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La Chasse dans le VAR: Explorez la Géographie, Naviguez dans les Saisons de Chasse et Découvrez des Associations

Le département du Var, au cœur de la région Provence-Alp

La Chasse dans le VAR: Explorez la Géographie, Naviguez dans les Saisons de Chasse et Découvrez des Associations Le département du Var, au cœur de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, est un territoire emblématique de la chasse méditerranéenne. Entre littoral, massifs boisés, garrigues et zones agricoles, le Var offre une grande diversité de milieux propices à la pratique de la chasse. Activité rurale ancienne, la chasse y reste profondément enracinée, mêlant tradition, gestion de la faune et convivialité. Géographie et particularités naturelles du Var pour la chasse Le Var se caractérise par un relief vallonné, alternant collines, forêts de chênes verts et de pins, maquis, vignobles, zones agricoles et littoral méditerranéen. Les massifs des Maures, de l’Estérel et de la Sainte-Baume constituent des réservoirs de biodiversité et des territoires riches en gibier. Ce cadre naturel, largement préservé, favorise la présence d’un grand nombre d’espèces animales. Spécificités de la chasse dans le Var La chasse y est pratiquée sous différentes formes: à tir, à l’arc, à l’affût, à l’approche ou en battue. Le sanglier est l’espèce la plus chassée du département, notamment en battue, en raison de sa forte densité. La chasse à la grive et à la palombe est très populaire, notamment au poste fixe. La chasse au petit gibier est également pratiquée, bien que les espèces soient plus localisées. Le relief accidenté du territoire impose souvent une bonne condition physique et une grande connaissance du terrain. Chasseurs et démographie dans le Var Le Var compte environ 20 000 chasseurs. Cette forte communauté participe activement à la vie des territoires ruraux et à la gestion des espaces naturels. La chasse est souvent un héritage familial, transmis de génération en génération. La Fédération Départementale des Chasseurs du Var (FDC83) accompagne les chasseurs en matière de formation, de sécurité et de gestion durable du gibier. Types de chasse et gibier dans le Var Grand gibier: Le sanglier est présent dans tous les massifs boisés. Le chevreuil est également bien implanté, notamment dans les zones forestières. Le cerf reste plus localisé. Petit gibier: Faisan, perdrix rouge, lièvre et lapin sont présents dans certaines zones agricoles et garrigues. Gibier migrateur: Grive, palombe, bécasse, alouette sont chassées à l’automne et en hiver. Gibier d’eau: Présent en moindre quantité, notamment sur les zones humides littorales. Saisons de chasse dans le Var Les périodes de chasse sont fixées chaque année par arrêté préfectoral: Grand gibier: De septembre à fin février. Petit gibier: De septembre à fin janvier. Gibier migrateur: De septembre à janvier. Gibier d’eau: De fin août à fin janvier, selon les espèces et les secteurs. Associations et clubs de chasse dans le Var La FDC83 regroupe les chasseurs du département et assure la coordination des plans de chasse, la formation des nouveaux chasseurs, ainsi que la sensibilisation à la biodiversité. Les sociétés de chasse locales jouent un rôle important dans l’organisation des battues, l’entretien des territoires et les relations avec les autres usagers de la nature. Législation de la chasse dans le Var La chasse est encadrée par le Code de l’environnement. Le permis de chasse, une assurance et le respect des arrêtés préfectoraux sont obligatoires. Des plans de chasse s’appliquent pour les espèces de grand gibier. La FDC83 veille également à la sécurité, à la prévention des conflits avec les autres usagers du territoire et à la régulation raisonnée des populations animales. Traditions de la chasse dans le Var La chasse dans le Var est étroitement liée aux traditions provençales. La chasse à la grive au poste est emblématique, tout comme les battues au sanglier qui rythment les saisons dans les villages. Les rassemblements de chasseurs, les concours de chiens et les repas de battue témoignent de la convivialité qui entoure cette activité. La transmission orale des techniques et des valeurs de la chasse est encore très vivante. Faits intéressants sur la chasse dans le Var Le Var est l’un des départements français les plus touchés par la surpopulation de sangliers. Le département est engagé dans des actions de reconquête de la biodiversité, en partenariat avec les agriculteurs et forestiers. Des zones Natura 2000 et protégées accueillent une chasse régulée, intégrée dans les objectifs de conservation. Avec ses paysages méditerranéens, sa faune abondante et ses traditions vivaces, le Var reste un département phare de la chasse en France, où passion, responsabilité et gestion durable se conjuguent au quotidien.

Post: 6 September 10:39

La Chasse dans les BOUCHES-DU-RHÔNE: Explorez les Types de Gibier, Naviguez dans les Spécificités et Découvrez des Faits Intéressants

Le département des Bouches-du-Rhône

La Chasse dans les BOUCHES-DU-RHÔNE: Explorez les Types de Gibier, Naviguez dans les Spécificités et Découvrez des Faits Intéressants Le département des Bouches-du-Rhône, situé en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, offre un territoire unique où se mêlent garrigues, zones humides, plaines agricoles et massifs boisés. Dans ce paysage typiquement méditerranéen, la chasse est une activité ancienne, ancrée dans les traditions locales, qui joue un rôle essentiel dans la gestion de la faune sauvage et la préservation des équilibres naturels. Géographie et particularités naturelles des Bouches-du-Rhône pour la chasse Le territoire se distingue par une grande diversité de milieux: la Camargue avec ses marais et roselières, les collines calcaires des Alpilles et de la Sainte-Baume, les garrigues de l’arrière-pays, et les forêts méditerranéennes. Cette richesse naturelle offre des habitats variés, permettant la présence de nombreuses espèces de gibier. La Camargue, notamment, est un haut lieu pour la chasse au gibier d’eau. Spécificités de la chasse dans les Bouches-du-Rhône La chasse y est pratiquée sous différentes formes: à tir, à l’arc, en battue pour le sanglier, à l’approche ou à l’affût pour le grand gibier, mais aussi à la passée dans les marais pour les oiseaux migrateurs. Le département est réputé pour la chasse au gibier d’eau dans les étangs camarguais, ainsi que pour la chasse à la grive au poste, très pratiquée dans les collines provençales. Le sanglier est l’espèce la plus chassée, en raison de sa forte expansion. Chasseurs et démographie dans les Bouches-du-Rhône Le département compte environ 18 000 chasseurs. La chasse y est un véritable lien social, particulièrement en milieu rural et périurbain. Elle est transmise entre générations, dans un esprit de convivialité et de respect du territoire. La Fédération Départementale des Chasseurs des Bouches-du-Rhône (FDC13) encadre la pratique, forme les nouveaux chasseurs, assure la sécurité et mène des actions en faveur de la biodiversité. Types de chasse et gibier dans les Bouches-du-Rhône Grand gibier: Sanglier omniprésent, chevreuil plus localisé, principalement dans les massifs boisés. Petit gibier: Faisan, perdrix rouge, lièvre, lapin dans les zones agricoles et garrigue. Gibier migrateur: Grives, palombes, alouettes, bécasses en automne et hiver. Gibier d’eau: Canards, sarcelles, vanneaux dans les marais camarguais et étangs côtiers. Saisons de chasse dans les Bouches-du-Rhône Les périodes sont définies chaque année par arrêté préfectoral: Grand gibier: De septembre à fin février. Petit gibier: De septembre à fin janvier. Gibier migrateur: De septembre à janvier, selon les espèces. Gibier d’eau: De fin août à fin janvier, selon les zones et les espèces. Associations et clubs de chasse dans les Bouches-du-Rhône La FDC13 travaille en lien avec les sociétés communales de chasse pour la gestion des territoires, l’organisation des battues, le suivi des populations de gibier et la cohabitation avec les autres usagers de la nature. Elle développe des projets de plantation de haies, de gestion des zones humides et de sensibilisation à la faune sauvage. Législation de la chasse dans les Bouches-du-Rhône Encadrée par le Code de l’environnement, la chasse requiert un permis valide, une assurance et le respect des arrêtés en vigueur. Les espèces de grand gibier font l’objet de plans de chasse. La FDC13 œuvre également pour la prévention des dégâts agricoles, la sécurité des chasseurs et la régulation raisonnée de la faune. Traditions de la chasse dans les Bouches-du-Rhône La chasse provençale est fortement ancrée dans la culture locale. La chasse à la grive au poste, au fusil ou au gluau (aujourd’hui interdite), était autrefois une pratique typique. La chasse à la passée dans les marais, au lever ou au coucher du jour, est aussi un moment fort pour les passionnés de gibier d’eau. Les repas de chasse, les rassemblements et les concours de chiens de chasse rythment la saison. Faits intéressants sur la chasse dans les Bouches-du-Rhône La Camargue est l’une des zones les plus riches d’Europe pour les oiseaux d’eau migrateurs. La FDC13 mène des études sur l’adaptation du sanglier aux zones périurbaines. De nombreux territoires de chasse sont cogérés avec des agriculteurs et des gestionnaires d’espaces naturels. Avec ses paysages contrastés, ses espèces variées et ses traditions vivantes, la chasse dans les Bouches-du-Rhône reste un pilier de la gestion durable des espaces naturels, un vecteur de lien social, et un témoignage vivant du patrimoine provençal.

