industrielle - All
I moderne virkeligheder er jagt ophørt med at være den vigtigste fødekilde, men giver stadig befolkningen en betydelig tilføjelse af kødprodukter til bordet.
Ganske populært jagtbytte er vildsvin og elge. Selvom vilde dyr ikke behandles med antibiotika og ikke holdes under industrielle husdyrbrugsforhold, hvor dyret ekstremt hurtigt skal tage på omsættelig levende vægt, er det ikke så sikkert at spise vildt, som det ser ud til ved første øjekast.
Vilde dyr, herunder hovdyr, er ofte en kilde til parasitangreb.
Trikinose
Den farligste og mest kendte helminthic sygdom, som en person kan blive inficeret med, er trikinose. Dette er en typisk naturlig fokal helminthiasis. Sygdommen er blevet beskrevet siden 60'erne af det 19. århundrede, men til dato er der ingen radikale foranstaltninger til forebyggelse og kontrol, som pålideligt ville beskytte befolkningen mod denne invasion. Hos vilde dyr er helminthiasis udbredt. Dyr bliver smittet ved at spise andre dyr, inklusive lig, i hvis muskler der er trikinlarver. Trikinlarver er lokaliseret i muskelfibrene i tværstribede muskler (undtagen hjertemusklerne), og kan lokaliseres ikke kun i selve musklerne, men også i muskellagene af fedt.
Dødelig mængde - fem stk
Det dødelige antal larver, som en person kan spise, er blevet beregnet til at være 5 pr. kg kropsvægt, det vil sige, at en gennemsnitlig mand, der vejer 80 kg, skal spise 400 parasitlarver for at modtage en dødelig dosis. Dette er ikke så meget, i betragtning af at kun en hun, der kommer ind i tarmen, kan producere op til 2 tusind larver.
Ved blodkar
Efter at have spist forurenet kød, under påvirkning af fordøjelsesenzymer, kommer trikinlarverne frem fra kapslerne. Når de først er i tyndtarmen, når de seksuel modenhed inden for tre dage. Modne trikiner kan producere afkom inden for flere måneder.
La chasse en SEINE-SAINT-DENIS: Département sans territoire cynégétique, mais acteur culturel et sociétal dans l’univers cynégétique francilien
Espaces artificialisés et éloignement des territoires de chasse en Seine-Saint-Denis
La Seine-Saint-Denis est un département totalement urbanisé, avec peu d’espaces naturels propices à la faune sauvage et aucune zone de chasse officielle. Le territoire est dominé par les zones résidentielles, industrielles et les infrastructures de transport dense. Quelques parcs boisés, comme le parc de la Courneuve ou la forêt de Bondy, subsistent mais relèvent de la gestion environnementale ou de la préservation urbaine, non d’un usage cynégétique.
Profil des chasseurs du 93: urbains, mobiles et organisés
Il existe très peu de chasseurs résidents dans le département, mais de nombreux passionnés vivant en Seine-Saint-Denis pratiquent la chasse dans d’autres départements d’Île-de-France ou en province. Ces chasseurs sont souvent issus de milieux populaires ou familiaux où la chasse est perçue comme un lien à la nature, à la tradition ou au territoire d’origine. Le permis de chasser reste accessible à tous et délivré sur les mêmes critères que dans le reste de la France.
Faune présente en périphérie et destinations fréquentes
Aucune chasse n’est pratiquée dans le département lui-même. Toutefois, certains habitants participent activement à des activités cynégétiques dans d’autres régions, en particulier la chasse au gibier de plaine, au sanglier ou à la bécasse. La chasse à l’affût et la battue sont les formes les plus courantes dans les forêts d’Île-de-France accessibles depuis la Seine-Saint-Denis.
Rythme de chasse adapté au cadre périurbain dense
Les résidents chassent exclusivement hors du département. Ils sont donc soumis aux calendriers des territoires sur lesquels ils pratiquent, principalement dans les Yvelines, la Seine-et-Marne, l’Oise ou l’Aisne. Les périodes suivent les règlements départementaux de ces zones, que les chasseurs doivent connaître et respecter.
Clubs, cercles et fédérations fréquentés par les chasseurs de Seine-Saint-Denis
Il n’existe pas de société de chasse active sur le territoire de la Seine-Saint-Denis. Néanmoins, certains clubs culturels ou associatifs regroupent des chasseurs originaires d’Afrique du Nord, des Balkans ou du sud de la France, partageant une culture cynégétique forte. Ces réseaux permettent le covoiturage vers les territoires de chasse et entretiennent des liens sociaux autour de la pratique.
Législation applicable et contraintes spécifiques au 93
La chasse est interdite dans tout le département. Les rares interventions sur la faune (contrôle de la population de pigeons ou de rongeurs, par exemple) relèvent des services sanitaires ou des collectivités territoriales. Aucun plan de chasse ni gestion cynégétique n’est en vigueur.
Transmission des valeurs et culture cynégétique en banlieue dense
Même sans territoire de chasse, la Seine-Saint-Denis conserve une mémoire cynégétique à travers certaines familles ou communautés d’origine rurale. La chasse y est parfois vue comme un héritage culturel, un moyen de retour aux sources, et suscite un intérêt croissant chez certains jeunes en quête d’un lien avec la nature ou d’une activité structurante.
Anecdotes urbaines et pratiques uniques chez les chasseurs du 93
Certains habitants du département participent à des programmes de chasse accompagnée ou de formation au permis de chasser proposés en Seine-et-Marne ou en Picardie. La Seine-Saint-Denis est aussi un vivier de jeunes chasseurs franciliens issus de la diversité, ce qui en fait un exemple d’ouverture sociale dans le monde cynégétique.