hiver. Les oiseaux migrateurs comme les canards et les oies offrent leur meilleure activité entre mi-septembre et mi-décembre, particulièrement dans les zones humides du Peace River Country. La province organise plusieurs événements majeurs pour les passionnés. La BC Hunting Expo de Kamloops en mars est l'occasion idéale pour se tenir informé des dernières réglementations et découvrir le nouvel équipement. Le Wild Sheep Foundation Banquet de Vancouver, quant à lui, réunit chaque janvier les défenseurs d'une chasse durable autour du mouflon d'Amérique. Réglementations essentielles La Colombie-Britannique impose des règles strictes pour préserver sa faune exceptionnelle. Le caribou des montagnes est totalement protégé, tout comme les femelles wapiti dans de nombreuses zones. La chasse est interdite pendant les périodes de reproduction et de mise bas, particulièrement pour l'ours entre janvier et mars. Certaines restrictions varient selon les WMUs. Par exemple, le loup nécessite un permis spécifique dans certaines unités de gestion, tandis que des zones entières sont fermées à la chasse près des centres urbains. Ces mesures visent à maintenir un équilibre délicat entre tradition cynégétique et conservation. Obtention des permis de chasse en Colombie-Britannique Obtenir un permis de chasse en Colombie-Britannique requiert une formation préalable, disponible en présentiel. Les tags, nécessaires pour chaque espèce, s'acquièrent facilement en ligne via le BC Wildlife Branch ou dans les magasins agréés. Pour les non-résidents, le recours à un guide professionnel est souvent judicieux, notamment dans les zones reculées. L'équipement doit être soigneusement choisi selon la saison. L'automne exige des vêtements chauds et des jumelles de qualité pour repérer le gibier dans les vastes étendues. Au printemps, un camouflage léger et des pièges à odeurs s'avèrent indispensables pour traquer l'ours noir. Conseils de pros pour maximiser ses chances Les chasseurs chevronnés recommandent de commencer les repérages dès août pour le gros gibier. La technique de l'affût donne d'excellents résultats en octobre, lorsque les animaux sont en pleine période de rut. Pour la sauvagine, les zones humides au petit matin offrent les meilleures opportunités. Il est crucial de consulter annuellement le BC Hunting Regulations Synopsis, qui détaille toutes les mises à jour. Les infractions, comme la chasse hors saison, peuvent entraîner des amendes jusqu'à 100 000 $ CAD et la confiscation du matériel. La Colombie-Britannique reste l'une des dernières grandes terres de chasse sauvage, où le respect des règles et des cycles naturels garantit la pérennité de cette tradition. Avec une bonne préparation et une connaissance approfondie des saisons, chaque chasseur peut vivre ici des expériences inoubliables au cœur d'une nature préservée.

Post: 1 September 20:37

Saisons de chasse au QUÉBEC: Calendrier Complet, Réglementations Essentielles et Conseils Pratiques