Post: 6 September 10:34

La Chasse en HAUTE-VIENNE: explorez la géographie, naviguez dans les saisons de chasse et découvrez les associations

Le département de la Haute-Vienne, situé dans la rég

La Chasse en HAUTE-VIENNE: explorez la géographie, naviguez dans les saisons de chasse et découvrez les associations Le département de la Haute-Vienne, situé dans la région Nouvelle-Aquitaine, est un territoire emblématique du Limousin, où la chasse fait partie intégrante des traditions rurales. Entre collines boisées, prairies bocagères et vastes forêts, le paysage offre une grande richesse écologique favorable à la pratique cynégétique. Cet article explore les spécificités géographiques, les types de gibiers présents, la réglementation en vigueur et les traditions qui animent les chasseurs de la Haute-Vienne. Géographie et particularités naturelles de la Haute-Vienne pour la chasse La Haute-Vienne se caractérise par une mosaïque de forêts, de landes, de zones agricoles et d’étangs. Le département est traversé par de nombreux cours d’eau et vallées encaissées qui constituent autant de refuges naturels pour la faune sauvage. Les massifs forestiers de Châlus, Eymoutiers ou Saint-Léonard-de-Noblat sont particulièrement réputés pour la chasse au grand gibier. Spécificités de la chasse en Haute-Vienne La chasse dans la Haute-Vienne s’appuie sur une diversité de techniques: chasse à tir, chasse à l’approche, battue, ou encore chasse à l’arc. Les battues au sanglier sont fréquentes, en particulier dans les zones boisées. Le département offre également des opportunités variées pour la chasse au petit gibier et au gibier d’eau autour des nombreux étangs limousins. Chasseurs et démographie en Haute-Vienne La Haute-Vienne compte environ 13 000 chasseurs actifs. La pratique est bien ancrée dans la culture locale, notamment dans les milieux ruraux où elle se transmet de génération en génération. On y observe une présence croissante de jeunes chasseurs et de femmes, encouragés par les actions de sensibilisation menées par les structures locales. Types de chasse et gibier en Haute-Vienne - Grand gibier: Le sanglier et le chevreuil sont les espèces principales chassées en forêt. Le cerf est présent dans certaines zones plus restreintes. - Petit gibier: Lièvre, faisan, perdrix, lapin de garenne et bécasse sont communs dans les plaines et les bocages. - Gibier d’eau: Canard colvert, sarcelle et autres migrateurs sont chassés sur les étangs, notamment en Brenne limousine. Saisons de chasse en Haute-Vienne Les périodes de chasse sont définies chaque année par arrêté préfectoral : - Grand gibier: De septembre à février selon les espèces. - Petit gibier: De septembre à fin janvier. - Gibier d’eau: Généralement de septembre à fin janvier, avec des variations selon les espèces migratrices. Associations et clubs de chasse en Haute-Vienne La Fédération Départementale des Chasseurs de la Haute-Vienne (FDC87) encadre les pratiques cynégétiques, gère les plans de chasse et organise la formation des chasseurs. Les sociétés de chasse communales et intercommunales assurent la gestion locale des territoires. De nombreuses actions sont menées pour préserver les habitats et favoriser la biodiversité. Législation de la chasse en Haute-Vienne La chasse y est régie par le Code de l’environnement et les arrêtés préfectoraux. Le permis de chasse et l’assurance sont obligatoires. La FDC87 organise des formations à la sécurité, à la connaissance du gibier et au tir, tout en luttant activement contre le braconnage et en soutenant la préservation des espèces protégées. Traditions de la chasse en Haute-Vienne Les chasses collectives sont souvent l’occasion de rassemblements conviviaux et de repas de chasse, perpétuant l’esprit de communauté cher aux habitants du Limousin. Certaines pratiques anciennes, comme l’utilisation de chiens courants ou la chasse à la passée, restent vivaces. Faits intéressants sur la chasse en Haute-Vienne - Le département compte plusieurs réserves de chasse et de faune sauvage. - La FDC87 développe des projets pédagogiques pour sensibiliser les jeunes à la gestion de la nature. - La chasse contribue à la régulation du gibier, à la prévention des dégâts agricoles et au maintien d’une biodiversité équilibrée.

Post: 4 September 07:37

La chasse dans la MANCHE: Bocage maritime, faune variée, traditions rurales et équilibre cynégétique en Normandie occidentale

Zones côtières, marais et bocages: diversit

La chasse dans la MANCHE: Bocage maritime, faune variée, traditions rurales et équilibre cynégétique en Normandie occidentale Zones côtières, marais et bocages: diversité des paysages cynégétiques de la Manche Le département de la Manche, situé à l’extrémité nord-ouest de la Normandie, offre une géographie unique, mêlant bocages vallonnés, zones humides, littoral maritime, baies, dunes et tourbières. Les marais du Cotentin et du Bessin, les vallées de la Sée et de la Sélune, ainsi que les forêts de Saint-Sever ou Cerisy créent des habitats variés pour une faune riche et abondante. Ce territoire est particulièrement favorable à la chasse, notamment au gibier d’eau, et constitue l’un des hauts lieux cynégétiques du Grand Ouest. Portrait des chasseurs de la Manche et pratiques régionales La Manche compte environ 15 000 chasseurs, répartis sur l’ensemble du département, avec une forte implantation dans les zones rurales et agricoles. La Fédération Départementale des Chasseurs de la Manche (FDC 50) accompagne les acteurs locaux dans la gestion des espèces, la formation, la régulation du gibier et les projets de conservation des milieux naturels. Les traditions y sont encore très vivantes, mêlant pratique de loisir et enracinement local. Gibier d’eau, grands gibiers et richesse faunistique La Manche est réputée pour la chasse au gibier d’eau, pratiquée notamment dans les marais du Cotentin et sur les rives de la baie du Mont-Saint-Michel. On y chasse le canard colvert, le siffleur, la sarcelle, la bécassine, l’oie cendrée et d'autres limicoles. Le sanglier et le chevreuil sont très présents dans les forêts de l’intérieur, et leur chasse s’organise en battues ou à l’affût. Le lièvre, le lapin de garenne, le faisan, la perdrix rouge et le pigeon ramier forment l’essentiel du petit gibier de plaine. Les techniques utilisées sont variées : à la hutte, à la tonne, à la passée, à l’arrêt, en battue ou à l’approche selon les biotopes. Périodes de chasse spécifiques aux zones humides et côtières La chasse au grand gibier s’ouvre généralement à la mi-septembre, avec des battues jusqu’à fin février, tandis que le chevreuil peut être chassé à l’approche dès l’été. Le petit gibier est chassé entre mi-septembre et fin janvier, selon les espèces. Le gibier d’eau peut être chassé dès août, dans certaines zones réglementées. Les périodes de chasse sont définies chaque année par arrêté préfectoral, avec adaptations locales selon les besoins de régulation. Clubs de huttes et fédération de la Manche Le tissu associatif est dense, avec une multitude de sociétés communales, de clubs spécialisés, notamment dans la chasse au gibier d’eau, et de groupements d’intérêt cynégétique. La FDC 50 est active dans la formation au permis de chasser, l’organisation de stages thématiques (piégeage, sécurité), la gestion concertée avec les agriculteurs et la mise en œuvre de projets agro-environnementaux impliquant les chasseurs. Législation encadrant la chasse maritime et intérieure Le département suit la législation nationale, avec des plans de chasse obligatoires pour le sanglier et le chevreuil. Les règles de sécurité sont renforcées, en particulier à proximité des zones d’habitat diffus. Certaines zones humides bénéficient de statuts particuliers (sites Ramsar, ZNIEFF) et imposent des conditions spécifiques de pratique. Les chasseurs doivent également déclarer leurs huttes et leurs installations pour la chasse au gibier d’eau. Vie rurale et traditions liées à la chasse manchoise Dans la Manche, la chasse est profondément enracinée dans la culture paysanne. Les repas de battue, les veillées à la hutte, les concours de chiens de marais ou de trompes sont encore fréquents. La transmission entre générations est vivace, et la chasse reste souvent un rituel familial, associé à la gestion des territoires et au rythme des saisons rurales. Événements notables et faits marquants dans le 50 Les marais du Cotentin sont l’un des sites les plus fréquentés par les oiseaux migrateurs en France, attirant chaque année des milliers de chasseurs à la hutte. Le département a également vu se développer des projets de conservation menés conjointement par chasseurs et naturalistes, notamment autour des zones humides. Enfin, la Manche est l’un des rares départements où la chasse au gibier d’eau est encore pratiquée de manière quasi identitaire, tant dans les pratiques que dans les récits locaux.

Post: 3 September 10:07

La chasse dans les YVELINES: Forêts royales, territoires giboyeux, traditions d’élite et gestion durable aux portes de la capitale

Forêts royales et territoires vastes:

