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LA CHASSE DANS LA RÉGION DE COLOMBIE-BRITANNIQUE AU CANADA: ASSOCIATIONS DE CHASSEURS, DÉMOGRAPHIE ET SAISONS DE CHASSE À NE PAS MANQUER

La Colombie-Britannique, provinc

LA CHASSE DANS LA RÉGION DE COLOMBIE-BRITANNIQUE AU CANADA: ASSOCIATIONS DE CHASSEURS, DÉMOGRAPHIE ET SAISONS DE CHASSE À NE PAS MANQUER La Colombie-Britannique, province de l’ouest canadien, est une destination de choix pour les chasseurs du monde entier. Avec ses paysages variés, sa faune abondante et ses traditions de chasse bien ancrées, cette région offre une expérience unique. Cet article explore les caractéristiques géographiques, les types de chasse, les animaux chassés, les saisons, les associations, la législation et les traditions locales. Caractéristiques géographiques et naturelles de la région La C.-B. est une province immense, couvrant près de 945 000 km². Elle est caractérisée par des montagnes majestueuses (dont les Rocheuses), des forêts denses, des lacs cristallins et des côtes sauvages. Ces écosystèmes variés abritent une faune diversifiée, idéale pour la chasse. Les zones de chasse sont réparties entre les régions côtières, les vallées intérieures et les zones montagneuses, offrant des expériences adaptées à tous les niveaux de chasseurs. Chasseurs et démographie de la région La chasse est une activité populaire en Colombie-Britannique. Selon les données de 2025, environ 100 000 résidents de la province possèdent un permis de chasse. Ce nombre augmente considérablement pendant la saison de chasse, avec l’arrivée de chasseurs internationaux, notamment des États-Unis et d’Europe. La chasse est pratiquée par des personnes de tous âges et de tous horizons, reflétant la diversité culturelle de la région. Types de chasse dans la région La Colombie-Britannique propose plusieurs types de chasse, adaptés aux préférences et aux compétences des chasseurs : Chasse à l’arc : Pratiquée par les amateurs de défis, cette méthode exige précision et patience. Chasse à l’arme à feu : La plus courante, elle permet de traquer des gibiers de grande taille comme l’ours ou l’orignal. Chasse à l’affût : Idéale pour les chasseurs qui préfèrent attendre leur proie dans des zones stratégiques. Chasse accompagnée (guide) : Recommandée pour les chasseurs étrangers ou débutants, elle est souvent organisée par des guides professionnels. Animaux chassés dans la région La Colombie-Britannique abrite une faune riche et variée, comprenant : Grands mammifères : Orignal, cerf mulet, cerf de Virginie, wapiti, caribou, mouflon et chèvre de montagne. Prédateurs : Ours noir et grizzli (sous réglementation stricte). Oiseaux : Faisan, perdrix, canard et oie. Ces espèces sont réparties dans différentes zones de la province, offrant des opportunités de chasse adaptées à chaque gibier. Saisons de chasse dans la région Les saisons de chasse varient selon l’espèce et la région. En général, la saison principale s’étend de l’automne au début de l’hiver. Par exemple : Orignal et cerf : De septembre à novembre. Ours : Au printemps (avril-mai) et à l’automne (septembre-octobre). Oiseaux migrateurs : De septembre à décembre. Il est essentiel de consulter le BC Hunting Regulations Synopsis, publié annuellement, pour connaître les dates exactes et les restrictions. Associations et clubs de chasseurs dans la région La C.-B. compte de nombreuses associations et clubs de chasseurs, qui jouent un rôle clé dans la préservation de la faune et la promotion de la chasse responsable. Parmi les plus connus : British Columbia Wildlife Federation (BCWF) : Fondée en 1922, elle représente les intérêts des chasseurs et pêcheurs. Guide Outfitters Association of British Columbia (GOABC) : Regroupe des guides professionnels pour des expériences de chasse sécurisées et éthiques. Local hunting clubs : De nombreux clubs régionaux organisent des événements, des formations et des activités de conservation. Législation de la chasse dans la région La chasse en Colombie-Britannique est réglementée par le Ministry of Forests, Lands, Natural Resource Operations and Rural Development. Les chasseurs doivent obtenir un permis de chasse et respecter les quotas, les zones de chasse désignées et les méthodes autorisées. Les infractions sont sévèrement punies, avec des amendes et des suspensions de permis. Les chasseurs étrangers doivent également engager un guide professionnel pour chasser les grands mammifères, conformément à la loi provinciale. Traditions de la région du point de vue de la chasse La chasse est profondément enracinée dans la culture de la Colombie-Britannique. Les communautés autochtones, comme les Premières Nations, pratiquent la chasse depuis des millénaires, en respectant des traditions spirituelles et écologiques. Aujourd’hui, de nombreux chasseurs adoptent une approche similaire, en valorisant la chasse durable et le respect de la nature. Faits intéressants sur la chasse dans la région Diversité des paysages : La C.-B. offre plus de 800 zones de chasse réparties sur 14 régions administratives. Conservation : Les revenus des permis de chasse contribuent à financer des projets de conservation de la faune. Records : La province est réputée pour ses trophées de grande qualité, notamment les wapitis et les mouflons. Tourisme de chasse : La chasse génère des millions de dollars chaque année, soutenant l’économie locale. La Colombie-Britannique est un paradis pour les chasseurs, offrant des paysages spectaculaires, une faune abondante et une tradition de chasse bien préservée. Préparez votre équipement, consultez les guides locaux et partez à l’aventure dans l’une des meilleures destinations de chasse au monde.

Post: 12 May 13:35

Saisons de chasse en COLOMBIE-BRITANNIQUE (Canada): Calendriers Complets, Réglementation Détaillée et Meilleures Périodes

Avec ses paysages grandioses allant des forêts

Saisons de chasse en COLOMBIE-BRITANNIQUE (Canada): Calendriers Complets, Réglementation Détaillée et Meilleures Périodes Avec ses paysages grandioses allant des forêts côtières aux montagnes rocheuses, la Colombie-Britannique représente un terrain de chasse exceptionnel au Canada. Cette province offre une diversité remarquable de gibier, mais exige une parfaite connaissance des saisons et des réglementations pour pratiquer la chasse dans les règles de l'art. Règles générales et périodes de chasse en Colombie-Britannique Les périodes d'ouverture en Colombie-Britannique sont déterminées avec précision par le BC Wildlife Branch, variant selon les Wildlife Management Units (WMUs) et les espèces. Contrairement aux Prairies voisines où les saisons sont souvent plus courtes, la Colombie-Britannique bénéficie d'une longue période de chasse pour l'ours noir, courant d'avril à juin puis de septembre à novembre. Pour le gros gibier comme l'orignal ou le wapiti, la saison phare se situe entre septembre et novembre, coïncidant avec la période du rut qui rend ces animaux plus actifs. Les chasseurs expérimentés savent que la dernière semaine d'octobre offre souvent les meilleures opportunités, lorsque les mâles répondent plus facilement aux appeaux. L'altitude joue un rôle crucial dans le calendrier. Dans les zones montagneuses comme les Rocheuses, les saisons se terminent plus tôt en raison des chutes de neige précoces, tandis que les vallées intérieures bénéficient souvent de prolongations. Depuis 2020, des ajustements ont été apportés pour protéger les espèces vulnérables comme le caribou des montagnes, désormais totalement protégé. Les particularités de la chasse en Colombie-Britannique Chaque espèce a son propre rythme en Colombie-Britannique. L'ours grizzli, soumis à des permis très restreints, se chasse principalement en automne lorsqu'il accumule des réserves pour l'hiver. Le wapiti, véritable emblème de la province, est particulièrement actif durant le rut d'octobre, offrant des opportunités uniques aux chasseurs patients. Pour le petit gibier, la saison s'étend généreusement d'octobre à février, permettant de pratiquer la chasse même en hiver. Les oiseaux migrateurs comme les canards et les oies offrent leur meilleure activité entre mi-septembre et mi-décembre, particulièrement dans les zones humides du Peace River Country. La province organise plusieurs événements majeurs pour les passionnés. La BC Hunting Expo de Kamloops en mars est l'occasion idéale pour se tenir informé des dernières réglementations et découvrir le nouvel équipement. Le Wild Sheep Foundation Banquet de Vancouver, quant à lui, réunit chaque janvier les défenseurs d'une chasse durable autour du mouflon d'Amérique. Réglementations essentielles La Colombie-Britannique impose des règles strictes pour préserver sa faune exceptionnelle. Le caribou des montagnes est totalement protégé, tout comme les femelles wapiti dans de nombreuses zones. La chasse est interdite pendant les périodes de reproduction et de mise bas, particulièrement pour l'ours entre janvier et mars. Certaines restrictions varient selon les WMUs. Par exemple, le loup nécessite un permis spécifique dans certaines unités de gestion, tandis que des zones entières sont fermées à la chasse près des centres urbains. Ces mesures visent à maintenir un équilibre délicat entre tradition cynégétique et conservation. Obtention des permis de chasse en Colombie-Britannique Obtenir un permis de chasse en Colombie-Britannique requiert une formation préalable, disponible en présentiel. Les tags, nécessaires pour chaque espèce, s'acquièrent facilement en ligne via le BC Wildlife Branch ou dans les magasins agréés. Pour les non-résidents, le recours à un guide professionnel est souvent judicieux, notamment dans les zones reculées. L'équipement doit être soigneusement choisi selon la saison. L'automne exige des vêtements chauds et des jumelles de qualité pour repérer le gibier dans les vastes étendues. Au printemps, un camouflage léger et des pièges à odeurs s'avèrent indispensables pour traquer l'ours noir. Conseils de pros pour maximiser ses chances Les chasseurs chevronnés recommandent de commencer les repérages dès août pour le gros gibier. La technique de l'affût donne d'excellents résultats en octobre, lorsque les animaux sont en pleine période de rut. Pour la sauvagine, les zones humides au petit matin offrent les meilleures opportunités. Il est crucial de consulter annuellement le BC Hunting Regulations Synopsis, qui détaille toutes les mises à jour. Les infractions, comme la chasse hors saison, peuvent entraîner des amendes jusqu'à 100 000 $ CAD et la confiscation du matériel. La Colombie-Britannique reste l'une des dernières grandes terres de chasse sauvage, où le respect des règles et des cycles naturels garantit la pérennité de cette tradition. Avec une bonne préparation et une connaissance approfondie des saisons, chaque chasseur peut vivre ici des expériences inoubliables au cœur d'une nature préservée.