Avec ses immenses forêts, ses lacs et ses territoires sauvages, le Qu

Saisons de chasse au QUÉBEC: Calendrier Complet, Réglementations Essentielles et Conseils Pratiques Avec ses immenses forêts, ses lacs et ses territoires sauvages, le Québec est un paradis pour les chasseurs. Mais avant de partir à l'aventure, mieux vaut bien connaître les règles du jeu. Les saisons de chasse, les permis nécessaires et les meilleures techniques varient selon qu'on traque l'orignal dans les bois de l'Abitibi ou le cerf de Virginie en Montérégie. Règles générales et calendrier de chasse au Québec Les saisons de chasse s'étalent généralement d'août à décembre, mais chaque gibier a son propre calendrier. L'orignal, roi des forêts québécoises, se chasse surtout entre mi-septembre et fin octobre, pendant le rut. C'est à cette période que les mâles, moins méfiants, répondent plus facilement aux appels. Le cerf de Virginie, lui, est plus actif entre fin septembre et mi-novembre, avec un pic durant le brame en octobre. Pour l'ours noir, deux fenêtres s'offrent aux chasseurs: au printemps (mai-juin), quand il sort d'hibernation, et à l'automne (septembre-novembre), lorsqu'il fait des réserves avant l'hiver. Les amateurs de petit gibier, comme la perdrix ou le lièvre, peuvent s'adonner à leur passion de mi-août jusqu'à fin décembre, tandis que les chasseurs de gibier d'eau doivent se contenter d'une saison plus courte, de septembre à mi-décembre. Ces dates ne sont pas fixées au hasard. Le Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) les ajuste chaque année en fonction de l'état des populations, des conditions climatiques et des données scientifiques. Le Québec est divisé en 29 zones de gestion, ce qui permet d'adapter les règlements aux réalités locales. Par exemple, en Gaspésie, où certaines populations sont fragiles, les saisons sont plus restrictives, tandis que dans les Laurentides, elles tiennent compte de l'altitude et des déplacements des animaux. Les particularités de la chasse québécoise Comparé à l'Ontario voisin, le Québec a des saisons souvent plus tardives, notamment pour le cerf. Cette différence s'explique par des hivers plus rigoureux et des cycles biologiques décalés. Au fil des ans, les règles ont évolué : les saisons de chasse au gibier d'eau se sont allongées, tandis que les quotas pour l'orignal ont été réduits dans certaines zones pour protéger les jeunes mâles. Depuis 2015, le système de permis a aussi été modernisé, simplifiant les démarches pour les chasseurs. Pour les passionnés, certains événements valent le détour. Le Festival de la chasse et de la pêche de Saint-Tite, en septembre, est un incontournable. On y trouve des démonstrations, du matériel de pointe et une ambiance conviviale. Les clubs locaux organisent aussi des compétitions de tir, idéales pour peaufiner sa technique, tandis que les pourvoiries proposent des journées portes ouvertes pour découvrir de nouveaux territoires de chasse, échanger avec des guides et préparer sa saison en profitant de promotions ou d’offres spéciales. Restrictions et obtention des permis au Québec La chasse au Québec n'est pas un libre-service. Plusieurs règles strictes encadrent cette activité. Il est par exemple interdit de tirer les femelles accompagnées de jeunes, et des quotas limitent les prises (un orignal tous les trois ans maximum dans certaines zones). Certaines espèces, comme le caribou forestier, sont totalement protégées. Au printemps, la chasse est fermée pour la plupart des animaux, le temps qu'ils se reproduisent. Pour chasser légalement, il faut d'abord obtenir un certificat d'apprenti-chasseur après avoir suivi une formation. Ensuite, un permis annuel général est nécessaire, auquel s'ajoutent des droits spécifiques selon les espèces visées. Comptez entre 250 et 400 $ pour l'ensemble. La Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs ainsi que les pourvoiries certifiées peuvent aider dans ces démarches. Attention, les infractions coûtent cher : amendes de 500 à 10 000 $, suspension du permis jusqu'à cinq ans, voire confiscation de l'équipement. En cas de récidive, des poursuites pénales peuvent être engagées. Quelques conseils pour maximiser ses chances Le succès à la chasse dépend souvent de petits détails. En automne, mieux vaut privilégier les matins frais pour observer les animaux. Un bon camouflage adapté au terrain est essentiel, tout comme l'utilisation d'appels réalistes. Pendant le rut, se poster près des points d'eau peut s'avérer payant. L'équipement doit être choisi avec soin. Par temps froid, des vêtements isolants mais respirants sont indispensables, tandis qu'en été, une tenue légère et une bonne protection contre les insectes s'imposent. Le calibre .30-06 reste un choix populaire pour le gros gibier. La chasse au Québec exige préparation, respect des règles et adaptation aux saisons. Ceux qui prennent le temps de bien s'informer repartiront non seulement avec de belles prises, mais aussi avec la satisfaction de participer à une gestion durable de la faune.

Post: 1 September 20:26

Saisons de chasse en ALBERTA (Canada):  Dates Clés, Obtention des Permis, Règlementation en Vigueur et Meilleures Périodes pour la Chasse