La chasse dans les YVELINES: Forêts royales, territoires giboyeux, traditions d’élite et gestion durable aux portes de la capitale Forêts royales et territoires vastes: le terrain de chasse des Yvelines Le département des Yvelines, à l’ouest de l’Île-de-France, est l’un des plus boisés de la région. On y trouve des massifs forestiers prestigieux tels que les forêts de Rambouillet, Saint-Germain-en-Laye, Marly ou encore Port-Royal, vestiges des grandes chasses royales. Ces milieux alternent forêts denses, étangs, zones humides, clairières et terres agricoles, constituant un écosystème idéal pour une faune diversifiée. Malgré la pression périurbaine, les Yvelines ont su préserver une identité cynégétique forte, adossée à une politique de gestion structurée. Les chasseurs yvelinois: tradition, transmission et modernité Les Yvelines comptent plus de 7 000 chasseurs, souvent très investis dans la gestion de leur territoire. Les pratiquants sont aussi bien des résidents locaux que des Parisiens ou Franciliens disposant de droits de chasse ou membres de sociétés privées. La Fédération Départementale des Chasseurs des Yvelines (FDC 78) est particulièrement active, tant en matière de réglementation que de pédagogie et de biodiversité. Particularités de la chasse en Yvelines et zones emblématiques La chasse au grand gibier est prédominante : le sanglier, le chevreuil et le cerf élaphe sont bien représentés dans les grandes forêts domaniales ou privées. Le petit gibier de plaine reste présent dans les zones agricoles du sud-ouest du département: lièvre, perdrix, faisan, pigeon ramier. Le gibier d’eau est quant à lui chassé ponctuellement autour des étangs de Hollande ou de certaines zones humides du plateau de Rambouillet. Les modes de chasse les plus répandus sont la battue, l’affût, l’approche et la chasse au chien d’arrêt. Calendrier de chasse dans les grandes forêts yvelinoises La chasse s’ouvre en général mi-septembre pour le grand gibier et se poursuit jusqu’à fin février, notamment pour le sanglier. Le petit gibier est chassé de mi-septembre à janvier, avec des variations selon les espèces. Des plans de chasse sont en place pour la majorité des grands gibiers, avec déclaration obligatoire des prélèvements. La FDC publie chaque année un calendrier précis, en lien avec l’ONF et les collectivités locales. Organisations, associations et chasses privées Les sociétés de chasse communales, groupements de propriétaires, territoires privés loués et domaines fermés forment un maillage dense dans les Yvelines. Certaines forêts domaniales, comme Rambouillet, sont ouvertes à la chasse via adjudication ou tirage au sort. Des clubs spécialisés dans la chasse à l’arc, la vénerie, ou la gestion cynégétique sont également très actifs. La FDC propose des formations, des journées techniques, et des opérations de médiation avec les promeneurs. Cadre réglementaire propre aux forêts domaniales Les Yvelines appliquent une réglementation stricte, renforcée par la forte fréquentation des espaces forestiers. Les jours de chasse peuvent être restreints dans certains secteurs publics. Des zones de sécurité, des obligations de signalisation et des règles spécifiques s’appliquent aux forêts domaniales. Le cerf élaphe, bien implanté à Rambouillet et Saint-Arnoult, fait l’objet de suivis réguliers et d’un encadrement par plan de chasse. Culture noble et rituels anciens dans le département des rois La chasse dans les Yvelines est profondément marquée par son héritage aristocratique. On y trouve encore des équipages de vénerie, des manifestations autour de la trompe de chasse, ainsi que des événements où la chasse est mise en valeur comme élément culturel. Les chasses en battue sont souvent accompagnées de rituels et de respect des coutumes cynégétiques classiques, avec trompes, salut au gibier et repas de chasse traditionnels. Faits historiques et singularités liées à la chasse en Yvelines La forêt de Rambouillet est l’un des rares territoires d’Île-de-France à accueillir encore toutes les espèces majeures de grand gibier. Elle abrite également le musée de la chasse et de la nature en milieu forestier, unique en région parisienne. Certaines communes rurales des Yvelines attribuent leurs lots de chasse de manière rotative entre habitants, perpétuant une gestion collective ancienne du territoire.

Post: 3 September 09:04

La chasse en SEINE-SAINT-DENIS: Département sans territoire cynégétique, mais acteur culturel et sociétal dans l’univers cynégétique francilien

Espaces artificialisés et

La chasse en SEINE-SAINT-DENIS: Département sans territoire cynégétique, mais acteur culturel et sociétal dans l’univers cynégétique francilien Espaces artificialisés et éloignement des territoires de chasse en Seine-Saint-Denis La Seine-Saint-Denis est un département totalement urbanisé, avec peu d’espaces naturels propices à la faune sauvage et aucune zone de chasse officielle. Le territoire est dominé par les zones résidentielles, industrielles et les infrastructures de transport dense. Quelques parcs boisés, comme le parc de la Courneuve ou la forêt de Bondy, subsistent mais relèvent de la gestion environnementale ou de la préservation urbaine, non d’un usage cynégétique. Profil des chasseurs du 93: urbains, mobiles et organisés Il existe très peu de chasseurs résidents dans le département, mais de nombreux passionnés vivant en Seine-Saint-Denis pratiquent la chasse dans d’autres départements d’Île-de-France ou en province. Ces chasseurs sont souvent issus de milieux populaires ou familiaux où la chasse est perçue comme un lien à la nature, à la tradition ou au territoire d’origine. Le permis de chasser reste accessible à tous et délivré sur les mêmes critères que dans le reste de la France. Faune présente en périphérie et destinations fréquentes Aucune chasse n’est pratiquée dans le département lui-même. Toutefois, certains habitants participent activement à des activités cynégétiques dans d’autres régions, en particulier la chasse au gibier de plaine, au sanglier ou à la bécasse. La chasse à l’affût et la battue sont les formes les plus courantes dans les forêts d’Île-de-France accessibles depuis la Seine-Saint-Denis. Rythme de chasse adapté au cadre périurbain dense Les résidents chassent exclusivement hors du département. Ils sont donc soumis aux calendriers des territoires sur lesquels ils pratiquent, principalement dans les Yvelines, la Seine-et-Marne, l’Oise ou l’Aisne. Les périodes suivent les règlements départementaux de ces zones, que les chasseurs doivent connaître et respecter. Clubs, cercles et fédérations fréquentés par les chasseurs de Seine-Saint-Denis Il n’existe pas de société de chasse active sur le territoire de la Seine-Saint-Denis. Néanmoins, certains clubs culturels ou associatifs regroupent des chasseurs originaires d’Afrique du Nord, des Balkans ou du sud de la France, partageant une culture cynégétique forte. Ces réseaux permettent le covoiturage vers les territoires de chasse et entretiennent des liens sociaux autour de la pratique. Législation applicable et contraintes spécifiques au 93 La chasse est interdite dans tout le département. Les rares interventions sur la faune (contrôle de la population de pigeons ou de rongeurs, par exemple) relèvent des services sanitaires ou des collectivités territoriales. Aucun plan de chasse ni gestion cynégétique n’est en vigueur. Transmission des valeurs et culture cynégétique en banlieue dense Même sans territoire de chasse, la Seine-Saint-Denis conserve une mémoire cynégétique à travers certaines familles ou communautés d’origine rurale. La chasse y est parfois vue comme un héritage culturel, un moyen de retour aux sources, et suscite un intérêt croissant chez certains jeunes en quête d’un lien avec la nature ou d’une activité structurante. Anecdotes urbaines et pratiques uniques chez les chasseurs du 93 Certains habitants du département participent à des programmes de chasse accompagnée ou de formation au permis de chasser proposés en Seine-et-Marne ou en Picardie. La Seine-Saint-Denis est aussi un vivier de jeunes chasseurs franciliens issus de la diversité, ce qui en fait un exemple d’ouverture sociale dans le monde cynégétique.

Post: 3 September 08:45

La chasse dans les HAUTS-DE-SEINE: Espaces restreints, gestion encadrée, patrimoine cynégétique et enjeux de cohabitation urbaine en Île-de-France

Environnement dense et

La chasse dans les HAUTS-DE-SEINE: Espaces restreints, gestion encadrée, patrimoine cynégétique et enjeux de cohabitation urbaine en Île-de-France Environnement dense et espaces boisés limités : le paradoxe cynégétique des Hauts-de-Seine Département le plus densément peuplé de France après Paris, les Hauts-de-Seine ne possèdent que très peu de surfaces chassables. Le territoire est fortement urbanisé, mais il conserve des boisements notables comme le bois de Meudon, la forêt de Fausses-Reposes ou encore le parc de Saint-Cloud, souvent classés ou partiellement protégés. Ces espaces naturels, bien que limités, jouent un rôle écologique important dans une région où la pression humaine est constante. Les chasseurs résidant dans le 92 : mobilité et profils urbains Les Hauts-de-Seine comptent un nombre très restreint de chasseurs résidents, la majorité des pratiquants cynégétiques étant des habitants du département qui chassent dans les départements voisins comme les Yvelines ou l’Essonne. Les activités cynégétiques se font donc essentiellement hors du territoire, même si certaines propriétés privées ou parcelles domaniales font exception ponctuellement sous autorisation stricte. Espèces chassées à proximité et territoires alentour Il n’existe pas de véritable chasse sur le territoire des Hauts-de-Seine à l’échelle départementale. Toutefois, dans quelques bois périurbains, des opérations de régulation sont autorisées, notamment pour le sanglier ou le chevreuil, dans un cadre strictement encadré par les services de l’État et l’ONF. Ces interventions se font sous forme de battues administratives ou de tirs d'affût, et non de chasse de loisir à proprement parler. Périodes de chasse pour les résidents et chasseurs mobiles Le département ne possède pas de calendrier cynégétique classique, les éventuelles actions de tir étant définies ponctuellement par arrêtés préfectoraux. Les périodes sont calées sur les directives nationales mais restent marginales dans leur application locale. En revanche, les habitants du département peuvent obtenir leur permis de chasse et pratiquer en dehors des Hauts-de-Seine comme tout chasseur français. Clubs spécialisés et formations en milieu urbain Il existe peu d’associations cynégétiques locales actives dans les Hauts-de-Seine. Toutefois, plusieurs clubs de chasse à vocation culturelle ou sportive existent, notamment dans les cercles privés ou associations de chasseurs franciliens. Des formations sont également proposées par la Fédération régionale pour les résidents désireux de se former avant d’aller chasser en province. Restrictions et encadrement légal renforcé En raison de la densité urbaine, la législation sur la chasse dans les Hauts-de-Seine est extrêmement restrictive. Toute action liée à la faune sauvage est strictement encadrée et nécessite une autorisation administrative. La sécurité publique, la proximité des habitations et la protection des zones naturelles classées constituent des facteurs limitants majeurs. Traditions maintenues en périphérie parisienne Il n’y a pas de tradition de chasse rurale dans les Hauts-de-Seine à proprement parler. Cependant, on y retrouve une forte tradition de transmission culturelle autour de la chasse, notamment chez les amateurs de chasse à courre, de vénerie ou de tir sportif. Plusieurs cercles historiques organisent des événements ou des expositions liés au patrimoine cynégétique français. Faits particuliers liés aux pratiques de chasse dans les Hauts-de-Seine Certains parcs boisés du département, bien qu’en milieu très urbanisé, connaissent des problèmes de surpopulation de sangliers, chevreuils et renards, ce qui a conduit à des interventions ciblées. Les Hauts-de-Seine font également partie des départements franciliens où le nombre de jeunes souhaitant passer le permis de chasse est en légère hausse, malgré l’absence d’activité cynégétique locale.