Post: 1 September 20:37

Rødøjede løvfrøer findes i Mexico, Belize, Guatemala, Honduras, Nicaragua, Costa Rica, Panama og findes endda i nogle isolerede populationer i Colombia. De foretrækker tr

Rødøjede løvfrøer findes i Mexico, Belize, Guatemala, Honduras, Nicaragua, Costa Rica, Panama og findes endda i nogle isolerede populationer i Colombia. De foretrækker tropiske regnskove og lavlandsskove med høj luftfugtighed, men de kan også findes i fugtige skove ved fodens skråninger, der ligger i en højde på omkring 1250m over havets overflade. Navnet "rødøjede" er direkte relateret til de smukke store røde øjne, som disse frøer åbner om natten. Rødøjede løvfrøer omtales også nogle gange som rødøjede løvfrøer på grund af deres trælevende livsstil, fordi de sover på undersiden af ​​et blad. Rødøjede løvfrøer er dejlige, langlivede og relativt nemme at passe for padder. Deres rolige gemyt, store røde øjne, lysegrønne ryg med blåstribede flanker og rige orange svømmehud gør dem til et af de mest interessante og fascinerende dyr for både begyndere og erfarne krybdyrentusiaster. Rødøjede løvfrøer er ret omgængelige med hinanden, så det er bedst at holde dem i små grupper (4 til 8 frøer pr. terrarium). Rødøjede løvfrøer er blevet avlet i USA og Europa i over 30 år. De fås i en række forskellige farver, nogle gange endda en albino-type morph med en gullig ryg og sølvfarvede øjne, kaldet "lutino".

Post: 27 July 10:55

Saisons de chasse dans les ROCHEUSES canadiennes: périodes, réglementations à connaître 

Les Rocheuses canadiennes, avec leurs paysages époustouflants et leur faune abon

Saisons de chasse dans les ROCHEUSES canadiennes: périodes, réglementations à connaître Les Rocheuses canadiennes, avec leurs paysages époustouflants et leur faune abondante, attirent chaque année des chasseurs du monde entier. Cependant, pour pratiquer la chasse dans cette région, il est essentiel de connaître les saisons, les réglementations et les meilleures périodes pour maximiser ses chances de succès. Cet article détaille tout ce qu’un chasseur doit savoir avant de partir. Calendrier et réglementation La chasse dans les Rocheuses canadiennes est strictement encadrée par les gouvernements provinciaux, notamment en Alberta et en Colombie-Britannique. Les dates de chasse varient selon les espèces, les zones géographiques et les conditions climatiques. Généralement, la saison s’étend de l’été à l’automne, avec des périodes spécifiques pour le gros gibier, comme l’orignal, le wapiti ou le cerf, ainsi que pour le petit gibier, tel que le lièvre ou le tétras. Plusieurs facteurs influencent ces dates : les Rocheuses sont une région montagneuse où le climat et l’altitude jouent un rôle crucial. Ainsi, les hivers précoces peuvent raccourcir la saison, tandis qu’un automne doux peut la prolonger. En outre, les autorités ajustent parfois les dates afin de protéger les populations animales, notamment en fonction des taux de reproduction. Il existe également des différences régionales notables : contrairement aux Prairies ou aux régions boréales, les Rocheuses offrent des saisons plus courtes pour certaines espèces comme le mouflon d’Amérique, en raison de leur habitat restreint. Au cours des dernières années, des ajustements ont été opérés pour limiter la chasse au wapiti dans certaines zones où les populations déclinaient. Il est donc impératif pour les chasseurs de vérifier annuellement les mises à jour, car les règles peuvent évoluer d’une année à l’autre. Opportunités saisonnières dans les Rocheuses Concernant la saisonnalité, elle varie selon le type de gibier. Pour le gros gibier, la période idéale se situe généralement entre septembre et novembre pour l’orignal (avec un pic en octobre), août à octobre pour le wapiti (rut en septembre), octobre à décembre pour le cerf mulet, et septembre à novembre pour le mouflon d’Amérique, qui bénéficie de permis très limités. Quant au petit gibier et aux oiseaux, les tétras et lagopèdes peuvent être chassés de septembre à décembre, tandis que le lièvre et le coyote sont accessibles toute l’année dans certaines zones. L’automne est particulièrement recommandé pour la chasse au gros gibier, car les mâles sont en rut et donc moins méfiants. De manière générale, les périodes d’activité maximale des animaux correspondent à l’aube et au crépuscule. Pour les oiseaux, les premières heures du matin sont considérées comme optimales. Par ailleurs, certains festivals locaux célèbrent l’ouverture de la saison de chasse, tels que le Rocky Mountain Hunting Expo en Alberta, où les chasseurs partagent conseils et récits. L’événement inclut des démonstrations de techniques alpines comme la chasse en haute altitude ou la traque du mouflon, des conférences sur les nouveaux règlements provinciaux, ainsi que des ateliers de préparation du gros gibier. Règles et restrictions dans les Rocheuses Cependant, plusieurs interdictions et restrictions doivent être respectées. Il est notamment interdit de chasser les femelles accompagnées de petits pour certaines espèces, et des quotas stricts s’appliquent concernant les mâles matures, comme pour le wapiti à bois de plus de six pointes. Certaines espèces sont protégées, tel le caribou des montagnes, dont la chasse est totalement interdite, tandis que le grizzli nécessite un permis rare et coûteux. De plus, au printemps, la chasse est fermée pour la plupart des espèces afin permettre la reproduction. Obtention du permis Pour obtenir un permis de chasse dans les Rocheuses, il faut se procurer un permis provincial, soit en Alberta soit en Colombie-Britannique, ainsi qu’un permis d’arme à feu (PAL). Des tags spécifiques sont requis pour le gros gibier, souvent attribués via un tirage au sort pour certaines espèces. Les chasseurs peuvent également s’appuyer sur des organisations locales comme l’Alberta Fish & Game Association ou la BC Wildlife Federation, qui fournissent des ressources utiles, y compris des guides expérimentés. Sanctions et responsabilités Toutefois, les infractions au règlement, comme la chasse hors saison ou le braconnage, entraînent des sanctions pouvant aller jusqu’à 50 000 dollars canadiens d’amende et la confiscation du matériel. Stratégies pour une chasse réussie dans les Rocheuses Enfin, pour une chasse réussie dans les Rocheuses, il est conseillé de bien se préparer. Un équipement adapté est indispensable, notamment des vêtements chauds pour faire face aux conditions en altitude et des jumelles de qualité pour repérer les animaux à distance. Une bonne stratégie consiste à identifier les zones d’alimentation en été afin d’anticiper les déplacements automnaux. Les vallées et les lisières de forêt sont particulièrement propices à l’approche discrète des proies. Les Rocheuses canadiennes offrent une expérience de chasse inoubliable, à condition de respecter scrupuleusement les règles. Une bonne préparation et une connaissance approfondie des saisons et des réglementations maximiseront vos chances de succès.