L'Alberta, avec ses paysages va

Saisons de chasse en ALBERTA (Canada): Dates Clés, Obtention des Permis, Règlementation en Vigueur et Meilleures Périodes pour la Chasse L'Alberta, avec ses paysages variés allant des vastes prairies aux forêts boréales denses, représente un terrain de chasse exceptionnel pour les amateurs de grand et petit gibier. Cette province canadienne attire chaque année des chasseurs du monde entier, mais son accès nécessite une compréhension approfondie des saisons, des réglementations et des meilleures pratiques pour une chasse à la fois productive et responsable. Réglementation générale et périodes de chasse en Alberta Les saisons de chasse en Alberta suivent un calendrier précis établi par Alberta Environment and Parks, variant selon les Wildlife Management Units (WMUs) et les espèces ciblées. Pour le grand gibier comme l'orignal ou le wapiti, la période s'étend généralement de fin août à novembre, avec des variations selon les zones. Le petit gibier, quant à lui, peut souvent être chassé de septembre à mars, tandis que la période pour les oiseaux migrateurs se concentre entre septembre et décembre, conformément aux réglementations fédérales. La détermination de ces dates n'est pas le fruit du hasard. Elle résulte d'une analyse minutieuse de plusieurs facteurs par les biologistes provinciaux. La santé des populations animales, les cycles de reproduction et les conditions climatiques particulières à chaque année influencent directement ces décisions. Par exemple, après un hiver particulièrement rigoureux, certaines saisons peuvent être raccourcies pour protéger des populations affaiblies. Les différences géographiques au sein de la province jouent également un rôle important. Le nord de l'Alberta, avec ses hivers précoces et rigoureux, voit ses saisons de chasse se terminer plus tôt que dans le sud, où les conditions plus clémentes permettent des périodes plus longues, notamment pour le cerf mulet et le wapiti. Ces variations régionales nécessitent une attention particulière lors de la planification d'une expédition de chasse. Au fil des ans, les réglementations ont évolué pour s'adapter aux changements démographiques de la faune. Depuis 2010, des ajustements significatifs ont été apportés, particulièrement pour des espèces vulnérables comme le caribou et le wapiti, avec des saisons raccourcies dans certaines WMUs. Ces modifications reflètent l'engagement de la province envers une gestion durable de ses ressources naturelles. Saisonnalité et types de gibier L'automne constitue sans conteste la période phare pour les chasseurs de grand gibier. Entre octobre et novembre, pendant le rut des cervidés, l'activité animale atteint son apogée, offrant des opportunités de chasse exceptionnelles. Pour les ours noirs, deux périodes se distinguent : le printemps (avril-juin) et l'automne (août-novembre), chacune présentant des avantages spécifiques. Les amateurs de chasse aux oiseaux migrateurs trouveront quant à eux leur bonheur entre septembre et octobre, lorsque les flux migratoires sont les plus intenses. La province offre également plusieurs événements marquants pour la communauté cynégétique. L'Alberta Hunting Expo, organisé chaque mars à Edmonton, permet aux chasseurs de se tenir informés des dernières réglementations tout en découvrant les innovations en matière d'équipement. Plus localement, Alberta Environment and Parks organise des ateliers d'information avant chaque saison, essentiels pour comprendre les spécificités de chaque Unité de gestion de la faune. Restrictions et interdictions en Alberta Certaines restrictions s'appliquent de manière quasi systématique. La chasse aux femelles accompagnées de petits est strictement interdite pour plusieurs espèces, tout comme le prélèvement de certaines espèces protégées comme le caribou des bois. Des périodes de fermeture totale sont également instaurées, notamment entre mai et juin pour protéger les naissances, ou durant la nuit, où toute activité de chasse est proscrite. Comment obtenir une licence de chasse L'obtention des permis en Alberta nécessite une préparation minutieuse. Tout chasseur doit d'abord se procurer un Wildlife Identification Number (WIN), puis les tags spécifiques à chaque espèce, souvent attribués par tirage au sort. Pour les oiseaux migrateurs, un permis fédéral du Canadian Wildlife Service est obligatoire. Les non-résidents trouveront une aide précieuse auprès de l'Alberta Fish & Game Association ou des guides locaux agréés, dont l'expertise peut s'avérer indispensable. Sanctions en cas de violation des règles Le non-respect de ces réglementations entraîne des conséquences sévères. Une chasse pratiquée hors saison peut valoir à son auteur une amende allant jusqu'à 50 000 dollars canadiens, sans compter la confiscation du matériel. Dans les cas de braconnage avéré, des poursuites criminelles peuvent même être engagées, témoignant de la fermeté des autorités dans la protection du patrimoine naturel albertain. Conseils pratiques pour optimiser votre expérience en Alberta Pour maximiser ses chances de succès tout en respectant l'environnement et la réglementation, quelques principes fondamentaux méritent d'être suivis. L'équipement doit être adapté aux conditions saisonnières : vêtements chauds et raquettes pour l'hiver, appelants spécifiques pour le rut automnal des cervidés. Les stratégies de chasse varient également selon les proies : affûts près des zones de rut pour le grand gibier, chasse à la passée au lever du jour pour les oiseaux migrateurs. L'Alberta continue d'offrir des expériences de chasse parmi les plus riches d'Amérique du Nord. En combinant une préparation rigoureuse, le respect strict des réglementations et une bonne connaissance des comportements animaliers saisonniers, les chasseurs peuvent profiter pleinement de ce territoire exceptionnel tout en participant à sa préservation pour les générations futures.