Post: 3 September 08:30

La chasse dans le PAS-DE-CALAIS: Bocages giboyeux, zones humides stratégiques, traditions rurales et régulation encadrée au nord de la France

Entre bocage, zones humides

La chasse dans le PAS-DE-CALAIS: Bocages giboyeux, zones humides stratégiques, traditions rurales et régulation encadrée au nord de la France Entre bocage, zones humides et côte : reliefs du Pas-de-Calais Le Pas-de-Calais offre un paysage de bocages, plaines agricoles, forêts clairsemées et surtout des zones humides majeures comme les marais de Saint-Omer ou du Boulonnais. Proche de la mer, il constitue une zone de passage importante pour les oiseaux migrateurs, et sa diversité d’habitats en fait un département de choix pour la chasse. Les chasseurs du 62: enracinement rural et traditions vivantes On dénombre environ 13 000 chasseurs actifs dans le Pas-de-Calais, rassemblés dans de nombreuses sociétés locales. La Fédération Départementale des Chasseurs du Pas-de-Calais (FDC 62) est particulièrement dynamique dans l’aménagement du territoire, la protection de la biodiversité et la formation des nouveaux chasseurs. Gibier typique, oiseaux migrateurs et chasse au gibier d’eau Le département est réputé pour la chasse au gibier d’eau: Canard, sarcelle, bécassine, vanneau sont chassés dans les marais, souvent depuis des huttes. Le petit gibier de plaine (lièvre, faisan, perdrix) est encore bien présent dans les zones agricoles. Le sanglier est en progression dans certaines forêts du sud du département, et fait l’objet de régulations spécifiques. Les techniques utilisées incluent la chasse à la hutte, la chasse au poste, et la battue au chien courant dans les massifs boisés. Ouvertures et périodes: le rythme de la chasse locale Le gibier d’eau ouvre dès août dans certaines zones, jusqu’à fin janvier. La chasse au petit gibier se pratique de mi-septembre à fin janvier. Le sanglier est chassé de septembre à février, avec parfois des battues administratives au printemps. La FDC publie chaque année un calendrier précis et détaillé, tenant compte des particularités locales (zones de protection, espèces sensibles, etc.). Fédération active et sociétés locales dans le Pas-de-Calais Outre les sociétés de chasse communales, de nombreux clubs spécialisés œuvrent dans le département : chasse au gibier d’eau, chasse au chien d’arrêt, chasse à l’arc. La FDC 62 soutient aussi la gestion de réserves cynégétiques, véritables laboratoires de gestion durable. Règles de sécurité, réglementation et encadrement juridique La chasse dans le Pas-de-Calais est encadrée par des règles strictes: Identification obligatoire des huttes de chasse. Horaires spécifiques pour le gibier d’eau (souvent limités à 2h avant et après le lever/coucher du soleil). Plans de chasse obligatoires pour le sanglier dans certains secteurs. Des contrôles sont régulièrement menés, en particulier dans les zones Natura 2000 et les marais sensibles. Ancrage culturel et coutumes rurales liées à la chasse Dans le Nord-Pas-de-Calais, la chasse est une activité familiale et intergénérationnelle. La vie de hutte constitue une culture à part entière, mêlant chasse, observation de la nature, convivialité et cuisine du gibier. Les concours de trompe, de chiens de marais, ou encore les fêtes de la chasse ponctuent la saison. Curiosités et faits marquants de la pratique cynégétique dans le 62 Le marais audomarois est un haut lieu de la chasse au gibier d’eau et un site Ramsar reconnu internationalement. Le Pas-de-Calais accueille chaque année des milliers de chasseurs belges et néerlandais attirés par la richesse cynégétique. C’est l’un des rares départements où la chasse traditionnelle aux appelants vivants est encore pratiquée sous certaines conditions.

Post: 3 September 07:34

La chasse dans l’AISNE: Territoires boisés, espèces variées, traditions rurales et encadrement cynégétique dans ce département au cœur des Hauts-de-France

Plaines ouvert

La chasse dans l’AISNE: Territoires boisés, espèces variées, traditions rurales et encadrement cynégétique dans ce département au cœur des Hauts-de-France Plaines ouvertes, massifs boisés et bocage: l’Aisne rurale et cynégétique Le département de l’Aisne, situé dans la région des Hauts-de-France, présente une grande diversité de paysages: forêts feuillues, plaines agricoles, zones humides et vallées fluviales (comme celle de l’Oise ou de l’Ailette). Les massifs forestiers tels que la forêt de Saint-Gobain ou celle de Retz offrent des conditions idéales pour la chasse au grand gibier, tandis que les cultures et bocages sont propices à la chasse au petit gibier. Les chasseurs de l’Aisne: présence active et ancrage local L’Aisne compte environ 8 000 chasseurs actifs, regroupés dans des associations locales réparties sur tout le territoire. La Fédération Départementale des Chasseurs de l’Aisne (FDC 02) est chargée de coordonner la gestion cynégétique, de délivrer les formations réglementaires et de veiller à l’équilibre entre faune sauvage, agriculture et environnement. Espèces chassées et pratiques dominantes dans le département Dans l’Aisne, on pratique principalement: La chasse au grand gibier: sanglier, chevreuil, cerf sika (introduit localement). La chasse au petit gibier: lièvre, perdrix, faisan, lapin de garenne, pigeon ramier. La chasse au gibier d’eau: canard, oie cendrée, dans les zones humides comme les étangs de la vallée de la Somme et de l’Oise. La chasse en battue est très courante pour le sanglier, tandis que la chasse à l'affût est utilisée pour le chevreuil et parfois le cerf. Calendrier cynégétique et spécificités saisonnières Les périodes de chasse dans l’Aisne sont déterminées par des arrêtés préfectoraux. En général: Le grand gibier peut être chassé de mi-septembre à fin février. Le petit gibier est chassé entre mi-septembre et janvier. Le gibier d’eau ouvre dès août dans certaines zones. Des plans de chasse obligatoires sont en vigueur pour certaines espèces (cerf, chevreuil), afin de gérer durablement les populations. Réseau associatif et clubs de chasse dans l’Aisne La FDC 02 travaille en lien avec de nombreuses sociétés de chasse communales. Elle encadre également des groupes spécialisés, comme ceux dédiés à la chasse à l’arc, au piégeage ou à la gestion des dégâts de gibier. Ces associations organisent régulièrement des battues administratives, notamment pour le sanglier, espèce parfois surabondante. Règles, plans de chasse et zones de régulation Comme dans le reste de la France, la chasse est soumise à la loi, mais l’Aisne applique des régulations spécifiques pour certaines espèces selon les zones sensibles (zones agricoles, ZNIEFF, etc.). Des autorisations préfectorales peuvent être délivrées pour des tirs de régulation hors période normale, notamment en cas de dégâts sur les cultures. Culture cynégétique, mémoire rurale et pratiques anciennes L’Aisne est un département où la chasse est profondément ancrée dans les traditions rurales. Les repas de chasse, les sorties dominicales en famille, ou encore les fêtes de la Saint-Hubert sont des moments importants pour les communautés locales. Le lien entre chasse et culture agricole reste très fort. Éléments notables et faits originaux sur la chasse axonaise Le département abrite plusieurs territoires de chasse privés très réputés, prisés pour le cerf sika, gibier rare ailleurs en France. Dans certaines forêts de l’ouest du département, la chasse est utilisée comme outil de régulation du tourisme, pour limiter l’impact de la fréquentation sur la faune. Le nombre d’accidents de la route causés par le gibier y est significatif, ce qui renforce le rôle de la chasse dans la prévention des collisions.

Post: 2 September 08:19

Saisons de chasse dans les LAURENTIDES: Les dates d'ouverture et fermeture, les permis requis, la réglementation en vigueur et les périodes idéales 

Les forêts des Laure

Saisons de chasse dans les LAURENTIDES: Les dates d'ouverture et fermeture, les permis requis, la réglementation en vigueur et les périodes idéales Les forêts des Laurentides, avec leurs étendues sauvages et leurs lacs scintillants, constituent depuis des générations un terrain de chasse privilégié pour les amateurs de gibier. Cette région du Québec, riche d'une biodiversité exceptionnelle, offre aux chasseurs des expériences uniques, à condition de respecter scrupuleusement les règles établies pour préserver cet équilibre naturel fragile. Comprendre les saisons de chasse En parcourant les sentiers forestiers des Laurentides au petit matin, le chasseur averti sait qu'il évolue dans un écosystème complexe où chaque espèce animale suit son propre rythme biologique. C'est pourquoi le Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) a établi un calendrier de chasse méticuleux, adapté aux spécificités de ce territoire. Les dates d'ouverture et de fermeture varient non seulement selon les espèces, mais aussi en fonction des microclimats et des particularités géographiques de chaque secteur. Quand et quoi chasser? Les meilleures périodes par espèce La chasse à l'orignal, véritable emblème de la région, connaît son apogée durant le rut, entre mi-septembre et fin novembre. C'est à cette période que les mâles, perdant leur habituelle méfiance, deviennent plus accessibles aux chasseurs patients. Les vieux routiers des Laurentides vous le confirmeront: rien ne vaut l'expérience d'une aube froide de septembre, lorsque la brume se lève lentement sur les étangs et que les premiers appels de l'orignal résonnent dans la forêt. Pour le cerf de Virginie, la période idéale se situe généralement en novembre, quand les premiers froids rendent les animaux plus actifs en journée. Quant à l'ours noir, sa chasse printanière (mai-juin) demande une approche particulière, centrée sur l'identification des zones de nourrissage après l'hibernation. Les chasseurs expérimentés savent repérer les souches retournées et les traces fraîches menant aux buissons de baies sauvages. Les amateurs de petit gibier trouveront leur bonheur d'octobre à mars, période où lièvres et gélinottes peuplent abondamment les sous-bois. La chasse aux oiseaux migrateurs, quant à elle, suit un calendrier précis établi en concertation avec les réglementations fédérales, généralement de septembre à décembre pour les canards et les oies. Ces dernières années, le MFFP a dû ajuster certaines périodes de chasse pour répondre aux fluctuations des populations animales. Les hivers rigoureux, notamment, ont conduit à des restrictions temporaires sur le cerf de Virginie, tandis que la saison de l'orignal a parfois été prolongée dans certaines zones pour réguler des populations devenues trop importantes. Réglementation Avant de partir en expédition, tout chasseur doit s'assurer de posséder les permis appropriés et de connaître les quotas en vigueur. Les contrôles sur le terrain sont fréquents, et les amendes pour infraction peuvent être sévères, allant jusqu'à 5000$ pour les manquements les plus graves. Mais au-delà de l'aspect réglementaire, c'est une véritable éthique du chasseur qui s'applique dans les Laurentides - un respect profond pour la nature et ses cycles immuables. Les meilleurs spots de chasse? Les anciens vous diront que les alentours de Mont-Tremblant réservent toujours de belles surprises, tout comme les profondeurs de la Réserve faunique des Laurentides. Mais chaque coin de cette région recèle ses secrets, que seuls des années de pratique et d'observation permettent de percer. Сhasser dans les Laurentides est une immersion totale dans un écosystème complexe, une école de patience et d'humilité face aux forces de la nature. En respectant les saisons et les règles établies, les chasseurs d'aujourd'hui perpétuent une tradition séculaire tout en participant activement à la préservation de ce patrimoine naturel exceptionnel.