Post: 2 September 07:01

La chasse dans les MONTAGNES CÔTIÈRES au Canada: Démographie des chasseurs, associations locales et territoires montagneux

Les montagnes Côtières du Canada, situées prin

La chasse dans les MONTAGNES CÔTIÈRES au Canada: Démographie des chasseurs, associations locales et territoires montagneux Les montagnes Côtières du Canada, situées principalement en Colombie-Britannique et dans certaines parties du Yukon et de l'Alaska, sont un véritable sanctuaire pour les amateurs de chasse. Cette région unique offre des caractéristiques géographiques, une faune variée et des traditions séculaires qui font d’elle une destination prisée pour les chasseurs du monde entier. Caractéristiques géographiques et naturelles propices à la chasse Les montagnes Côtières se distinguent par leur relief accidenté, leurs forêts luxuriantes et leurs rivières poissonneuses. Ce territoire est parsemé de fjords spectaculaires, ce qui en fait un écosystème diversifié où vivent de nombreuses espèces animales. Les vastes étendues sauvages offrent aux chasseurs des conditions idéales pour pratiquer leur passion tout en étant en communion avec la nature. La région bénéficie également d’un climat tempéré côtier, bien que les hivers puissent être rigoureux en altitude. Cela influence directement les migrations des animaux et les périodes optimales pour la chasse. Démographie des chasseurs dans la région Bien qu’il soit difficile de fournir des chiffres exacts sur le nombre total de chasseurs actifs dans les montagnes Côtières, on estime que plusieurs milliers de personnes participent annuellement à des activités cynégétiques dans cette zone. Les résidents locaux représentent une part importante des chasseurs, mais la région attire aussi de nombreux touristes internationaux, notamment des Américains et des Européens. Ces derniers sont souvent attirés par l’opportunité de traquer des trophées emblématiques tels que l’ours noir ou le cerf de Sitka. Types de chasse Dans les montagnes Côtières, la chasse peut prendre différentes formes: Chasse au gros gibier: Elle est particulièrement populaire ici grâce à la présence d’animaux majestueux. Chasse à la sauvagine: Idéale près des zones humides et des cours d’eau. Chasse traditionnelle autochtone: Certains groupes Premières Nations pratiquent encore aujourd’hui des méthodes ancestrales transmises depuis des générations. Animaux chassés Voici quelques-unes des espèces les plus recherchées dans la région: Ours noir et ours brun (grizzly): Symboles emblématiques de la faune canadienne. Cerf de Sitka: Présent principalement dans les régions côtières boisées. Chèvre de montagne: Bien que menacée dans certaines zones, elle reste un objectif prestigieux sous encadrement strict. Sauvagine: Canards, oies et autres oiseaux migrateurs abondent dans les marais environnants. Saisons de chasse Les saisons varient selon les espèces et les territoires spécifiques. Voici quelques exemples généraux: Ours noir: De septembre à novembre. Cerf de Sitka: Octobre à décembre. Chèvre de montagne: Sous quotas limités, généralement entre août et octobre. Sauvagine: Septembre à fin novembre. Il est essentiel de consulter les règlements provinciaux avant toute expédition pour s’assurer du respect des dates et des quotas imposés. Associations et clubs de chasseurs Plusieurs organisations locales soutiennent et encadrent les activités cynégétiques dans les montagnes Côtières. Parmi elles figurent: Fédération des chasseurs de Colombie-Britannique: Elle joue un rôle clé dans la gestion durable des ressources fauniques. Clubs autochtones de chasse: Ils promeuvent des pratiques respectueuses des traditions ancestrales tout en sensibilisant à la préservation de l’environnement. Ces associations permettent non seulement aux chasseurs de rester informés sur les lois en vigueur, mais aussi de partager leurs expériences et connaissances. Législation de la chasse La législation concernant la chasse dans les montagnes Côtières repose sur deux niveaux: fédéral et provincial. Les chasseurs doivent obtenir un permis valide auprès des autorités compétentes et respecter les règles suivantes: Limitation stricte des quotas pour protéger certaines espèces fragiles comme la chèvre de montagne. Interdiction de chasser sans guide pour les étrangers dans plusieurs zones reculées. Obligation de déclarer les prises effectuées pour assurer un suivi scientifique. De plus, le transport d’armes à feu nécessite une autorisation spécifique, même pour les chasseurs étrangers. Traditions locales liées à la chasse Les Premières Nations ont longtemps intégré la chasse dans leur mode de vie. Pour ces communautés, il ne s’agit pas seulement d’une activité récréative, mais d’un moyen de subsistance et de connexion spirituelle avec la nature. Les techniques utilisées autrefois, telles que les pièges artisanaux ou les arcs traditionnels, sont encore enseignées lors de rassemblements culturels. Faits intéressants sur la chasse dans les montagnes Côtières Un terrain exigeant: En raison de son relief escarpé, la chasse dans cette région requiert une excellente condition physique ainsi qu’une préparation minutieuse. Impact écologique surveillé: Des études récentes montrent que la chasse régulée contribue à maintenir un équilibre écologique, notamment en évitant la surpopulation d’espèces herbivores. Tourisme cynégétique florissant: Chaque année, des milliers de dollars sont injectés dans l’économie locale grâce à l’afflux de chasseurs étrangers. La chasse dans les montagnes Côtières représente bien plus qu’une simple pratique sportive; elle incarne une véritable immersion dans un écosystème exceptionnel et une plongée dans des traditions profondément ancrées. Que vous soyez un chasseur chevronné ou un novice désireux d’apprendre, cette région canadienne a tout pour vous séduire.

Post: 9 June 10:34

La chasse dans les ROCHEUSES CANADIENNES: Saisons de chasse, traditions ancestrales et territoires alpins

Les Rocheuses canadiennes, avec leurs paysages majestueux et le

La chasse dans les ROCHEUSES CANADIENNES: Saisons de chasse, traditions ancestrales et territoires alpins Les Rocheuses canadiennes, avec leurs paysages majestueux et leur biodiversité exceptionnelle, offrent une expérience de chasse inoubliable. Cette région, située principalement en Alberta et en Colombie-Britannique, est réputée pour ses vastes étendues sauvages, ses montagnes imposantes et ses forêts denses. Pour les chasseurs, c'est un véritable paradis. Cet article explore les caractéristiques géographiques, les types de chasse, les animaux chassés, les saisons, les associations de chasseurs, la législation et les traditions locales. Caractéristiques géographiques et naturelles des Rocheuses Les Rocheuses canadiennes s'étendent sur plus de 1 200 kilomètres, offrant une variété de terrains propices à la chasse. Les montagnes, les vallées, les lacs et les forêts composent un écosystème riche et diversifié. Les zones de chasse sont souvent accessibles par des sentiers ou des routes forestières, mais certaines parties plus reculées nécessitent une expédition en 4x4 ou à pied. La région abrite une faune abondante, notamment des wapitis, des cerfs mulets, des orignaux, des mouflons d'Amérique, des chèvres de montagne et des grizzlis. La densité de population animale varie selon les zones, mais les Rocheuses sont réputées pour leur gibier de grande taille et de haute qualité. Chasseurs et démographie de la région Bien que les données exactes sur le nombre de chasseurs dans les Rocheuses canadiennes soient difficiles à obtenir, on estime que des milliers de chasseurs, tant locaux qu'étrangers, fréquentent la région chaque année. La chasse est une activité populaire en Alberta et en Colombie-Britannique, où elle est profondément enracinée dans la culture locale. Les chasseurs viennent souvent pour la qualité du gibier et l'expérience immersive dans la nature sauvage. Types de chasse dans la région Les Rocheuses canadiennes offrent plusieurs types de chasse, adaptés aux préférences et aux compétences de chaque chasseur : Chasse à l'arc : Pratiquée principalement pour les cerfs et les wapitis, cette méthode exige patience et précision. Chasse à la carabine : La méthode la plus courante, utilisée pour les gros gibiers comme l'orignal et le grizzli. Chasse à l'appel : Souvent utilisée pour les prédateurs comme le coyote ou le cougar. Chasse en haute altitude : Pour les amateurs de défis, la chasse au mouflon ou à la chèvre de montagne dans les zones escarpées est une expérience unique. Animaux chassés dans les Rocheuses Les espèces les plus recherchées dans les Rocheuses canadiennes incluent : Wapiti : Un gibier emblématique de la région, souvent chassé à l'automne. Cerf mulet : Connu pour sa viande savoureuse et ses bois impressionnants. Orignal : Le plus grand membre de la famille des cervidés, prisé pour sa taille et sa rareté. Mouflon d'Amérique et chèvre de montagne : Ces animaux sont chassés pour leur agilité et leur habitat en altitude. Grizzli et ours noir : La chasse à l'ours est réglementée et nécessite un permis spécifique. Saisons de chasse dans les Rocheuses Les saisons de chasse varient selon l'espèce et la zone géographique. En général, la chasse au gros gibier a lieu de septembre à novembre, tandis que la chasse aux prédateurs peut s'étendre jusqu'au printemps. Il est essentiel de consulter les calendriers officiels publiés par les gouvernements provinciaux pour connaître les dates exactes et les quotas. Associations et clubs de chasseurs Les Rocheuses canadiennes comptent plusieurs associations et clubs de chasseurs qui œuvrent pour la conservation de la faune et la promotion de la chasse responsable. Parmi les plus connus : Alberta Fish and Game Association (AFGA) : Une organisation qui défend les droits des chasseurs et participe à des projets de conservation. British Columbia Wildlife Federation (BCWF) : Similaire à l'AFGA, elle promeut la chasse durable et l'éducation des chasseurs. Ces associations organisent également des événements, des formations et des sorties de chasse pour leurs membres. Législation de la chasse dans la région La chasse dans les Rocheuses canadiennes est strictement réglementée pour assurer la durabilité des populations animales. Les chasseurs doivent obtenir un permis provincial et respecter les quotas et les zones de chasse désignées. Les permis pour les espèces protégées, comme le grizzli, sont limités et attribués par tirage au sort. Il est également obligatoire de suivre un cours de sécurité pour les chasseurs avant d'obtenir un permis. Traditions de la région du point de vue de la chasse La chasse dans les Rocheuses est bien plus qu'une activité récréative ; c'est une tradition qui se transmet de génération en génération. Les communautés locales organisent souvent des festivals et des événements autour de la chasse, célébrant leur lien avec la nature et leur héritage culturel. Les récits de chasse autour d'un feu de camp font partie intégrante de la vie dans cette région. Faits intéressants sur la chasse dans les Rocheuses Record de trophées : Les Rocheuses canadiennes sont connues pour produire certains des plus grands trophées de wapitis et de mouflons d'Amérique au monde. Chasse durable : Les programmes de gestion de la faune dans la région sont considérés comme des modèles de conservation. Tourisme de chasse : La région attire des chasseurs du monde entier, contribuant à l'économie locale. La chasse dans les Rocheuses canadiennes est une expérience unique, alliant défis, traditions et respect de la nature. Que vous soyez un chasseur expérimenté ou un novice, cette région offre des opportunités inégalées pour vivre une aventure mémorable.