Post: 1 September 20:24

Pompons : le panache au mollet

Il est des détails qui disent davantage que mille uniformes. Le pompon, suspendu au bas de la chaussette, en fait partie. Né dans les land

Pompons : le panache au mollet Il est des détails qui disent davantage que mille uniformes. Le pompon, suspendu au bas de la chaussette, en fait partie. Né dans les landes écossaises, où il accompagnait les jarretières des familles aristocratiques, il traversa les siècles et se répandit dans toute l’Europe, comme un signe discret de tradition et de raffinement. Les grandes familles l’adoptèrent rapidement, non seulement pour la chasse, mais aussi pour marquer l’appartenance à un certain art de vivre. Au premier regard, un pompon n’est qu’un détail. Mais dans le cercle des chasses raffinées, il dit tout : style, tradition, panache. Les chuchotements fusent quand quelqu’un ose un pompon audacieux : « Voilà qui connaît son affaire ! » Et si le pompon manque… mieux vaut espérer que le gibier ne s’en aperçoive pas !

Post: 25 August 12:18

L'ART DES TABLEAUX DE CHASSE ET ANNECDOTES DES GRAND DE CE MONDE ; 

Louis XV (1710–1774) – Roi passionné de chasse
Organisait de grandes chasses au faisan dans les forêt

L'ART DES TABLEAUX DE CHASSE ET ANNECDOTES DES GRAND DE CE MONDE ; Louis XV (1710–1774) – Roi passionné de chasse Organisait de grandes chasses au faisan dans les forêts de Compiègne et Rambouillet. Les faisans étaient élevés en volière puis lâchés pour ces chasses à tir. Certaines journées de chasse totalisaient plus de 1 000 oiseaux abattus. Les tableaux de chasse occupaient des allées entières de clairière. Anecdote : Un ambassadeur anglais, scandalisé devant un tableau de centaines de faisans, aurait reproché au roi de « massacrer » la nature. Louis XV aurait répondu en plaisantant : « Les faisans sont français, ils aiment se sacrifier pour leur roi. » Louis XVI (1754–1793) – précision et gigantisme Tenait un journal quotidien de chasse (archives conservées). Exemples chiffrés : 1775 → 964 pièces de gibier à plume (faisans, perdrix, canards) en une seule journée à Rambouillet. Années 1774–1787 → environ 189 251 animaux abattus, dont une large proportion de petit gibier à plumes. Ses chasses au faisan donnaient souvent lieu à des tableaux dépassant plusieurs centaines de mètres. Anecdote : On raconte qu’un jour, un invité anglais (encore !) s’étonna : « Mais que fait-on de tant de faisans ? » — réponse d’un chasseur : « On les compte, Monsieur, et c’est déjà beaucoup. » Empereur François-Joseph (1830–1916) – rigueur impériale Grand amateur de chasses collectives en Bohême (Konopiště, Lány). Les tableaux étaient disposés avec une rigueur militaire : lignes parfaites, par espèce. Exemple documenté : Le 5 novembre 1910, chasse de 2 136 faisans en une seule journée. Anecdote : François-Joseph, maniaque de l’ordre, s’agaçait quand les chiens fatigués s’endormaient au milieu du tableau, rompant la symétrie. On dit que les valets de chien les déplaçaient discrètement avant l’arrivée de l’empereur ! Archiduc François-Ferdinand (1863–1914) – recordman obsessionnel Tenait des carnets de chasse méticuleux (conservés à Konopiště). Chiffres précis : 21 novembre 1908 → 3 233 faisans abattus en une seule journée (record attesté). Vie entière → 272 511 animaux tués, dont une immense majorité de gibier à plumes. Les tableaux étaient photographiés : ils s’étendaient sur des clairières entières, en rosaces ou longues lignes. Anecdote : Lors d’un tableau interminable de faisans, un invité anglais déclara : « En Angleterre, on appelle ça un massacre, pas une chasse. » François-Ferdinand répliqua froidement : « En Autriche, c’est une tradition et un art. » Annecdote personnelle: J'ai eu un jour, l'honneur et le privilége d'être un des derniers et le plus jeune invité à une des plus belle chasse d'Europe du 20 ème siecle; Diebolsheim chez le Comte Jean de Beaumont . Un ami qui a bougé un faisan sur le tableau de chasse se fit réprimer très sévèrement par Jean de Beaumont dont le fort caractère legendaire nous impressionnait beaucoup: " Jeune homme, on ne touche jamais un tableau de chasse ; c'est SACRÉ ! Source Photos:Chasse Chateau de Voisin2025