Post: 2 September 07:50

Hunting Timing in Senegal: Seasons, Natural Features of the SAINT-LOUIS Region, Licenses, Tips and Tactics for Hunters

Hunting in Senegal is not only an ancient traditio

Hunting Timing in Senegal: Seasons, Natural Features of the SAINT-LOUIS Region, Licenses, Tips and Tactics for Hunters Hunting in Senegal is not only an ancient tradition but also a strictly regulated activity. In the Saint-Louis region, located in the north of the country on the coast of the Atlantic Ocean, hunting conditions depend on climate, seasons, and legislation. To hunt successfully and legally, it is important to understand the timing, rules, obtain the necessary permits, and consider environmental factors. Main Periods and Regulation Features in Saint-Louis In the Saint-Louis region, the hunting season usually begins at the end of October and ends in March. These dates are set by the Ministry of Environment of Senegal, taking into account the biological cycles of animals and birds. The main goal of these restrictions is to preserve wildlife populations and prevent poaching. Seasons are determined by national law, although local authorities may adjust them depending on the ecosystem of the region. The climate of Saint-Louis is tropical, with clearly defined dry and wet seasons. This directly affects bird migrations and animal activity, which is considered when setting hunting dates. Compared to neighboring regions such as Dakar or Thiès, the season in Saint-Louis can be slightly longer due to the greater availability of water resources and biodiversity. Over the past few years, there have been changes—for example, in 2020, the season for certain bird species was extended after an ecological analysis of their populations. Seasonality and Best Months for Harvest The hunting calendar in the region is divided into two main periods: Early season (October–December) — the best time for hunting migratory birds. Ideal for ducks, geese, and other waterfowl. Late season (January–March) — suitable for hunting large game such as antelopes and wild boars. Small game, including bustards and francolins, is most accessible at the beginning of the dry season when they gather around water bodies. Large animals become more active during cooler months, especially in the early morning and evening hours. The traditional hunting festival "Fête de la Chasse" is held annually in November near Saint-Louis. It combines sporting events, gun exhibitions, and cultural activities, attracting both local and international hunters. Bans, Restrictions, and Protected Species To preserve the ecosystem, strict rules apply in the region: Hunting females and young animals (before reaching sexual maturity) is prohibited. The list of protected species includes elephants, leopards, rhinoceroses, and certain bird species listed in the Red Book. Temporary hunting bans are imposed during animal breeding periods (usually from April to September). Hunting is completely prohibited in national parks and reserves such as Parc National du Delta du Saloum and Gorée Island. Violations of these rules are punishable by fines and possible revocation of the license for several years. Hunting License in Saint-Louis, Documents, Contacts, and Help from Organizations To legally hunt in Saint-Louis, you must obtain a hunting permit (permis de chasse). The process is as follows: Contact the regional water and forestry department (Direction des Eaux et Forêts). Provide a medical certificate, proof of firearm ownership, and insurance policy. Pay the fee (about 25,000 CFA for foreigners). Attend a briefing on hunting rules and safety. Most tourists get licenses through local hunting clubs such as Club de Chasse de Saint-Louis , which also provide guides, transportation, and equipment. Club membership gives access to closed areas and up-to-date information about seasons. Penalties for Violating Hunting Dates and Rules in Saint-Louis Violating hunting deadlines, shooting prohibited species, or hunting without a license carries serious consequences: Fines ranging from 100,000 to 500,000 CFA. Confiscation of weapons and equipment. Possible criminal prosecution in case of poaching. Repeat offenders may face temporary or lifetime loss of hunting rights. Special attention is paid to violations in protected areas and illegal export of trophies. Tips for Hunters to Choose Time, Location, Gear, and Tactics Successful hunting in Saint-Louis depends on choosing the right time and tactics. Here are key recommendations: Autumn months (October–November) — ideal for hunting migratory birds. Use camouflage and decoys; hunt early in the morning near water bodies. Winter months (December–January) — suitable for trophy hunting. On open plains, stalking with vehicles and blinds works well. Spring weeks (February–March) — time for hunting hoofed animals. Better to work with experienced guides to avoid losing track. Gear should match the season: light clothing in autumn, cold-weather protection in winter. Don't forget to bring enough water, GPS, and radio communication. Choosing the right location is best left to professionals—local guides know animal behavior and movement routes. Also, consider wind, temperature, and noise levels when planning your hunt.

Post: 28 August 08:53

La Chasse en CÔTES-D'ARMOR: Explorez les saisons de chasse et les traditions ancestrales qui rythment la vie dans cet environnement unique

Les Côtes-d’Armor, département

La Chasse en CÔTES-D'ARMOR: Explorez les saisons de chasse et les traditions ancestrales qui rythment la vie dans cet environnement unique Les Côtes-d’Armor, département emblématique de la Bretagne, sont un véritable écrin pour les amateurs de chasse. Entre ses paysages variés, sa faune riche et ses traditions bien ancrées, cette région offre des opportunités exceptionnelles pour pratiquer la chasse dans un cadre préservé. Caractéristiques Géographiques et Naturelles Favorables à la Chasse Les Côtes-d’Armor se distinguent par leur diversité géographique, alliant bocages, forêts, landes, marais et zones côtières. Cette richesse d’écosystèmes favorise la présence d’une faune variée, propice à la chasse. Les forêts et boisements: Le département compte environ 20 % de son territoire recouvert de forêts, notamment celles du Gault et de Paimpont, qui abritent une faune giboyeuse. Les zones humides: Les marais et tourbières, comme ceux du Trieux ou de la baie de Saint-Brieuc, sont des refuges pour les oiseaux migrateurs et autres espèces aquatiques. Le littoral: Avec plus de 400 km de côtes, les Côtes-d’Armor offrent des opportunités uniques pour la chasse au gibier d’eau. Le relief doux: Les collines et vallées permettent une chasse accessible, même pour les moins expérimentés. Chasseurs et Démographie de la Région Selon les données officielles (Fédération Nationale des Chasseurs, 2023), le département des Côtes-d’Armor compte environ 15 000 chasseurs détenteurs d’un permis de chasse valide , représentant près de 2 % de la population adulte. Ce chiffre reflète une forte tradition cynégétique dans la région, soutenue par un engagement fort des associations locales. La population de chasseurs est majoritairement masculine, avec une moyenne d’âge située entre 45 et 60 ans. Toutefois, des efforts sont menés pour attirer les jeunes grâce à des formations et des initiatives pédagogiques. Types de Chasse Pratiqués dans les Côtes-d’Armor La diversité des terrains et des espèces permet aux chasseurs de pratiquer plusieurs types de chasse: Chasse au petit gibier: Lièvres, perdrix, faisans et lapins sont très prisés. Chasse au grand gibier: Chevreuils, sangliers et parfois cerfs peuvent être chassés dans les zones autorisées. Chasse au gibier d’eau: Canards, bécasses et autres oiseaux migrateurs sont recherchés dans les zones humides et côtières. Chasse à l’affût: Pratiquée principalement dans les sous-bois et les clairières. Battues collectives: Organisées par des clubs locaux pour le grand gibier. Animaux Chassés dans la Région Les espèces chassées dans les Côtes-d’Armor sont nombreuses et variées. Petit gibier: Lièvre, perdrix rouge, faisan, lapin de garenne. Gibier d’eau: Canard colvert, sarcelle d’hiver, bécassine des marais. Grand gibier: Sanglier, chevreuil, renard. Oiseaux migrateurs: Bécasse des bois, vanneau huppé. Saisons de Chasse dans les Côtes-d’Armor Les périodes de chasse varient selon les espèces et sont strictement réglementées. Petit gibier terrestre: De mi-septembre à fin janvier. Gibier d’eau: De mi-juillet à fin janvier. Grand gibier: De septembre à février, avec des restrictions pour certaines espèces. Bécasse des bois: De mi-octobre à fin décembre. Associations et Clubs de Chasseurs Les Côtes-d’Armor regorgent d’associations actives qui jouent un rôle central dans la vie des chasseurs: La Fédération Départementale des Chasseurs des Côtes-d’Armor: Elle coordonne les actions de gestion de la faune et des habitats, organise des formations et défend les intérêts des chasseurs. Les ACCA (Associations Communales de Chasse Agréées): Réparties sur l’ensemble du territoire, elles permettent une gestion locale des territoires de chasse. Clubs spécialisés: Certains clubs se concentrent sur des espèces ou des modes de chasse spécifiques, comme le tir sportif ou la chasse au vol. Législation de la Chasse dans les Côtes-d’Armor La législation est stricte et encadrée par plusieurs niveaux d’autorités: Permis de chasse obligatoire: Tous les chasseurs doivent être titulaires d’un permis valide et respecter les règles de sécurité. Zones réglementées: Certaines zones sont interdites ou soumises à des restrictions pour protéger la biodiversité. Quotas: Des quotas annuels sont fixés pour chaque espèce afin de préserver les populations. Respect des horaires: La chasse n’est autorisée qu’à certaines heures de la journée, généralement entre le lever et le coucher du soleil. En cas d’infraction, des sanctions sévères peuvent être appliquées, y compris des amendes et la suspension du permis. Traditions Cynégétiques de la Région Les Côtes-d’Armor ont une longue histoire de chasse, profondément ancrée dans la culture bretonne. Les battues collectives, souvent suivies de repas conviviaux, sont un moment fort de la vie sociale locale. Ces événements permettent de renforcer les liens entre habitants et de transmettre les savoirs ancestraux aux nouvelles générations. Faits Intéressants sur la Chasse dans les Côtes-d’Armor Réintroduction réussie: Grâce aux efforts des associations locales, le chevreuil, autrefois rare, est aujourd’hui largement répandu dans le département. Tourisme cynégétique: Les Côtes-d’Armor attirent de nombreux chasseurs étrangers, notamment pour la chasse au gibier d’eau. Engagement écologique: Les chasseurs locaux participent activement à la préservation des habitats naturels et à la lutte contre le braconnage. Les Côtes-d’Armor offrent un cadre idéal pour la pratique de la chasse, alliant nature préservée, espèces variées et traditions vivantes. Que vous soyez un habitant du département ou un visiteur curieux, cette région vous réserve des expériences inoubliables.