Post: 20 May 14:08

Saison de chasse dans la FORÊT BORÉALE (Canada): Dates Clés, Réglementations Essentielles et Conseils Pratiques 

La forêt boréale canadienne, étendue sur plus de 300 mil

Saison de chasse dans la FORÊT BORÉALE (Canada): Dates Clés, Réglementations Essentielles et Conseils Pratiques La forêt boréale canadienne, étendue sur plus de 300 millions d’hectares, constitue un territoire idéal pour les amateurs de chasse. Elle abrite une faune variée comprenant le cerf de Virginie, l'orignal, l'ours noir, le lynx, ainsi que diverses espèces de gibier à plume comme la perdrix grise ou le canard. Toutefois, la chasse dans cette région est strictement encadrée par des règles visant à préserver l’équilibre écologique et à garantir la sécurité des chasseurs. Réglementation générale et périodes de chasse dans la forêt boréale Les saisons de chasse dans la forêt boréale sont déterminées chaque année par les gouvernements provinciaux, en collaboration avec des biologistes et des experts en gestion faunique. Ces périodes varient selon les provinces – Québec, Ontario, Alberta, Colombie-Britannique, etc. – mais s’alignent généralement sur les cycles biologiques des espèces. En général, la saison de chasse s’étale de septembre à décembre pour la majorité du gros gibier, tandis que le petit gibier et les oiseaux migrateurs peuvent être chassés de septembre à mars, selon les espèces. Les dates précises sont publiées annuellement par les ministères provinciaux responsables. Le facteur climatique joue un rôle essentiel dans la définition des périodes autorisées. En raison des hivers longs et rigoureux, la fenêtre de chasse est souvent réduite comparée à celle des régions plus méridionales. ! Depuis une dizaine d’années, plusieurs provinces ont durci leurs lois afin de protéger les populations d’orignaux et de caribous menacées, ce qui a conduit à une réduction progressive des permis émis. Saisonnalité et types de gibier En forêt boréale, la chasse se divise en deux grandes périodes : l’automne et l’hiver. La saison automnale, de septembre à novembre, est la plus populaire, particulièrement pour le cerf et l’orignal, dont la période de rut offre des opportunités accrues de repérer les animaux. Le mois d’octobre est souvent considéré comme le moment optimal pour la chasse à l’arc, tandis que novembre convient mieux à la chasse au fusil. L’hiver, de décembre à février, voit la poursuite du gibier à plume comme la perdrix ou les lagopèdes, ainsi que la traque de certains carnivores comme le lynx ou le coyote. Durant ces mois, les températures glaciales rendent nécessaire l’utilisation d’équipements adaptés, notamment des vêtements thermiques et des armes résistantes au froid. ! Certaines provinces organisent des événements liés à la chasse, comme le «Défi Orignal» au Québec ou les journées de chasse organisées par les clubs locaux en Ontario. Les participants traquent l'orignal tout en accumulant des points pour la qualité de leur gibier, leurs techniques éthiques et leur connaissance de la faune. Ces manifestations attirent non seulement des chasseurs locaux, mais aussi des visiteurs internationaux. Restrictions et interdictions dans la forêt boréale Pour protéger les espèces vulnérables, des restrictions strictes encadrent la chasse. Il est notamment interdit de tirer des femelles porteuses de petits ou des mâles présentant certaines caractéristiques physiques (par exemple, un nombre limité de pointes sur les bois). Des quotas annuels sont fixés pour chaque zone de chasse, limitant le nombre total de prélèvements. Certaines espèces, comme le caribou des bois ou le loup gris dans certaines zones, bénéficient d’une protection totale. En outre, la période de reproduction est systématiquement exclue des saisons de chasse: en général, avril à août sont des mois sans activité cynégétique. Comment obtenir une licence de chasse Tout chasseur souhaitant opérer en forêt boréale doit être titulaire d’un permis valide, délivré par les autorités provinciales compétentes. Les documents requis incluent une preuve de résidence, une copie de la carte d’identité, ainsi qu’un certificat de réussite au cours de sécurité en chasse (obligatoire pour les nouveaux chasseurs). Le prix des licences varie entre 25 et 80 CAD selon les provinces et les catégories (résident, non-résident, jeune chasseur). Sanctions en cas de violation des règles Les infractions aux règlements de chasse sont sévèrement sanctionnées. Elles peuvent entraîner des amendes allant de quelques centaines à plusieurs milliers de dollars, la confiscation du matériel de chasse, voire l’interdiction définitive d’exercer cette activité. Les cas graves impliquant le braconnage ou la chasse d’espèces protégées peuvent même mener à des poursuites pénales. Conseils pratiques pour optimiser votre expérience dans la forêt boréale Pour maximiser vos chances de succès, adaptez votre approche selon la saison: - Automne: Privilégiez les premières heures du matin et les dernières avant le coucher du soleil, moments où les animaux sont les plus actifs. Utilisez des appeaux pour attirer les cerfs en période de rut. - Hiver: Préparez-vous à affronter des températures extrêmement basses. Optez pour des bottes isolantes, des gants chauffants et des vêtements multicouches. Les traces dans la neige facilitent le pistage, mais exigez une grande discrétion. En termes de tactiques, la chasse en affût reste la plus efficace en forêt dense, tandis que la battue peut fonctionner dans les zones plus ouvertes. Choisissez vos armes en fonction de la densité forestière et de la distance moyenne d’approche : le fusil reste dominant. Enfin, informez-vous toujours des conditions météo locales et des fermetures temporaires dues à des incendies ou des travaux forestiers. Chasser en forêt boréale au Canada est une expérience à la fois exigeante et gratifiante. En respectant les règles en vigueur, en planifiant soigneusement son expédition et en s’équipant adéquatement, tout passionné peut profiter pleinement de cette nature sauvage tout en contribuant à sa préservation.

Post: 2 September 07:09

In Chile, an Animal Whose Numbers Please No One

CERRO SOMBRERO, Chile — The guidebooks for Tierra del Fuego somehow fail to mention the gunfire.