Post: 18 August 11:10

Comprendre la Chasse dans le LOIRET: Explorer la Géographie, Naviguer dans la Législation et Découvrir des Faits Intéressants

Le département du Loiret, situé dans la rég

Comprendre la Chasse dans le LOIRET: Explorer la Géographie, Naviguer dans la Législation et Découvrir des Faits Intéressants Le département du Loiret, situé dans la région Centre-Val de Loire, est un véritable paradis pour les chasseurs. Avec ses paysages variés, ses forêts denses, ses étendues agricoles et ses zones humides, le Loiret offre une diversité de terrains de chasse qui attirent les amateurs de cette pratique ancestrale. Cet article explore en détail les aspects géographiques, législatifs et culturels de la chasse dans le Loiret, ainsi que les spécificités de cette activité dans la région. Géographie et particularités naturelles du Loiret pour la chasse Le Loiret est caractérisé par une grande variété de paysages, ce qui en fait un terrain de chasse privilégié. Le département est traversé par la Loire, le plus long fleuve de France, qui crée des zones humides propices à la chasse au gibier d'eau. Les forêts, comme la forêt d'Orléans (la plus grande forêt domaniale de France), offrent des espaces vastes et riches en gibier. Spécificités de la chasse dans le Loiret La chasse dans le Loiret se distingue par sa richesse en gibier et la variété des pratiques. Les chasseurs peuvent y pratiquer la chasse à tir, la chasse à courre, la chasse à l'arc et la chasse au vol. La région est également réputée pour ses battues organisées, notamment pour le sanglier et le chevreuil, qui sont abondants dans les forêts locales. La chasse au petit gibier, comme le lièvre, le lapin et le faisan, est également très prisée, en particulier dans les zones agricoles. Enfin, la chasse au gibier d'eau, grâce aux nombreux étangs et marais, attire de nombreux passionnés, notamment pendant les périodes de migration. Chasseurs et démographie dans le Loiret Le Loiret compte environ 15 000 chasseurs actifs, ce qui en fait l'un des départements français où la chasse est très ancrée dans la culture locale. La population de chasseurs dans le Loiret est diverse, allant des jeunes initiés aux chasseurs expérimentés. Les femmes sont également de plus en plus présentes dans ce milieu, reflétant une évolution des mentalités et une ouverture de la pratique à tous les publics. Types de chasse et gibier dans le Loiret Le Loiret offre une grande variété de types de chasse, adaptés aux différents gibiers présents dans la région: - Grand gibier: Sanglier, chevreuil et cerf sont les espèces les plus chassées, principalement en forêt d'Orléans et dans les bois de Sologne. - Petit gibier: Lièvre, lapin, faisan et perdrix sont abondants dans les plaines agricoles. - Gibier d'eau: Canard, sarcelle, bécassine et autres oiseaux migrateurs sont chassés dans les zones humides, notamment en Sologne. - Chasse à courre: Cette pratique traditionnelle est encore active dans le Loiret, principalement pour le cerf et le chevreuil. Saisons de chasse dans le