Post: 25 July 10:13

Saint-Louis Hunting Guide: Laws, Demographics Legislation. Birds, Wildlife, and Djoudj National Bird Sanctuary

The Saint-Louis Department in Senegal is a premier destina

Saint-Louis Hunting Guide: Laws, Demographics Legislation. Birds, Wildlife, and Djoudj National Bird Sanctuary The Saint-Louis Department in Senegal is a premier destination for hunters, particularly those passionate about bird hunting. Geography and Nature of Saint-Louis Saint-Louis is characterized by its riverine ecosystems, wetlands, and coastal areas, making it a haven for wildlife, particularly birds. The region is defined by the Senegal River, which flows through the area, creating fertile floodplains and seasonal wetlands. Key features include: Djoudj National Bird Sanctuary: A world-renowned bird sanctuary that attracts millions of migratory birds each year. Langue de Barbarie: A thin peninsula that separates the Senegal River from the Atlantic Ocean, offering unique coastal hunting opportunities. Savannas and Floodplains: These areas provide habitats for larger game species and smaller mammals. The combination of wetlands, rivers, and coastal landscapes makes Saint-Louis a versatile destination for hunters. Located in the northwestern part of the country, Saint-Louis is home to the Djoudj National Bird Sanctuary, a UNESCO World Heritage Site and one of the most important bird reserves in the world. Bird Hunting in Saint-Louis: Djoudj National Bird Sanctuary The Djoudj National Bird Sanctuary is the crown jewel of Saint-Louis, attracting bird hunters from around the world. The sanctuary is a critical stopover for millions of migratory birds traveling between Europe and Africa. Commonly hunted species include: Ducks and Geese: These are the most sought-after birds due to their abundance and challenging flight patterns. Waders: Species like sandpipers and herons are also common in the wetlands. Resident Birds: Including spurfowl and francolins, which are present year-round. Hunting in the Djoudj area is strictly regulated to protect the sanctuary’s ecosystem. Hunters must obtain special permits and adhere to seasonal restrictions to ensure sustainability. Protection of Barbary Macaques While hunting is a popular activity in Saint-Louis, certain species are strictly protected to ensure their survival. The Barbary macaque, a primate native to the region, is one such species. Conservation efforts include: Protected Areas: Hunting of Barbary macaques is prohibited, and their habitats are safeguarded. Community Involvement: Local communities play a key role in protecting these primates through education and sustainable practices. Tourism Initiatives: Eco-tourism programs help raise awareness and funds for conservation efforts. Types of Hunting and Game Species in Saint-Louis Saint-Louis offers a variety of hunting experiences, catering to different preferences and skill levels: Bird Hunting: The wetlands and coastal areas are ideal for waterfowl hunting, with ducks, geese, and waders being the primary targets. Small Game Hunting: Species like hares and guinea fowl are commonly hunted in the savannas and floodplains. Coastal Hunting: The Langue de Barbarie peninsula offers opportunities for hunting seabirds and other coastal species. Hunting Seasons The hunting season in Saint-Louis typically aligns with the dry season, from November to April. This period is ideal because: Migratory birds are present, increasing the diversity of species available for hunting. Wildlife congregates around limited water sources, making it easier to locate game. The cooler, dry weather ensures a more comfortable hunting experience. #HuntingInSenegal#SaintLouisHunting#DjoudjSanctuary#BirdHunting#WaterfowlHunting#SustainableHunting#WildlifeAdventures#ExploreSaintLouis#HuntingTraditions#AfricanWildlife#EthicalHunting#CoastalHunting#SenegalHunting#HuntingSeasons#ConservationHunting#BarbaryMacaque

Post: 4 July 12:04

Tout sur la Chasse en RÉUNION: Espèces chassées, saisons autorisées, clubs régionaux et géographie volcanique

L’île de La Réunion, située dans l’océan Indien, est un ter

Tout sur la Chasse en RÉUNION: Espèces chassées, saisons autorisées, clubs régionaux et géographie volcanique L’île de La Réunion, située dans l’océan Indien, est un territoire français d’outre-mer où la chasse s’inscrit dans un cadre strict et réglementé. Entre montagnes volcaniques, forêts tropicales et zones humides, cette île offre des opportunités cynégétiques uniques, mais aussi des défis liés à sa biodiversité fragile et à son statut insulaire. Voici un guide complet pour comprendre la chasse en Réunion. Géographie et Biodiversité La Réunion se distingue par ses paysages variés : - Montagnes volcaniques: Le Piton des Neiges (3 071 m) et le Piton de la Fournaise offrent des terrains accidentés pour la chasse au cerf et au sanglier. - Forêts tropicales: Les forêts primaires comme celles de Bélouve et de Mare Longue abritent des espèces endémiques. - Zones humides: Les mangroves et les étangs (ex. Étang de Saint-Paul) attirent des oiseaux migrateurs. - Climat tropical: Favorable aux espèces adaptées à la chaleur et à l’humidité. Le Parc National de La Réunion (40 % du territoire) protège une grande partie de l’île, limitant les activités cynégétiques. Spécificités de la Chasse Réunionnaise - Adaptation au relief: Utilisation de bottes robustes et de jumelles pour traquer le gibier en montagne. - Chiens courants: Essentiels pour la traque du sanglier dans les forêts denses. - Collaboration avec les agriculteurs: Régulation des sangliers pour limiter les dégâts aux cultures (canne à sucre, fruits). Démographie des Chasseurs Environ 2 500 chasseurs licenciés sont recensés à La Réunion en 2023 (source : Fédération Départementale des Chasseurs), soit environ 0,3 % de la population locale. Les pratiquants sont majoritairement des hommes âgés de 30 à 60 ans, souvent membres de 15 associations locales. La pratique reste marginale par rapport à la métropole, en raison des restrictions environnementales et de la densité urbaine. Types de Chasse et Gibier 1. Chasse à l’affût: Cerfs et sangliers dans les hauts de l’île. 2. Chasse en battue: Sangliers en groupe (5 à 10 chasseurs). 3. Chasse au vol: Pigeons et ramiers dans les vallées. 4. Chasse nocturne: Autorisée sous conditions pour le sanglier. Espèces principales: - Mammifères: Sanglier (espèce introduite), cerf axis (introduit). - Oiseaux: Ramier des bois, pigeon biset. - Espèces protégées: Tuit-tuit (oiseau endémique), tortue géante des Seychelles. Saisons de Chasse Les périodes varient selon les espèces : - Sanglier: Du 1er mai au 30 septembre (zones autorisées uniquement). - Cerf axis: Du 1er juin au 31 août (sexe mâle uniquement). - Pigeons: Du 1er octobre au 31 janvier. La chasse est interdite dans les réserves naturelles et les zones sensibles. Associations et Clubs - Fédération Départementale des Chasseurs de La Réunion: Gère les permis et organise des formations sécurité. - Club des Chasseurs des Hauts: Spécialisé dans la traque en montagne. - Association Réunionnaise pour la Gestion du Gibier: Encadre la régulation des espèces invasives. Réglementation - Permis obligatoire: Valable 5 ans, avec validation annuelle (coût : ~150 €). - Quotas: 2 sangliers maximum par chasseur et par saison. - Zones interdites: Parc National, réserves biologiques intégrales. - Armes: Calibre 12 pour le petit gibier, 30-06 pour le grand gibier. Traditions Cynégétiques - Repas partagés: Après la chasse, les participants préparent des plats traditionnels comme le cari de sanglier. - Fête de la Saint-Hubert: Célébrée en novembre avec des démonstrations de chiens et des concours de tir. Faits Marquants - Histoire: Le cerf axis fut introduit au XIXe siècle pour la chasse sportive. - Écologie: Les sangliers, espèce invasive, causent des dégâts importants aux écosystèmes locaux. - Tourisme: Des stages « chasse découverte » sont proposés aux touristes métropolitains. La chasse à La Réunion est une activité encadrée, marquée par la nécessité de protéger un écosystème unique. Entre traditions locales et gestion durable, elle offre une expérience exceptionnelle pour les passionnés respectueux des règles et de la nature.