From the mist-shrouded

In Chile, an Animal Whose Numbers Please No One CERRO SOMBRERO, Chile — The guidebooks for Tierra del Fuego somehow fail to mention the gunfire. From the mist-shrouded Patagonian steppe to the dense beech forests, shots pierce the air here for months on end each year. Hunters armed with telescopic rifles roam this archipelago at the southern tip of South America in pickup trucks as they pick off their prey: the guanaco. Humans have already hunted the guanaco, a wild cousin of the llama, out of existence across big swaths of the continent. While hunting the animal here is legal, the culling of Tierra del Fuego’s guanaco herds is setting off a fierce debate over the fragile recovery of a native species and the sway of powerful ranching and logging interests, which contend that rising numbers of guanacos are competing with sheep for pasture and foraging in commercial hardwood forests. “We’re witnessing a grotesque subordination to businessmen who view a creature of remarkable beauty and resilience as little more than a nuisance,” said Valeria Muñoz, a prominent animal rights activist in Punta Arenas, the regional capital. “It’s a return to a 19th-century mentality, where logging and sheepherding triumph over everything else.” Elsewhere in South America, the hunting of animals for population control has largely focused on curbing invasive species. In Colombia, hunters have targeted the descendants of hippos imported by Pablo Escobar. In Ecuador, park rangers in the Galápagos Islands mounted an eradication campaign against goats that compete for food with native species like tortoises. Chile’s hunting of guanacos seems more akin to the disputed control of native species in other countries, like Australia’s kangaroo hunts, raising the ire of animal rights groups and tourism officials who say the culling stains the reputation of a remote place where visitors are often stunned to come across herds of wild guanacos. Guanaco hunting is prohibited along the main roads cutting through Tierra del Fuego — a land divided between Chile and Argentina that juts out from South America’s mainland like a spike — but along the back roads during the hunting season in the Chilean winter, the signs of the killing are clear. Gunshots from the hunters’ rifles echo through the forests of lenga trees. Blood from recently hunted guanacos blemishes the snow. Communicating with the hunters by walkie-talkie, work crews fan out on private lands in search of the carcasses, hoisting them into pickup trucks for transport to slaughterhouses. Ranchers who are allowed to carry out the hunts argue that they are victims of policies that have expanded Tierra del Fuego’s guanaco herds in recent decades. As recently as the 1970s, only a few thousand guanacos were thought to remain on Tierra del Fuego’s main island, an area larger than Belgium, after widespread poaching. A crackdown by Gen. Augusto Pinochet’s dictatorship on firearms ownership (and by extension hunting) opened the way for guanaco conservation efforts; the number of guanacos in Chile’s portion of Tierra del Fuego has climbed to about 150,000, according to Chile’s Agricultural and Livestock Service. The authorities allowed as many as 4,125 guanacos to be killed this year. “Aside from competing for food with our sheep, there are now so many guanacos in Tierra del Fuego that they represent a risk for motorists trying to avoid them when the animals cross our roads,” said Eduardo Tafra, a rancher who butchers guanaco meat at his slaughterhouse in Cerro Sombrero, a windswept outpost on the plains. “We do not want to exterminate the guanaco,” Mr. Tafra explained, “but we cannot idly sit by and watch it threaten our livelihood.” Tierra del Fuego’s ranching culture has roots in the sheepherding operations established near the end of the 19th century, largely by British settlers who displaced nomadic hunters of guanacos. By the early 20th century, the Selk’nam, the indigenous people who had lived in Tierra del Fuego for thousands of years, had been almost completely wiped out in a brutal extermination campaign. Throughout it all, the guanacos, one of the main sources of food for the Selk’nam, persisted in Tierra del Fuego and other parts of Patagonia. The animals are thought to have first been glimpsed by Europeans in 1520 when Ferdinand Magellan, the explorer who sailed through the strait that now bears his name, described seeing a “camel without humps.” Part of the camelid family, guanacos once numbered as many as 50 million in South America, their numbers exceeding other big hoofed creatures around the world like the caribou, African wildebeest and saiga antelope, according to the American zoologist William G. Conway. “Enormous numbers of guanaco haunt these grim plateaus,” the British explorer H. Hesketh-Prichard wrote in “Through the Heart of Patagonia,” a 1902 book in which he describes no-holds-barred hunting for guanacos. “They were about as tame as English park deer, allowing us to approach on foot to within 70 or 80 yards.” As herds of nonnative sheep expanded in Patagonia, the number of guanacos plummeted, reaching a current level of only about 500,000, said Cristóbal Briceño, an expert on guanacos at the University of Chile. Guanaco herds have dwindled significantly in other parts of Chile where they were once plentiful, he said. While the guanaco is not threatened with extinction on a continental scale, the animal still faces serious threats of poaching and the degradation of rangelands, and is likely to disappear from several of the regions that make up its historical distribution range, according to the International Union for Conservation of Nature. The Chilean authorities have quietly allowed hunting for guanacos in Tierra del Fuego over the last decade, arguing that the culling is needed to maintain a “sustainable” population that does not adversely affect other underpinnings of the regional economy. Residents here generally abhor eating guanaco, so most of the butchered guanaco meat is exported to Europe. (An exception can be found at La Cuisine, a restaurant in Punta Arenas that offers Guanaco Grand Veneur, a stew of the camelid in a red wine sauce accompanied by mashed potatoes and pumpkin.) “We closely monitor every aspect of the hunting to ensure it is carried out in a proper way,” said Nicolás Soto Volkart, an official with the Agricultural and Livestock Service in Punta Arenas. “We’re convinced this is good policy after guanacos recovered in numbers since the 1970s.” Still, tensions run high over the hunting of guanacos, herbivores that eat everything from cacti to lichens and fungi. A proposal in 2012 to expand the program by allowing tourists to take part in the guanaco hunts was shelved after it met with fierce criticism. Advocates of “rewilding” forests — essentially restoring ecosystems to something resembling how they once functioned — say that guanacos could help areas where they are reintroduced by dispersing seeds for certain types of trees. “Guanacos seem to be an important missing species that used to play an important ecological role,” said Meredith Root-Bernstein, a conservation scientist at Aarhus University in Denmark. Pointing to a growing resistance in Chile to hunting of various types, officials at the Agricultural and Livestock Service remain on edge after protesters attacked their building in Punta Arenas this year with firebombs in response to a separate proposal to allow the hunting of feral dogs accused of attacking sheep. Even during the hunting season, the silhouettes of guanacos can still be glimpsed on stretches along the Strait of Magellan. The guanacos often gaze at approaching vehicles before sprinting away across the steppe. “Hunting these animals is an aberration that reflects our skewed priorities,” said Enrique Couve, the president of Tierra del Fuego’s chamber of tourism. “The guanaco is a treasure of Patagonia that brings a sense of wonder to people who are fortunate enough to see it,” he said. “And here we are, watching it be killed as if it were some sort of pest.”

Post: 14 December 09:44

Les périodes de chasse dans le PARC NATIONAL BANFF: saisons d'ouverture, particularités réglementaires uniques et stratégies locales

Le parc national Banff au Canada est

Les périodes de chasse dans le PARC NATIONAL BANFF: saisons d'ouverture, particularités réglementaires uniques et stratégies locales Le parc national Banff au Canada est un véritable joyau niché au cœur des montagnes Rocheuses. Ce territoire exceptionnel attire non seulement les amateurs de randonnée et les photographes de la faune, mais aussi les passionnés de chasse. Cependant, la pratique de la chasse dans cette région est strictement encadrée par des règles visant à protéger l’écosystème fragile et à maintenir l’équilibre entre l’homme et la nature. Règles générales et calendrier de chasse dans le parc national Banff Les périodes de chasse sont définies avec précision par Parcs Canada, en collaboration avec des biologistes et des spécialistes de la gestion de la faune. Ces dates varient selon les espèces, le climat local et les caractéristiques géographiques de la région. Par exemple, les grands gibiers comme les wapitis et les cerfs mulets peuvent être chassés principalement à l’automne, lorsque ces animaux sont plus actifs après la période d’accouplement. En revanche, certaines petites espèces, comme les lièvres arctiques, ne sont accessibles qu’en hiver. Les réglementations sur les dates de chasse sont influencées par plusieurs facteurs clés. Le climat joue un rôle essentiel : les hivers rigoureux dans les Rocheuses peuvent retarder l’ouverture de certaines saisons pour éviter tout stress supplémentaire sur les populations animales. Le paysage varié du parc – montagnes escarpées, forêts denses et vallées verdoyantes – affecte directement la répartition des espèces et donc les zones accessibles aux chasseurs. Enfin, les migrations saisonnières des animaux influencent également les décisions concernant les périodes optimales pour la chasse. Comparé aux régions voisines, telles que la Colombie-Britannique ou le Québec, les saisons de chasse dans le parc Banff sont beaucoup plus courtes et restrictives. Cette différence s’explique par la nécessité de préserver l’intégrité écologique d’un site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Historiquement, les politiques de gestion ont évolué au fil des décennies. Dans les années 1970, face à une diminution alarmante des populations de grands mammifères, les autorités ont imposé des quotas stricts et réduit drastiquement les durées des saisons. Depuis, grâce à ces mesures, plusieurs espèces menacées ont vu leurs effectifs augmenter. Saisonnalité de la chasse et opportunités selon les périodes dans le parc national Banff Chaque saison offre des opportunités uniques pour les chasseurs. L’automne est sans aucun doute la saison phare pour la chasse aux grands gibiers tels que les wapitis, les cerfs mulets et les orignaux. Pendant cette période, les mâles sont particulièrement actifs en raison du rut, ce qui les rend plus visibles et accessibles. L’hiver, bien que moins populaire en raison des conditions météorologiques difficiles, présente également des avantages. Cette saison est idéale pour la chasse aux petits gibiers comme les lièvres arctiques ou les tétras sombres. La neige facilite également le pistage des animaux, car leurs traces sont clairement visibles. Pour maximiser vos chances, il est recommandé de cibler les périodes suivantes : début octobre pour observer les wapitis mâles durant leur rut, et fin novembre à début décembre pour les cerfs mulets. Interdictions et limitations pour protéger la biodiversité dans le parc national Banff La protection de la biodiversité prime sur toutes les autres considérations dans le parc Banff. Ainsi, de nombreuses restrictions doivent être respectées. Seuls les mâles adultes peuvent être chassés pour certaines espèces, tandis que les femelles et les jeunes sont strictement protégés. Des animaux emblématiques comme le caribou des bois et le grizzly bénéficient d’un statut spécial de protection totale. Pendant la gestation et l’allaitement, qui se déroulent au printemps et au début de l’été, toute activité cynégétique est suspendue pour garantir la survie des nouveau-nés. Obtention d’un permis de chasse et démarches administratives dans le parc national Banff Obtenir un permis pour chasser dans le parc Banff n’est pas une mince affaire. Avant de pouvoir partir à l’aventure, vous devez soumettre une demande auprès de Parcs Canada, accompagnée d’une preuve de compétence en matière de tir (certificat valide). En raison du nombre limité de licences disponibles, un système de loterie est utilisé pour attribuer les droits de chasse. Il est également conseillé de collaborer avec des clubs de chasse locaux, qui fournissent souvent des informations précieuses sur les procédures administratives et les meilleures pratiques. Sanctions en cas de non-respect des règles Les infractions aux règlements entraînent des sanctions sévères. Les amendes peuvent atteindre plusieurs milliers de dollars canadiens, et les contrevenants risquent également la suspension immédiate de leur permis de chasse. En cas de récidive, des poursuites pénales peuvent être engagées. Conseils pratiques pour une expérience réussie dans le parc national Banff Pour profiter pleinement de votre expérience de chasse dans le parc Banff, voici quelques conseils essentiels. Investissez dans un équipement résistant aux intempéries, surtout si vous prévoyez une expédition hivernale. Utilisez des appâts sonores pour attirer les wapitis mâles pendant le rut, et concentrez-vous sur les vallées boisées abritant des sources d’eau, car elles attirent naturellement les animaux. Enfin, respectez scrupuleusement les règles et soyez conscient de l’impact que votre présence peut avoir sur l’écosystème. La chasse dans le parc national Banff représente une expérience unique mais exigeante. Respecter scrupuleusement les règles et comprendre les dynamiques saisonnières est indispensable pour profiter pleinement de ce territoire magnifique tout en contribuant à sa préservation.