Loiret Les saisons de chasse dans le Loiret sont réglementées par la législation nationale et adaptées aux spécificités locales. - Grand gibier: De septembre à février pour le sanglier et le chevreuil, avec des dates variables pour le cerf. - Petit gibier: De septembre à fin janvier pour le lièvre et le lapin, et jusqu'à fin février pour le faisan et la perdrix. - Gibier d'eau: De septembre à janvier, avec des périodes spécifiques pour certaines espèces migratrices. Associations et clubs de chasse dans le Loiret Le Loiret dispose d'un réseau dense d'associations et de clubs de chasse, qui jouent un rôle crucial dans l'organisation des activités et la préservation des territoires. La Fédération Départementale des Chasseurs du Loiret (FDC45) est l'organisme principal qui regroupe les chasseurs et gère les actions de gestion de la faune sauvage. Parmi les clubs les plus actifs, on trouve des associations spécialisées dans la chasse au grand gibier, la chasse au petit gibier et la chasse au gibier d'eau. Législation de la chasse dans le Loiret La chasse dans le Loiret est régie par le Code de l'environnement et les arrêtés préfectoraux. Les chasseurs doivent respecter des règles strictes concernant les périodes de chasse, les quotas, les armes autorisées et les zones de chasse. Le permis de chasse est obligatoire, et les chasseurs doivent également souscrire à une assurance responsabilité civile. La FDC45 propose des formations pour les nouveaux chasseurs, ainsi que des stages de perfectionnement pour les plus expérimentés. La lutte contre le braconnage et la préservation des espèces protégées sont des priorités dans la région. Traditions de la chasse dans le Loiret La chasse dans le Loiret est imprégnée de traditions, notamment la chasse à courre, qui reste une pratique emblématique de la région. Les veneurs, vêtus de leurs tenues traditionnelles, perpétuent cette pratique ancestrale, qui attire chaque année de nombreux spectateurs. Les repas de chasse, ou "repas de battue", sont également une tradition forte dans le Loiret. Ces moments de convivialité permettent aux chasseurs de partager leur passion et de déguster le gibier chassé. Faits intéressants sur la chasse dans le Loiret - La forêt d'Orléans, avec ses 35 000 hectares, est l'un des plus grands terrains de chasse en France. - Le Loiret est l'un des rares départements où la chasse à courre est encore pratiquée de manière active. - La FDC45 organise chaque année des journées de sensibilisation à la biodiversité, impliquant les chasseurs dans la protection de l'environnement. Le Loiret est un département riche en opportunités pour les chasseurs, grâce à ses paysages variés, sa faune abondante et ses traditions bien ancrées. Que vous soyez passionné de grand gibier, de petit gibier ou de gibier d'eau, le Loiret saura vous offrir des expériences de chasse inoubliables. Respectueux de la législation et des traditions, les chasseurs du Loiret contribuent également à la préservation de la biodiversité, faisant de cette région un modèle de chasse durable.