Post: 13 June 21:41

La chasse en GASPÉSIE: Associations locales, démographie et territoires de chasse côtiers

La Gaspésie, cette péninsule québécoise située à l’est du Canada, est une desti

La chasse en GASPÉSIE: Associations locales, démographie et territoires de chasse côtiers La Gaspésie, cette péninsule québécoise située à l’est du Canada, est une destination de choix pour les chasseurs. Avec ses paysages variés, sa faune abondante et ses traditions de chasse bien ancrées, elle offre une expérience unique en Amérique du Nord. Cet article explore les caractéristiques géographiques, les types de chasse, les animaux chassés, les saisons, les associations, la législation et les traditions locales, le tout enrichi de faits intéressants pour les passionnés de chasse. Caractéristiques géographiques et naturelles de la Gaspésie La Gaspésie est une région de 30 341 km², bordée par l’estuaire du Saint-Laurent au nord, le golfe du Saint-Laurent à l’est et la baie des Chaleurs au sud. Son relief varié, composé de montagnes, de vallées, de forêts et de côtes, en fait un terrain de jeu idéal pour les chasseurs. Les monts Chic-Chocs, culminant à 1 268 mètres au mont Jacques-Cartier, abritent une faune diversifiée, tandis que les vastes forêts et les rivières à saumon de la vallée de la Matapédia offrent des opportunités de chasse exceptionnelles. Chasseurs et démographie de la région La Gaspésie compte environ 79 000 habitants, avec une population vieillissante (30,2 % de personnes âgées de 65 ans et plus) et une faible proportion de jeunes (16,1 % de moins de 20 ans). Bien qu’il n’existe pas de données précises sur le nombre exact de chasseurs dans la région, l’engouement pour la chasse est palpable. Par exemple, la chasse au phoque a connu une popularité croissante ces dernières années, avec 103 permis de chasse personnels et 26 permis commerciaux délivrés en 2025. Types de chasse et animaux chassés La Gaspésie propose une variété de types de chasse, adaptés à ses écosystèmes riches et diversifiés : Chasse au gros gibier : L’orignal est l’un des animaux les plus recherchés, notamment dans les forêts de la vallée de la Matapédia et du parc national de la Gaspésie. Chasse au petit gibier : Le lièvre, la gélinotte et le tétras des savanes sont également populaires. Chasse au phoque : Pratiquée principalement dans les zones côtières, cette chasse est en plein essor, avec des permis délivrés pour le phoque gris et le phoque du Groenland. Chasse à l’ours noir : Présent dans les forêts gaspésiennes, l’ours noir est une autre cible prisée des chasseurs. Saisons de chasse Les saisons de chasse en Gaspésie varient selon les espèces et les zones : Chasse à l’orignal : Généralement de septembre à novembre. Chasse au petit gibier : Souvent de septembre à décembre. Chasse au phoque : La saison s’étend de novembre à décembre en Gaspésie, bien qu’elle soit plus longue aux Îles-de-la-Madeleine. Associations et clubs de chasseurs La Gaspésie compte plusieurs associations dédiées à la chasse, dont l’Association des chasseurs de phoques intra-Québec, qui œuvre pour promouvoir et réguler la chasse au phoque. Des formations sont également proposées, comme celle du musée Exploramer à Sainte-Anne-des-Monts, qui a formé une centaine de chasseurs depuis 2018. Législation de la chasse La chasse en Gaspésie est régie par des lois strictes pour assurer la conservation des espèces et la sécurité des chasseurs. Les permis sont obligatoires pour toutes les activités de chasse, et des quotas sont établis pour certaines espèces, comme le phoque. Les chasseurs doivent également suivre des formations spécifiques, notamment pour la chasse au phoque. Traditions de la chasse en Gaspésie La chasse fait partie intégrante de la culture gaspésienne, héritée des Micmacs, des Acadiens et des colons européens. Les techniques traditionnelles, comme la chasse au phoque en kayak, sont encore pratiquées aujourd’hui. Les récits de chasse et les échanges entre générations perpétuent cette tradition. Faits intéressants sur la chasse en Gaspésie La Gaspésie est l’une des rares régions où la chasse au phoque est encore pratiquée de manière significative. Le parc national de la Gaspésie est un hotspot pour la chasse à l’orignal, avec des populations stables et bien gérées. La région abrite des espèces uniques, comme le caribou de la Gaspésie, bien que sa chasse soit strictement interdite pour des raisons de conservation. La Gaspésie est une destination incontournable pour les chasseurs, alliant paysages spectaculaires, faune abondante et traditions riches. Que vous soyez attiré par la chasse au gros gibier, au petit gibier ou au phoque, cette région offre une expérience authentique et respectueuse de l’environnement. Préparez votre équipement, obtenez vos permis et partez à l’aventure dans l’un des derniers grands espaces sauvages du Québec.

Post: 23 May 12:36

La chasse dans la région du YUKON (Yn) : Espèces locales, types de chasse et préparation pour les terrains nordiques

Le Yukon (Yn), territoire emblématique du nord-ouest

La chasse dans la région du YUKON (Yn) : Espèces locales, types de chasse et préparation pour les terrains nordiques Le Yukon (Yn), territoire emblématique du nord-ouest du Canada, est une destination de choix pour les chasseurs du monde entier. Avec ses vastes étendues sauvages, sa faune abondante et ses paysages à couper le souffle, le Yukon offre une expérience de chasse inégalée. Cet article explore les caractéristiques géographiques, les types de chasse, les animaux chassés, les saisons, les associations de chasseurs, la législation et les traditions locales liées à la chasse dans cette région unique. Caractéristiques géographiques et naturelles du Yukon pour la chasse Le Yukon est un territoire immense, couvrant environ 482 443 km², ce qui en fait l'une des régions les plus sauvages et les moins peuplées du Canada. Son paysage est dominé par des montagnes majestueuses (comme les monts Saint Elias), des forêts boréales denses, des rivières sinueuses et des toundras arctiques. Ces écosystèmes variés abritent une faune riche et diversifiée, idéale pour la chasse. La densité de population humaine est extrêmement faible, avec environ 43 000 habitants sur l'ensemble du territoire. Cette faible présence humaine permet à la faune de prospérer, offrant aux chasseurs des opportunités uniques dans des environnements préservés. Chasseurs et démographie de la région Bien que le Yukon soit peu peuplé, la chasse y est une activité profondément enracinée dans la culture locale. Selon les données de 2025, environ 10 % de la population du Yukon participe à des activités de chasse, soit environ 4 300 chasseurs résidents. Ce chiffre augmente considérablement pendant la saison de chasse, avec l'afflux de chasseurs non-résidents et internationaux attirés par la réputation du territoire. Types de chasse dans la région Le Yukon propose plusieurs types de chasse, adaptés aux préférences et aux compétences de chaque chasseur : Chasse à l'arc et à l'arbalète : Idéale pour ceux qui recherchent un défi supplémentaire. Chasse à la carabine : La méthode la plus courante, adaptée à la grande variété de gibier. Chasse accompagnée (guide obligatoire pour les non-résidents) : Les guides locaux offrent leur expertise pour maximiser les chances de succès. Chasse en traîneau à chiens ou en motoneige : Une expérience unique dans les régions éloignées. Animaux chassés dans la région Le Yukon est réputé pour sa faune abondante et variée. Les espèces les plus recherchées par les chasseurs incluent : Ours (noir, grizzly et parfois polaire dans l'extrême nord). Orignal : Un gibier emblématique de la région. Caribou : Plusieurs hardes migratires traversent le territoire. Mouflon de Dall : Présent dans les montagnes. Chèvre de montagne : Un défi pour les chasseurs expérimentés. Loup : Sous régulation stricte pour préserver l'équilibre écologique. Gibier à plumes (comme le lagopède et le canard). Saisons de chasse dans la région Les saisons de chasse au Yukon varient selon l'espèce et la région. Voici un aperçu général: Ours : Printemps (avril-mai) et automne (août-octobre). Orignal : Août à octobre. Caribou : Août à octobre. Mouflon de Dall et chèvre de montagne : Août à septembre. Gibier à plumes : Septembre à décembre. Il est essentiel de consulter les régulations annuelles, car les dates et les quotas peuvent varier en fonction des populations animales. Associations et clubs de chasseurs dans la région Plusieurs associations soutiennent les chasseurs au Yukon, notamment : Yukon Fish and Game Association (YFGA) : Une organisation clé qui défend les droits des chasseurs et promeut la conservation. Yukon Outfitters Association : Représente les guides de chasse professionnels. First Nations Hunting and Trapping Associations : Les communautés autochtones jouent un rôle central dans la gestion de la faune. Législation de la chasse dans la région La chasse au Yukon est réglementée par le Yukon Department of Environment. Les règles incluent : Permis et licences : Obligatoires pour tous les chasseurs, résidents et non-résidents. Quotas : Limites strictes pour préserver les populations animales. Zones de chasse : Divisions claires pour éviter la surchasse. Règles éthiques : Respect des pratiques de chasse durable et des traditions autochtones. Les non-résidents doivent obligatoirement engager un guide professionnel pour chasser le gros gibier. Traditions de la région du point de vue de la chasse La chasse au Yukon est profondément liée aux traditions des Premières Nations, qui chassent depuis des millénaires pour leur subsistance et leur culture. Leur savoir-faire et leur respect pour la nature influencent fortement les pratiques modernes. Les chasseurs non-autochtones sont encouragés à apprendre et à respecter ces traditions. Faits intéressants sur la chasse dans la région Le Yukon abrite certains des plus grands spécimens d'ours grizzly et d'orignal au monde. La harde de caribous de la Porcupine, qui traverse le Yukon et l'Alaska, est l'une des dernières grandes migrations de mammifères en Amérique du Nord. Les guides de chasse du Yukon sont parmi les plus expérimentés au monde, avec une connaissance approfondie du terrain et de la faune. La chasse au loup est strictement régulée pour maintenir l'équilibre écologique, car les loups jouent un rôle crucial dans la gestion des populations de gibier. Le Yukon (Yn) est un paradis pour les chasseurs, offrant une combinaison unique de paysages spectaculaires, de faune abondante et de traditions riches. Que vous soyez un chasseur expérimenté ou un novice, cette région sauvage du Canada promet une aventure inoubliable.