Post: 2 September 09:10

Saison de chasse dans les PRAIRIES canadiennes: dates, réglementations et stratégies locales

Les Prairies canadiennes, comprenant les provinces du Manitoba, de la Saskat

Saison de chasse dans les PRAIRIES canadiennes: dates, réglementations et stratégies locales Les Prairies canadiennes, comprenant les provinces du Manitoba, de la Saskatchewan et de l’Alberta, offrent un terrain de jeu exceptionnel pour les amateurs de chasse. Cette région, connue pour ses vastes étendues de plaines, ses zones humides et ses forêts mixtes, abrite une faune variée, allant du grand gibier comme le cerf de Virginie et l’élan jusqu’aux oiseaux migrateurs tels que les canards et les gélinottes huppées. Réglementation générale et périodes de chasse dans les Prairies La saison de chasse dans les Prairies est strictement encadrée par les autorités provinciales en charge des ressources naturelles. Chaque province établit son propre calendrier, bien qu’il existe des similitudes importantes entre elles. En général, les saisons s’ouvrent à l’automne et se terminent au début de l’hiver, mais cela varie selon les espèces. Le gouvernement ajuste chaque année les dates de chasse en fonction de données écologiques, des populations animales et des retours des chasseurs. Des facteurs climatiques jouent également un rôle : les hivers précoces ou tardifs peuvent modifier légèrement les périodes officielles. Comparativement aux provinces voisines comme la Colombie-Britannique ou l’Ontario, les Prairies présentent des particularités : la densité de population humaine y est plus faible, permettant une meilleure gestion des territoires de chasse. ! Depuis une dizaine d’années, on a assisté à une évolution progressive vers une meilleure protection des femelles et des jeunes individus, avec un renforcement des quotas et des contrôles. La technologie (comme les applications de signalement des prises) est désormais utilisée pour améliorer la traçabilité des activités cynégétiques. Saisonnalité et types de chasse La saison principale débute en septembre et s’étend jusqu’en décembre, période idéale pour la chasse au grand gibier. Pour les espèces migratrices comme les canards et les oies, la saison commence souvent plus tôt, dès août, selon les migrations annuelles. On distingue deux grandes catégories de gibier: - Grand gibier: Cerf de Virginie, orignal, sanglier. - Petit gibier: Lièvre, perdrix grise, canard, gélinotte huppée. Chaque espèce a sa propre fenêtre optimale. Par exemple, le cerf de Virginie est particulièrement actif pendant la période de rut, généralement en octobre-novembre, ce qui en fait un moment privilégié pour les chasseurs. L’orignal, lui, est chassé principalement en septembre, avec des périodes variables selon les zones. L’activité maximale des animaux survient souvent au crépuscule, surtout en automne lorsque les températures baissent. C’est donc à ces moments que les chances de succès sont les plus élevées. ! De nombreux événements liés à la chasse ont lieu chaque année, notamment des foires spécialisées, des concours de tir et des expositions d’équipement. Ces rassemblements sont l’occasion de partager des expériences et de découvrir les dernières innovations en matière de sécurité et de technique de chasse. Restrictions et interdictions dans les Prairies Afin de préserver les populations animales, plusieurs restrictions s’appliquent: - Limites sur le sexe et l’âge: Dans certaines provinces, il est interdit de tuer des femelles de cerf ou d’orignal. Des mesures similaires existent pour les jeunes mâles non matures. - Espèces protégées: Certaines espèces, comme le lynx du Canada ou le pygargue à tête blanche, ne peuvent être chassées sous aucun prétexte. - Périodes de reproduction: Pendant la période de mise bas ou de nidification, la chasse est interdite ou limitée dans certaines zones. Comment obtenir un permis de chasse dans les Prairies Pour pouvoir chasser légalement dans les Prairies, il faut posséder: - Une licence valide délivrée par la province concernée. - Un certificat de sécurité à la chasse. - Des droits d’accès à certains terrains publics ou privés, selon les régions. Sanctions en cas de violation des règles Toute infraction aux règles de chasse peut entraîner des amendes sévères, pouvant atteindre plusieurs milliers de dollars. Les infractions graves, comme la chasse sans permis ou la prise d’une espèce protégée, peuvent conduire à des poursuites pénales, à la confiscation de l’équipement et à l’interdiction définitive de chasser. Les agents de la faune effectuent des contrôles réguliers, notamment lors des points de contrôle après la chasse. Il est donc crucial de respecter scrupuleusement les règles et de porter sur soi tous les documents requis. Conseils pratiques Selon la saison et l’espèce visée, l’équipement doit être adapté: - Automne: Températures fraîches, nécessitant des vêtements chauds et imperméables. - Printemps: Plus doux, mais risque d’intempéries, donc vêtements multi-couches recommandés. - Armes: Selon le gibier, carabine calibre .30-06 pour le grand gibier, fusil à pompe ou semi-automatique pour les oiseaux. Les meilleurs endroits se trouvent souvent près des sources d’eau, des couloirs de migration ou des zones alimentaires. La topographie des Prairies favorise les approches discrètes grâce aux longues distances de visibilité. En ce qui concerne les tactiques, la chasse à l’affût est très efficace pour le cerf, tandis que la chasse à la battue convient mieux pour l’orignal. Les appelants électroniques ou les leurres olfactifs sont largement utilisés pour attirer le gibier. Les Prairies canadiennes représentent une destination prisée pour les chasseurs du monde entier, grâce à une faune riche et une gestion rigoureuse des ressources. Comprendre les saisons, les réglementations et les comportements des animaux est essentiel pour profiter pleinement de cette expérience tout en préservant l’environnement. Bien équipé, bien informé et respectueux des lois, chaque chasseur peut vivre des aventures inoubliables dans ces immensités sauvages.

Post: 2 September 07:26

Les périodes de chasse dans les TERRITOIRES DU NORD-OUEST (Canada): Maîtriser les réglementations, optimiser vos sorties grâce aux calendriers saisonniers

Les Territoire

Les périodes de chasse dans les TERRITOIRES DU NORD-OUEST (Canada): Maîtriser les réglementations, optimiser vos sorties grâce aux calendriers saisonniers Les Territoires du Nord-Ouest (TNO) représentent un véritable paradis pour les chasseurs, offrant une diversité unique de faune sauvage et des paysages spectaculaires. Cependant, la chasse dans cette région est strictement réglementée pour protéger ses écosystèmes fragiles et assurer la durabilité des populations animales. Règles générales et calendrier de chasse dans les Territoires du Nord-Ouest Les périodes de chasse dans les TNO sont divisées en plusieurs saisons qui varient selon les espèces et les zones géographiques. Au printemps, les activités sont limitées et principalement centrées sur les oiseaux migrateurs. L'été constitue une saison de chasse secondaire, souvent réservée aux permis spéciaux. L'automne représente la saison phare pour la plupart des gros gibiers comme le caribou, l'orignal et l'ours, tandis que l'hiver voit une chasse restreinte, mais possible pour certaines espèces comme le loup ou le renard. Les dates de chasse sont fixées par le gouvernement des TNO en collaboration avec des biologistes et des communautés autochtones. Ces décisions tiennent compte de plusieurs facteurs déterminants. Le climat joue un rôle crucial, avec des hivers rigoureux et des étés courts qui influencent les migrations et la reproduction des animaux. Le paysage particulier, composé de toundra, de forêts boréales et de montagnes, crée des habitats variés nécessitant des adaptations locales. Enfin, des études annuelles sur les populations animales permettent d'ajuster les quotas pour éviter le surpâturage et préserver l'équilibre écologique. Contrairement aux provinces voisines comme l'Alberta ou la Colombie-Britannique, les TNO appliquent des périodes de chasse plus courtes et plus restrictives. Cette particularité s'illustre notamment par la suspension fréquente de la chasse au caribou de Bathurst en raison de la baisse drastique de sa population. Au cours des dernières décennies, les périodes de chasse ont connu des ajustements significatifs pour répondre aux défis environnementaux. Un exemple marquant remonte à 2015, lorsque des restrictions sévères ont été imposées sur la chasse au bison des bois pour préserver cette espèce menacée. Saisonnalité de la chasse et opportunités selon les périodes dans les Territoires du Nord-Ouest Chaque saison offre des opportunités uniques aux chasseurs. Le printemps se révèle idéal pour traquer les oiseaux migrateurs comme les canards et les oies, dont la migration se concentre généralement entre avril et mai. L'été autorise peu de chasse, mais délivre quelques permis spéciaux pour les mammifères marins comme le phoque. L'automne constitue le moment idéal pour les gros gibiers terrestres, les mâles étant souvent plus actifs pendant la période de rut entre septembre et octobre. L'hiver ouvre quant à lui la chasse aux petits carnivores comme le lynx ou le renard arctique. Pour maximiser ses chances, il est essentiel de connaître les meilleurs moments pour chaque espèce. Le caribou se chasse idéalement de septembre à novembre, lorsque les troupeaux migrent vers leurs aires d'hivernage. L'ours se traque d'avril à juin, après sa sortie d'hibernation. L'orignal est plus vulnérable en octobre, pendant la période de rut, tandis que les petits gibiers peuvent être chassés tout au long de l'automne. Les chasseurs expérimentés savent que les animaux sont plus actifs à l'aube et au crépuscule, surtout pendant les mois plus froids, et adaptent en conséquence leurs horaires de chasse. Interdictions et limitations pour protéger la biodiversité dans les Territoires du Nord-Ouest Des restrictions strictes encadrent la pratique, notamment en ce qui concerne le sexe et l'âge des animaux. Certaines espèces ne peuvent être chassées que sous conditions spécifiques - seuls les mâles adultes peuvent par exemple être abattus pour certaines populations de caribous, tandis que les femelles allaitantes sont strictement protégées. Certaines espèces emblématiques comme le bison des bois, le loup arctique et certains oiseaux migrateurs bénéficient d'une protection totale et sont interdits à la chasse. Licences et documents requis Pour chasser légalement dans les TNO, plusieurs documents sont indispensables. Il faut se procurer un permis de chasse valide, une licence spécifique pour chaque espèce visée, ainsi qu'une assurance responsabilité civile. Les contrevenants s'exposent à des sanctions sévères pouvant aller jusqu'à 10 000 dollars CAD d'amende, la suspension des privilèges de chasse, voire des peines de prison dans les cas les plus graves comme la chasse illégale d'espèces protégées. Conseils pratiques pour une expérience réussie dans les Territoires du Nord-Ouest Une chasse réussie dans ces territoires sauvages nécessite une préparation minutieuse. Il convient de planifier son voyage en fonction des périodes de migration et des comportements saisonniers des animaux, en consultant notamment les cartes des zones de chasse disponibles sur le site officiel du gouvernement des TNO. L'équipement doit être adapté aux conditions extrêmes: vêtements spécialisés, armes appropriées (fusils ou arcs) selon les espèces ciblées, sans oublier du matériel de survie comme un GPS. Les stratégies de chasse varient selon les proies - les appâts sonores s'avèrent particulièrement efficaces pour attirer les orignaux pendant la période de rut, tandis que la maîtrise de la lecture des traces et des signes d'activité animale devient indispensable en milieu sauvage. La chasse dans les Territoires du Nord-Ouest est une expérience exaltante, mais elle nécessite une planification minutieuse et un respect strict des règles. En suivant ces conseils et en s'adaptant aux conditions locales, les chasseurs peuvent profiter pleinement de la richesse faunique de cette région exceptionnelle tout en contribuant à sa préservation.