Post: 27 July 10:11

Chasse en INDRE-ET-LOIRE: Découvrez des Paysages Magnifiques, des Saisons de Chasse Parfaites et des Traditions Ancestrales 

L’Indre-et-Loire, situé dans la région Centr

Chasse en INDRE-ET-LOIRE: Découvrez des Paysages Magnifiques, des Saisons de Chasse Parfaites et des Traditions Ancestrales L’Indre-et-Loire, situé dans la région Centre-Val de Loire, est un département français réputé pour ses paysages variés, ses forêts riches en gibier et ses traditions cynégétiques bien ancrées. Ce guide explore en détail les aspects géographiques, législatifs et culturels de la chasse en Indre-et-Loire, ainsi que les spécificités qui en font une destination prisée des chasseurs. Géographie et particularités naturelles de l’Indre-et-Loire pour la chasse L’Indre-et-Loire est caractérisé par une diversité de paysages qui en fait un terrain de chasse idéal. Le département est traversé par la Loire, le plus long fleuve de France, et ses affluents, créant des zones humides propices à la faune aquatique. Les forêts, comme celle de Chinon ou de Loches, couvrent une partie importante du territoire et abritent une grande variété de gibier. Les zones de chasse sont réparties entre des territoires privés, des domaines publics et des réserves de chasse, offrant aux chasseurs une grande variété de terrains. Démographie des chasseurs en Indre-et-Loire En Indre-et-Loire, la chasse est une activité populaire, avec environ 8 000 à 9 000 chasseurs actifs, selon les données de la Fédération Départementale des Chasseurs (FDC 37). Cela représente une part significative de la population rurale du département. Les chasseurs sont majoritairement des hommes, mais on observe une augmentation progressive du nombre de femmes pratiquant cette activité. Les jeunes chasseurs sont également de plus en plus nombreux, grâce aux initiatives de formation et de sensibilisation mises en place par les associations locales. Types de chasse et gibier présent en Indre-et-Loire L’Indre-et-Loire offre une grande variété de pratiques cynégétiques, adaptées aux différents types de gibier présents dans la région: 1. Chasse au grand gibier: Le sanglier, le chevreuil et le cerf sont les espèces les plus chassées. Les battues organisées sont courantes, notamment en forêt, où la densité de sangliers est particulièrement élevée. La chasse à l’approche ou à l’affût est également pratiquée pour le chevreuil. 2. Chasse au petit gibier: Le lièvre, le lapin de garenne, le faisan et la perdrix rouge sont les principales espèces chassées. La chasse à tir et la chasse au chien d’arrêt sont les méthodes les plus utilisées. 3. Chasse au gibier d’eau: Les zones humides de la Loire et de ses affluents attirent les canards, sarcelles et autres oiseaux migrateurs. La chasse à la passée ou à la botte est pratiquée dans ces milieux. 4. Chasse à courre: Bien que moins répandue, la chasse à courre est encore pratiquée dans certaines zones du département, principalement pour le cerf et le chevreuil. Saisons de chasse en Indre-et-Loire Les saisons de chasse en Indre-et-Loire sont réglementées par arrêté préfectoral et varient selon les espèces. - Grand gibier: - Sanglier: de septembre à février (avec des prolongations possibles en cas de dégâts agricoles). - Chevreuil: de septembre à février. - Cerf: de septembre à février (selon l’âge et le sexe de l’animal). - Petit gibier: - Lièvre et lapin: de septembre à décembre. - Faisan et perdrix: de septembre à janvier. - Gibier d’eau: - Canards et autres oiseaux migrateurs : de septembre à janvier. Les dates exactes sont publiées chaque année par la FDC 37 et peuvent varier en fonction des conditions climatiques et des populations animales. Associations et clubs de chasse en Indre-et-Loire La Fédération Départementale des Chasseurs d’Indre-et-Loire (FDC 37) est l’organisme principal qui regroupe les chasseurs du département. Elle propose des formations, des assurances et des informations sur la réglementation. En plus de la FDC, il existe de nombreuses associations locales, comme les Sociétés de Chasse Communales (ACC) et les Associations Communales de Chasse Agréées (ACCA), qui gèrent les territoires de chasse et organisent des événements. Législation de la chasse en Indre-et-Loire La chasse en Indre-et-Loire est régie par le Code de l’environnement et les arrêtés préfectoraux. Les chasseurs doivent être titulaires d’un permis de chasse valide, délivré après réussite à l’examen du permis de chasser. Les armes utilisées doivent être déclarées et conformes à la législation en vigueur. Les règles spécifiques au département incluent : . - L’interdiction de chasser le dimanche dans certaines zones. - La régulation des espèces nuisibles (comme le renard ou la corneille) selon des périodes définies. Traditions de la chasse en Indre-et-Loire La chasse en Indre-et-Loire est marquée par des traditions locales, comme les battues communautaires, où les chasseurs se réunissent pour traquer le sanglier ou le chevreuil. Les repas de chasse, souvent organisés après une battue, sont également un moment convivial important, mettant à l’honneur les produits locaux et le gibier chassé. Faits intéressants sur la chasse en Indre-et-Loire - L’Indre-et-Loire est l’un des départements français où la densité de sangliers est parmi les plus élevées, en raison de l’abondance de nourriture dans les zones agricoles. - Le département compte plusieurs réserves de chasse, comme la Réserve Naturelle Régionale de la Vallée de la Loire, où la chasse est strictement régulée pour préserver la biodiversité. - La FDC 37 organise chaque année des journées de formation sur la sécurité à la chasse, contribuant à réduire les accidents. L’Indre-et-Loire est un département riche en opportunités pour les chasseurs, grâce à sa diversité de paysages, sa faune abondante et ses traditions bien vivantes. Que vous soyez un chasseur expérimenté ou un novice, cette région offre un cadre idéal pour pratiquer votre passion dans le respect des règles et de l’environnement.