Post: 15 May 12:37

Ilya Zuyonok sends his regards to everyone and shares the results of his night boar hunt in Belarus! 🐗

Here is the hunter's comment:👇

".. The night is silent, only yo

Ilya Zuyonok sends his regards to everyone and shares the results of his night boar hunt in Belarus! 🐗 Here is the hunter's comment:👇 ".. The night is silent, only you and the beast! Today I was smarter and faster! Thanks to Saint Tryphon..." More details on the video🤝 🐺RikaNV HRS LRF 640 (https://rikasale.ru/product/rikanv_hrs_lrf_640/) 🔭RikaNV Hypnose 325Pro Thermal Imaging Monocular (https://rikasale.ru/product/rikanv_hypnose_325pro/) ✅Consultation and purchase of devices (https://t.me/PulsarGuruBot)👈

Post: 2 May 06:39

Royal Saint-Hubert Club de Belgique – Wallonia

The Royal Club of St Hubert in Belgium, founded in 1909, is the most important association for the promotion and defence o

Royal Saint-Hubert Club de Belgique – Wallonia The Royal Club of St Hubert in Belgium, founded in 1909, is the most important association for the promotion and defence of hunting. It brings together 12,600 hunters . The association consists of two parts: the non-profit organisation Wallonne du RSHCB and the non-profit organisation Hubertus Vlaamse Vereniging. Both have the same objectives: to defend all hunting methods practised in an ethical manner. They raise hunters' awareness of habitat conservation and development, the protection of small fauna on the plains, the control of large game populations, the protection of the natural environment and biodiversity, the sharing of nature with other users, animal welfare and the role of health inspectors in relation to wild fauna... Avenue Gouverneur Bovesse 112/6 B-5100 Jambes (Namur), Belgium TEL: +32 81 30 97 81 WEBSITE: www.chasse.be

Post: 7 March 17:10

February 14 is the day of Saint Tryphon, the patron saint of hunters, in for Russian Orthodox.

In Russia, Saint Tryphon holds a special place among hunters and those inv

February 14 is the day of Saint Tryphon, the patron saint of hunters, in for Russian Orthodox. In Russia, Saint Tryphon holds a special place among hunters and those involved in rural occupations. The reverence for him stems from both religious devotion and practical associations with nature and survival. In pre-revolutionary Russia, many hunters regarded Saint Tryphon as their heavenly protector because he was believed to have dominion over wild animals and the elements. On the eve of his feast day, hunters traditionally prepared themselves spiritually through fasting and prayer. They would ask for Saint Tryphon’s intercession before embarking on expeditions into the forest. It was customary for them to visit churches dedicated to Saint Tryphon or leave offerings at shrines in his honor. Some even carried small icons of the saint with them while hunting as talismans for safety and success. The connection between Saint Tryphon and hunters became deeply ingrained in Russian folklore and culture. Over time, rituals and customs surrounding this relationship evolved, blending Christian beliefs with older pagan traditions tied to nature worship. For example, some hunters believed that invoking Saint Tryphon could help calm wild animals or guide hunters toward game. Saint Tryphon and Tsar Ivan IV (Ivan the Terrible). According to legend, Ivan the Terrible once went hunting near Moscow but failed to catch any game despite his efforts. Frustrated and exhausted, he sought refuge in a small chapel dedicated to Saint Tryphon. There, he prayed earnestly for guidance and success in his hunt. That night, it is said that Saint Tryphon appeared to Ivan in a dream, advising him to approach hunting not merely as a sport but as an act requiring humility, respect for nature, and gratitude to God. Inspired by this vision, Ivan returned to the forest the next day with renewed focus and reverence. To his amazement, he encountered abundant wildlife and enjoyed a fruitful expedition. Grateful for the saint's intervention, Ivan ordered the construction of the Monastery of St. Tryphon (Трифонова Печерский монастырь) near Suzdal, where he hoped others might find similar solace and divine favor. This story reflects how saints like Tryphon were seen as intermediaries between heaven and earth, capable of influencing earthly affairs if approached with sincere faith. It highlights Ivan IV complex relationship with religion; though infamous for his brutal policies he remained deeply pious and frequently sought spiritual guidance throughout his reign. Saint Tryphon place a unique niche in Orthodox Christianity, bridging the worlds of spirituality and practicality. As the patron saint of hunters, he embodies the values of hard work, stewardship, and reliance on divine providence. His legacy endures in Russia, where his influence extends beyond liturgical celebrations into everyday life, inspiring generations of believers to seek harmony with nature and trust in God's care.

Post: 14 February 19:05

Today, 14 February, in Orthodox calendar is the day of the Holy Tryphon, especially revered in Russia. The holy martyr is highly revered by Russian hunters, being their p

Today, 14 February, in Orthodox calendar is the day of the Holy Tryphon, especially revered in Russia. The holy martyr is highly revered by Russian hunters, being their patron saint. He was depicted on icons with a falcon on his arm, and originally he was on the coat of arms of Moscow. There is a legend that under Tsar John the Terrible, during the royal hunt, the king's beloved gyrfalcon flew away. The tsar ordered the falconer Trifon Patrikeev to find the bird that had flown away. Falconer Trifon toured the surrounding forests, but without success. On the third day, tired of a long search, he stopped near Moscow, in a place now called Maryina Grove, and in exhaustion lay down to rest, having fervently prayed to his patron saint, the martyr Tryphon, asking him for help. In a dream, he saw a young man on a white horse holding a royal gyrfalcon, and this young man said: "Take the missing bird, go with God to the king and don't worry about anything." Upon waking up, the falconer actually saw a gyrfalcon nearby on a pine tree. He immediately took him to the tsar and told him about the wonderful help he had received from the holy martyr Tryphon. After a while, on the place where the saint appeared, the falconer Trifon Patrikeev built a chapel, and then a church in the name of the holy martyr Trifon.

Post: 14 February 14:35

RED DEER

The majestic Red Deer is the king of the French forests. An emblematical animal in Europe and mythical through Saint Hubertus’s legend, the hunters’ Patron Sain

RED DEER The majestic Red Deer is the king of the French forests. An emblematical animal in Europe and mythical through Saint Hubertus’s legend, the hunters’ Patron Saint : the legend says that On Good Friday morning, when the faithful were crowding the churches, Hubert went anyway after deer. As he was chasing a magnificent white stag the animal turned and, as the pious legend narrates, he was astounded at perceiving a crucifix standing between its antlers and he heard God’s voice talking to him. Commonly present on most territories we hunt, be they in forest areas near Paris or in the south of France. Also impressive with a strong and graceful appearance, big male adults weigh up to 250 kilos (550 lbs). The red deer hunt begins early September to the end of February. The mating season usually takes place from mid-September to mid-October, it is then the best chance to see the biggest males and the most interesting trophies French red deer trophies are often splendid and as diverse as they can be : regular, atypical or massive as much as by the body as the antlers. The most interesting hunting methods for red deer are stalking, in driven hunt and stag art of hunting. All of these are very exciting and spectacular and will surely delight you.

Post: 26 June 00:01

Hunting in the Middle Ages

In the modern US, hunting is not considered an elite activity.  One tends to think of country folk and good old boys going hunting, often beca

Hunting in the Middle Ages In the modern US, hunting is not considered an elite activity. One tends to think of country folk and good old boys going hunting, often because they could use the food. The last time hunting was considered something for the wealthy and powerful was back when it was considered appropriate to go to Africa or Alaska to shoot elephants or lions or polar bears in Africa or Alaska. In the Middle Ages, in contrast, hunting was very much an activity for elites. Nobles loved to hunt, to the the point that giving up hunting was a sign of serious penance. Several saints started life as rich lords but were converted to the religious life when, on a hunting trip, they saw an animal carrying a cross. Fantastic stories often involved hunting, such as capturing a white (albino) hart or trapping a unicorn, as seen in this late medieval tapestry. Probably the main source of meat on a noble table was from hunting, rather then livestock raising. Nobles hunted various kinds of deer (hart, roe) and also boar, though boar were both rarer and a lot more dangerous. Hunting was both sport--competing to see who could catch the most--and a chance to show off. Until extremely recently, England had fox hunts, where well-to-do riders and their hounds chased foxes across the countryside, leaping hedges and having a great time. This was the last vestige of the medieval style of hunting, though in the Middle Ages they preferred to hunt something worth eating. Medieval men and women also hunted with hawks. A "mews," where the hawks were kept, was found in every castle. Training a hawk to fly off, catch a bird, and bring it back was an important and time-consuming skill. A variety of hawks went to the hunt on a rider's (gloved) fist, including goshawks, that could take a full-sized goose. Then as now, over-hunting will reduce the game. Nobles thus did not want the peasants to hunt, though no one particularly cared if they trapped a few rabbits or caught song-birds using lime spread on twigs. Great landowners created game preserves where only they could hunt. The New Forest in England is not actually "new," being established as a game preserve in the late eleventh century by King William II ("Rufus"). Although we think of the word 'forest' as just a place with trees, it originally meant a place set aside. The New Forest now is mostly known for its semi-wild ponies, to be feared for liking to eat an unattended picnic lunch.

Post: 23 December 14:18

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