Post: 1 September 21:23

Saisons de chasse au YUKON (Canada): Découvrez les Périodes Idéales, Maîtrisez la Réglementation
 
Le Yukon, territoire sauvage du nord du Canada, offre des opportunités

Saisons de chasse au YUKON (Canada): Découvrez les Périodes Idéales, Maîtrisez la Réglementation Le Yukon, territoire sauvage du nord du Canada, offre des opportunités de chasse exceptionnelles. Cependant, les chasseurs doivent respecter des règles strictes concernant les saisons, les licences et les restrictions. Cet article détaille tout ce qu’il faut savoir pour chasser légalement et efficacement au Yukon. Règles générales et calendrier de chasse au Yukon Les saisons de chasse au Yukon varient selon les espèces et les zones. Pour le grand gibier (orignal, caribou, ours, mouflon), la période s’étend généralement d’août à novembre. Le petit gibier (lièvre, tétras, canard) peut être chassé de septembre à mars, tandis que les oiseaux migrateurs sont réglementés par des dates fédérales, généralement de septembre à décembre. Les saisons sont fixées par Environnement Yukon en collaboration avec les communautés autochtones et les biologistes. Plusieurs facteurs influencent ces dates, notamment les cycles de reproduction des animaux, les migrations (en particulier pour le caribou) et les conditions climatiques, comme les hivers rigoureux qui rendent certaines zones difficilement accessibles. Comparé à l’Alaska voisin, le Yukon a des saisons plus courtes pour certaines espèces, comme l’ours. Les provinces canadiennes voisines, comme la Colombie-Britannique et les Territoires du Nord-Ouest, ont des réglementations similaires, mais avec des variations locales. Au fil des années, les règles ont évolué en fonction des besoins de conservation. Par exemple, les quotas pour le caribou ont été réduits en raison du déclin des populations, et des restrictions sur la chasse à l’ours grizzli ont été introduites depuis 2020. Saisonnalité de la chasse au Yukon Pour l’orignal, la saison s’étend d’août à octobre selon les zones, tandis que le caribou peut être chassé d’août à novembre, avec des quotas stricts. L’ours noir peut être traqué en deux périodes distinctes: d’avril à juin et de septembre à novembre, alors que l’ours grizzli ne peut être chassé que sous permis spéciaux. Le lièvre est chassable de septembre à mars, et les canards de septembre à décembre. Les meilleures périodes pour chasser au Yukon dépendent des espèces ciblées. La fin août et septembre marquent le pic d’activité pour l’orignal pendant le rut, tandis qu’octobre est idéal pour le caribou avant les grandes migrations. Au printemps, entre avril et mai, les chasseurs peuvent traquer l’ours noir qui sort d’hibernation. Le Yukon accueille également des événements dédiés à la chasse, comme la Yukon Outfitters Convention à Whitehorse, un rendez-vous annuel où guides professionnels et chasseurs échangent sur les meilleures pratiques et découvrent de nouveaux territoires de chasse. Les Big Game Trophy Shows exposent quant à eux les plus beaux trophées de gibier du Yukon, permettant aux passionnés d’apprendre les techniques de taxidermie et de célébrer les traditions de chasse nordiques. Restrictions et interdictions Certaines restrictions strictes s’appliquent, notamment en ce qui concerne le sexe et l’âge des animaux. Par exemple, il est souvent interdit de tirer les femelles orignaux accompagnées de petits, et des quotas stricts, parfois réservés aux résidents, encadrent la chasse au caribou. Certaines espèces sont protégées, comme l’ours blanc (polaire), dont la chasse est interdite sans permis spécial (réservé aux Autochtones), ou le loup, qui nécessite un permis et dont la saison est limitée. De mai à juillet, une fermeture totale est instaurée pour protéger les femelles et les jeunes. Obtention des permis de chasse au Yukon Pour chasser au Yukon, plusieurs documents sont nécessaires: un permis de chasse, disponible en ligne ou aux bureaux d’Environnement Yukon, un permis d’armes à feu valide au Canada, et pour les non-résidents, un permis de guide est obligatoire. Sanctions pour non-respect des règles Le non-respect des règles entraîne des sanctions sévères. Chasser hors saison peut valoir une amende allant jusqu’à 50 000 $ CAD, avec confiscation de l’équipement, et le braconnage est passible de peines de prison. Conseils pratiques pour une chasse réussie au Yukon Pour maximiser les chances de succès, il est conseillé de bien choisir son moment et son lieu. Les zones reculées, comme la Dempster Highway ou la région de Kluane, sont idéales pour le gros gibier, et septembre est la meilleure période pour éviter les moustiques tout en profitant des mouvements des animaux. L’équipement doit être adapté : un fusil de gros calibre (au minimum un .300 Win Mag pour l’orignal) et des vêtements chauds et imperméables, les températures chutant rapidement en automne. En termes de stratégies, les appelants sont efficaces pour attirer l’orignal pendant le rut, tandis que les affûts près des points d’eau fonctionnent bien pour l’ours. La chasse au Yukon est une expérience unique, mais elle exige une bonne préparation et le respect strict des règles. En planifiant selon les saisons et en obtenant les bons permis, les chasseurs peuvent profiter de ce territoire sauvage tout en contribuant à sa préservation.

Post: 1 September 21:17

La chasse en ZONE HUMIDE au Canada : Animaux emblématiques, saisons de chasse et écosystèmes fragiles