Post: 26 July 08:12

Découvrir la Chasse en INDRE: Explorer la Faune Régionale Diversifiée, Plonger dans les Traditions Authentiques et Révéler des Faits Marquants

Le département de l'Indre,

Découvrir la Chasse en INDRE: Explorer la Faune Régionale Diversifiée, Plonger dans les Traditions Authentiques et Révéler des Faits Marquants Le département de l'Indre, situé au cœur de la région Centre-Val de Loire, représente un véritable paradis pour les chasseurs français. Avec ses 693 000 hectares de superficie, ce territoire offre une diversité naturelle remarquable qui en fait un lieu privilégié pour la pratique de la chasse. Cet article détaille les aspects essentiels de la chasse en Indre, en répondant aux questions clés que se posent les chasseurs. Caractéristiques Géographiques et Naturelles Favorables à la Chasse L'Indre se distingue par sa topographie variée, alliant plaines, vallées fluviales et zones boisées. La forêt domaniale de Châteauroux (15 000 hectares) et celle de Loches (12 000 hectares) constituent des réservoirs importants de gibier. Le réseau hydrographique, composé notamment de l'Indre, du Cher et de leurs affluents, favorise le développement d'une faune aquatique riche. Les plateaux bocagers du nord du département, avec leurs haies et bosquets, offrent des habitats idéaux pour le petit gibier. Les zones humides, comme celles autour de la Brenne, sont particulièrement propices à la chasse aux oiseaux d'eau. Ces espaces protégés abritent également une biodiversité exceptionnelle. Communauté des Chasseurs en Indre Selon les données officielles de 2022, l'Indre compte environ 23 500 détenteurs de permis de chasse actifs, représentant près de 8% de la population adulte masculine du département. Cette proportion est légèrement supérieure à la moyenne nationale. Les chasseurs sont majoritairement âgés de 40 à 65 ans, avec une tendance croissante à l'engagement des jeunes générations grâce aux formations proposées par la Fédération Départementale des Chasseurs (FDC). Types de Chasse Pratiqués La chasse en Indre se décline selon plusieurs modalités principales: 1. Chasse à tir: - Gros gibier (chevreuil, sanglier) - Petit gibier (lièvre, perdrix, faisans) - Oiseaux migrateurs 2. Chasse à courre: - Principalement pratiquée pour le cerf et le sanglier - Deux équipages principaux: Veneurs du Boischaut et Saint-Hubert d'Issoudun 3. Chasse au vol: - Spécialisée dans les oiseaux d'eau - Zones favorites: marais de la Brenne Faune Sauvage Locale L'Indre abrite une grande diversité de gibier: Mammifères: - Chevreuil (espèce dominante) - Sanglier (population stable) - Renard - Lapin de garenne - Lièvre brun Oiseaux: - Perdrix grise - Faisan commun - Canards divers (colvert, sarcelle) - Bécassine des marais - Vanneau huppé Saisonnalité de la Chasse Les périodes légales de chasse varient selon les espèces: Petit gibier: - Du 1er septembre au 28 février - Exceptions pour certains migrateurs Gros gibier: - Chevreuil: 15 septembre - 15 janvier - Sanglier: 1er juin - 31 mars (plan de chasse) Oiseaux d'eau: - 1er septembre - 31 janvier Structures Associatives L'Indre compte plusieurs structures importantes: 1. FDC 36 (Fédération Départementale des Chasseurs) - Plus de 23 000 adhérents - Gestion de 750 hectares d'espaces cynégétiques - Formation des jeunes chasseurs 2. ACCA (Associations Communales de Chasse Agréées) - 320 associations actives - Gestion concertée des territoires 3. Clubs spécialisés: - Club de chasse à courre - Associations de tir sportif Cadre Législatif Local En plus de la réglementation nationale, l'Indre applique des mesures spécifiques: - Validation obligatoire du permis annuel - Plan de chasse régional strict sur le sanglier - Zones de protection renforcée autour des aires urbaines - Restrictions temporaires en période de sécheresse Patrimoine Culturel et Traditions L'Indre conserve un riche héritage cynégétique: - Festivités autour de Saint-Hubert - Transmission des savoirs entre générations - Fabrication artisanale de trophées - Cuisine traditionnelle basée sur le gibier Faits Marquants - La plus ancienne société de chasse locale date de 1867 - Particularité : présence de populations de perdrix grises autochtones - Initiative unique : programme de repeuplement de lièvres bruns depuis 2015 La chasse en Indre représente bien plus qu'une simple activité de loisir. Elle s'inscrit dans une tradition séculaire tout en participant activement à la gestion durable des espaces naturels et des populations animales. Grâce à son cadre naturel préservé, à sa communauté de chasseurs engagés et à ses structures organisées, le département continue d'attirer chaque année de nombreux passionnés.

Post: 26 July 07:36

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