Le Canada, avec ses vastes étendues sauvages et ses milieux humides

La chasse en ZONE HUMIDE au Canada : Animaux emblématiques, saisons de chasse et écosystèmes fragiles Le Canada, avec ses vastes étendues sauvages et ses milieux humides exceptionnels, offre un terrain de chasse privilégié pour les amateurs de plein air. Ces zones humides, qui représentent environ 6 % de la surface terrestre et d'eau douce du pays, abritent une biodiversité remarquable et jouent un rôle crucial dans l'écosystème local. Dans cet article, nous explorerons les caractéristiques géographiques, les types de chasse, les animaux chassés, ainsi que les traditions et législations propres à la chasse en zone humide au Canada. Caractéristiques géographiques et naturelles de la région Les milieux humides canadiens se distinguent par leur diversité : des marais aux tourbières, en passant par les marécages et les étangs, chaque écosystème possède ses particularités uniques. Ces zones, souvent saturées d'eau de manière saisonnière, servent de refuges vitaux pour de nombreuses espèces animales et végétales. Les sols gorgés d'eau favorisent également la reproduction et la survie des oiseaux migrateurs, des poissons et des mammifères aquatiques. Au Canada, ces zones humides sont particulièrement riches dans les régions atlantiques et méditerranéennes. Par exemple, le Bassin méditerranéen canadien abrite des zones humides d'une grande valeur écologique, économique et sociale. Ces territoires offrent des opportunités de chasse variées, tout en nécessitant une gestion responsable pour préserver leur intégrité. Démographie des chasseurs dans la région Bien que les données précises sur le nombre exact de chasseurs en zone humide soient limitées, on estime que des milliers de passionnés fréquentent ces territoires chaque année. Les provinces comme le Québec, l'Ontario et la Colombie-Britannique attirent particulièrement les chasseurs grâce à leurs vastes réserves naturelles et leurs populations d'animaux sauvages abondantes. Les associations locales, telles que Canards Illimités Canada, jouent un rôle clé dans la promotion de la chasse durable et la préservation des habitats humides. Caractéristiques de la chasse en zone humide La chasse en zone humide se décline en plusieurs pratiques traditionnelles: Chasse à la hutte : Le chasseur se poste dans une cabane ou un abri camouflé, souvent près d'un plan d'eau, pour attendre le passage des oiseaux migrateurs. Chasse à la botte : Cette méthode consiste à marcher dans les marais ou les zones inondées pour traquer les proies. Chasse à la passée : Elle implique de tirer sur les oiseaux lorsqu'ils volent à proximité, généralement au crépuscule ou à l'aube. Ces techniques exigent une bonne connaissance du terrain et une adaptation aux conditions météorologiques changeantes. Animaux chassés dans la région Les zones humides canadiennes regorgent d'animaux gibiers prisés par les chasseurs: Oiseaux migrateurs : Canards, oies et bernaches sont les principales cibles des chasseurs en automne. Petits mammifères : Lièvres et renards sont également recherchés. Gibier d'eau : Les castors et les ratons laveurs peuvent être chassés dans certaines régions sous permis spécifique. Saisons de chasse dans la région Les saisons de chasse varient selon les provinces et les espèces visées. En général: La chasse aux oiseaux migrateurs s'étend de septembre à décembre. La chasse aux petits mammifères peut être pratiquée toute l'année, sous réserve de restrictions locales. Les périodes exactes sont fixées par les autorités provinciales afin de protéger les populations animales pendant les périodes de reproduction. Associations et clubs de chasseurs dans la région De nombreuses organisations soutiennent les chasseurs et promeuvent la conservation des milieux humides: Canards Illimités Canada: Une association dédiée à la protection des habitats humides et à la sensibilisation des chasseurs. Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs: Offre des ressources et des formations pour les amateurs de chasse. Nature Conservancy of Canada: Travaille à la préservation des milieux humides et à la gestion durable des ressources naturelles. Législation de la chasse dans la région La législation canadienne impose des règles strictes pour garantir la durabilité de la chasse: Un permis de chasse est obligatoire dans toutes les provinces. L'utilisation de véhicules motorisés est interdite dans les zones humides pour éviter les dommages irréversibles au terrain et à la végétation. Les quotas de prélèvement sont définis pour chaque espèce afin de préserver les populations animales. Traditions de la région du point de vue de la chasse La chasse en zone humide est profondément ancrée dans la culture canadienne. Pour de nombreux chasseurs, elle représente non seulement une activité récréative, mais aussi une connexion avec la nature et un moyen de perpétuer des traditions familiales. Les rassemblements autour d'un feu de camp après une journée de chasse sont des moments privilégiés pour partager des histoires et des conseils. Faits intéressants sur la chasse dans la région Le Canada abrite environ 25 % des milieux humides restants dans le monde, ce qui en fait un paradis pour les chasseurs et les naturalistes. Certaines réserves de chasse sont accessibles uniquement à pied ou en canoë, offrant une expérience immersive dans la nature sauvage. Les zones humides jouent un rôle essentiel dans la lutte contre le changement climatique en stockant le carbone et en régulant les inondations. La chasse en zone humide au Canada est bien plus qu'une simple activité sportive. Elle incarne un mode de vie respectueux de l'environnement et permet de découvrir des paysages exceptionnels. Que vous soyez un chasseur aguerri ou un débutant curieux, ces territoires vous offriront des souvenirs inoubliables.

Post: 9 June 09:22

Caccia in LIGURIA: Tra i Boschi dell’Appennino e il Respiro del Mare, un’Esperienza Venatoria Unica

Caratteristiche geografiche e naturali della regione dal punto di vis

Caccia in LIGURIA: Tra i Boschi dell’Appennino e il Respiro del Mare, un’Esperienza Venatoria Unica Caratteristiche geografiche e naturali della regione dal punto di vista venatorio La Liguria, situata nel nord-ovest dell’Italia, è una regione prevalentemente montuosa e collinare, con una stretta fascia costiera sul Mar Ligure. Le Alpi Liguri e l’Appennino Ligure offrono habitat ideali per cinghiali, caprioli e lepri, mentre le zone collinari e le valli sono ricche di fagiani, pernici e volpi. La macchia mediterranea, tipica della regione, offre un habitat ideale per molte specie di fauna selvatica. Le zone costiere e le aree umide, come quelle del Parco di Montemarcello-Magra, favoriscono la presenza di uccelli acquatici. Demografia dei Cacciatori: Un Focus su Numero, Età, Sesso Secondo i dati dell’Associazione Nazionale Cacciatori (Federcaccia), in Liguria sono registrati circa 15.000 cacciatori. La maggior parte dei cacciatori sono uomini di età compresa tra i 40 e i 70 anni, con una forte presenza nelle zone rurali e montane. La caccia è un’attività tradizionale, particolarmente radicata nella cultura locale. Caratteristiche della caccia La caccia in Liguria è fortemente influenzata dalla conformazione del territorio e dalla presenza di specie selvatiche. La caccia al cinghiale è una delle attività più diffuse, spesso praticata con l’ausilio di cani da seguita, come il Segugio Italiano. Nelle zone collinari e vallive, la caccia alla lepre e al fagiano è comune. La caccia agli uccelli acquatici è limitata a poche aree, come i pressi del fiume Magra e del Parco di Montemarcello-Magra. Tipi di caccia nella regione. Specie cacciabili In Liguria si praticano diverse forme di caccia: Caccia al cinghiale: molto diffusa, praticata in tutto il territorio. Caccia al capriolo: comune nelle aree montane e collinari. Caccia alla lepre e al fagiano: popolare nelle zone collinari e agricole. Caccia alla volpe: permessa in alcune zone, ma con restrizioni. Caccia agli uccelli acquatici: anatre e folaghe nelle zone umide. Le specie principali sono: cinghiale, capriolo, lepre, fagiano, pernice, volpe, anatra e folaga. Stagioni venatorie nella regione Le stagioni di caccia in Liguria sono regolate da leggi regionali e variano in base alla specie. Ad esempio: Caccia al cinghiale: da ottobre a gennaio. Caccia al capriolo: da settembre a dicembre. Caccia alla lepre e al fagiano: dalla terza domenica di settembre a fine dicembre. Caccia alla volpe: permessa solo in determinati periodi e con autorizzazioni specifiche. Caccia agli uccelli acquatici: dalla terza domenica di settembre a fine gennaio. Le date esatte possono cambiare ogni anno, quindi è fondamentale consultare il calendario venatorio regionale. Associazioni e club di cacciatori nella regione In Liguria operano numerose associazioni venatorie, tra cui Federcaccia Liguria, Arcicaccia e Libera Caccia. Queste organizzazioni promuovono la tutela dell’ambiente, la formazione dei cacciatori e la conservazione delle tradizioni venatorie. Organizzano anche eventi e gare di tiro per i soci. Legislazione Regionale Divieto di caccia nei parchi (Portofino, Cinque Terre) e in fasce costiere entro 500 m dal mare. Obbligo di utilizzo di munizioni in acciaio nelle zone umide. Quote annuali: 2.500 cinghiali e 500 caprioli. Divieto di caccia notturna e uso di richiami elettronici per gli uccelli. Tradizioni Venatorie Regionali: Riti, Usi e Cultura Locale della Caccia La Sagra del Cinghiale a Calizzano (novembre) celebra la carne con piatti tradizionali come il “tocco di cinghiale” al pesto. A Genova, il Palio della Colomba include gare di tiro al volo. Anticamente, i liguri usavano reti di canapa per catturare gli uccelli migratori, pratica oggi vietata. Fatti Sorprendenti e Curiosità: Cosa Rende Unica la Caccia in Questa Regione Il Parco di Portofino ospita il progetto Life Wolfalps per monitorare il lupo appenninico. La Liguria è l’unica regione italiana dove il fagiano di monte è stato reintrodotto con successo. Nel 2022, è stata introdotta la “Caccia al Tappo” , un’alternativa ecologica al piattello, con tappi di sughero riutilizzabili. Cacciare in Liguria significa rispettare equilibri delicati tra natura e attività umana. Dai boschi dell’Appennino alle saline della costa, ogni ambiente offre opportunità uniche, regolate da norme rigorose. Una destinazione ideale per chi cerca autenticità, tra tradizioni secolari e innovazione sostenibile. #CacciaLiguria #Cinghiale #Capriolo #Lepre #Fagiano #Volpe #UccelliAcquatici #Italia #Sibillini #AlpiLiguri #AppenninoLigure #ParcoMontemarcello #CacciaSostenibile #FedercacciaLiguria #ToccoDiCinghiale #SagraDelCinghiale

Post: 16 May 08:25

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